AIDS : voyage au pays de la serodissidence


neosante53.pdfMust undergo triple therapy once one has been diagnosed with HIV ? It is
a vital issue for many HIV-positive. Certains d’entre eux, après des recherches sur le web et mûre réflexion, ont décidé de sortir de la peur et de cesser leur traitement. Leur état de santé ne s’est pas forcément degraded ! Ce phénomène est qualifié de marginal par les spécialistes du VIH. Mais ces cas sont-ils vraiment des exceptions ? A travers cette nouvelle enquête, Priscilla Ducoeurjoly unveils weaknesses diagnostic du VIH et sur les dérives du medical monitoring of HIV status.

Photo-PryskaA propos de l’auteure
Pryska Ducoeurjoly est journaliste indépendante, elle écrit sur la santé et l’environnement. Elle est également auteure de La Société Toxique, Manual of Mental pollution (en accès libre sur son blog), où elle explore l’intox média-médoc-malbouffe.

Trente ans de controverse

« Although more than 75 000 articles have been publisheds sur le sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida.Quelques articles répondent à des objections spécifiques, but they commencent en supposant que le VIH est la cause du sida, this qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait already été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée of siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer the arguments they might contain "xxxiv. Ces propos sont ceux de Karry Mullis, co-Prix Nobel de chimie (1993), one of the 2 600 scientists or researchers who make up the official group of "dissidents" : Rethinking Aids.

Ce collectif a été fondé en 1991 sous l’inspiration du professeur Peter Duesbergxxxv, microbiologiste de Berkeley (Californie) qui émit le premier des doutes sur l’hypothèse VIH=Sida, from 1987. Cela fait donc 30 ans que la controverse fait rage, dans un assourdissant silence médiatique… Parmi les grands scientifiques signataires du texte fondateur de Rethinking Aids (liste sur sidasante.comxxxvi): Kary Mullis (Prix Nobel de Chimie), Etienne de Harven (pathologiste, pionnier de la recherche sur les retrovirus, ancien président de la Société américaine de microscopie électronique), l’épidémiologiste Gordon Stewart, professeur émérite de santé publique, de l’université de Glasgow, et ancien conseiller pour l’OMS sur le sidaxxxvii. Des pointures internationales dont la parole devraient valoir autant, voire plus, que celle des experts de nos autorités sanitaires.

LE CONTEXTE EN QUELQUES CHIFFRES

D’après l’ONUSIDA, 35 millions de personnes seraient séropositives dans le monde (rapport 2014), Comparable figures for the prevalence of cancer ! 20 milliards de dollars annuels sont consacrés à la recherche. 1,3 millions de personnes ont été classés morts du sida en 2013i.

Apparemment, c’est une catastrophe mondiale. Et les médias nous le rappellent tous les ans. Mais ces chiffres sont à nuancer fortement depuis le pavé dans la mare de l’épidémiologiste James Chin, ancien directeur des programmes sida de l’OMS, author The Aids Pandemic.ii

Dans cet ouvrage, il montre comment les statistiques sur la prévalence d’une infection par le VIH sont exagérées dans le but d’entretenir la peur d’une extension de l’épidémie à la population générale, extension qui n’a finalement jamais été observée. James Chin, qui ne fait pas partie des dissidents du postulat VIH=Sida, rappelle que "HIV is difficult to transmit sexually,iii et qu’une épidémie ne peut se produire que dans la plus haute concentration de comportements à risque. De tels niveaux n’existent pas dans les populations générales».

L’enquête

Le magazine Néo Santé est un des rares journaux, avec Nexus, a avoir publié plusieurs dossiers sur la controverse. The investigation below was published in French in Néo Santé n°53 (February 2016) puis en anglais dans Nexus en juin 2016, avec la traduction de Pol Dubart.

neosante53.pdf

In France, plus de 6 000 peopleiv découvrent chaque année leur séropositivité à l’aide des tests Elisa et Western Blot, confirmés par leur taux de CD4 (cellules immunitaires) ou de charge virale (quantité de virus présent dans le sang). En Belgique, it is also more 1 000 that people diagnosed, overnight, verront leur vie basculer. Aux Etats-Unis, 1,2 million people are living with HIVin.

Au regard des arguments amenés par un grand nombre de scientifiques (see Trente ans de controverse), figures the number of HIV-positive should be handled with tweezers. Actually, la fiabilité des tests de dépistage est contestée. Il existe en effet un grand nombre de publications relevant 70 états de santé susceptibles de générer un faux positifwe. Plusieurs scientifiques de renommée internationale ne cessent de tirer la sonnette d’alarme sur la fragilité du dépistage actuel.

Are HIV positive tests reliable ?

"This test is a huge hoax story ! », tempète Williamvii, 53 years, diagnostiqué séropositif en août 2014. Ce père de trois enfants vient tout juste d’arrêter son traitement. Sa décision définitive, il l’a prise en novembre 2015, après onze mois de trithérapie, et après avoir épluché la littérature médicale : "Since I discovered the pot to the roses, j’ai déménagé à la campagne, I stopped watching TV and now gave me intellectual and scientific food ".

Chez lui, l’annonce de la séropositivité a déclenché un processus de réactions en chaîne. Après le "Huge shock" de l’annonce du diagnostic, it was misunderstanding : « I always had a sex life in the nails ! Je ne me drogue pas. Je ne fume pas. Je fais du sport, j’ai un corps d’athlète. I have been married for 20 years. I lived with a campaign for 7 years. Alors quand j’ai fait le test au moment de m’engager dans une nouvelle relation, my first reaction was : It is not possible ! »

Après l’incompréhension, l’acceptation… "I had an impossible pressure from doctors telling me : si vous ne le faites pas pour vous, faites le pour vos enfants… Annoncer à mes gosses cette séropositivité a été en soi un événement traumatisant. It took me a month before resigning myself to take these medications. »

Quickly, William will follow his first intuition : "Taking advantage of a professional break, j’ai avalé des sommes d’informations considérables pour me rendre compte que, finalement, j’étais face à la plus grande hérésie du siècle. Ce fut une énorme surprise et en même temps la réponse à toutes mes questions. Aujourd’hui j’ai passé le stade des interrogations. The " charge virale », this is the big couillonnade ! Et je ne vais certainement pas jouer les cobayes de l’industrie. Et plutôt que d’engager un bras de fer avec les médecins, je vais les laisser croire à leur théorie. Ce qui compte pour moi, this is how I feel and I feel in good shape ".

Nul doute que si les médecins apprennent que William a cessé son traitement, they will predict it worse : une hausse inéluctable de la charge virale, une chute inexorable de ses cellules immunitaires CD4, et pour finir… la mort. Sans trithérapie, on ne survit pas à l’infection au VIH, tel est le discours officiel. Mais en réalité William se dit absolument certain de rester en bonne santé, especially with his lifestyle he describes as "blameless". Il dénonce une médecine déshumanisée qui définit l’état de santé sur la base de deux résultats de laboratoire, en dehors de toute observation clinique.

La charge virale, un marqueur inadapté

Officially, la charge virale décrit la quantité de virus présent dans le sang et c’est un marqueur de la progression du virus. « Faux ! », nous disent les scientifiques dissidents. La technique de la PCR (Réaction en Chaîne par Polymérase) pour identifier et quantifier le virus du sida (la charge virale) est dénoncée par son inventeur lui-même, Kary Mullis, nobélisé pour cette découverte, mais aussi par un grand nombre de spécialistes, including Prof. Etienne de Harven, pionnier de la microscopie électronique. Nevertheless, ce test continue d’être recommandé.

"When these tests are performed on the serum of HIV-negative people considered, 3 % to 10 % of them generally have positive viral loads. L’explication la plus probable pour ce taux élevé de faux positifs est que les analyses d’ARN-VIH réagissent généralement avec de l’ARN non-VIH, as those produced by normal human cells and by microbes ", explique Matt Irvin, un médecin généraliste américainviii.

"Since the results of the charge virale sont donnés en exemplaires par millilitre de plasma, tout le monde s’imagine que cela signifie “so many copies of the virus per milliliter himself”. Il n’en est rien car le test de charge virale fait seulement des copies de fragments d’acides nucléiques, ce qui n’a rien à voir avec un décompte de VIH. Un test positif de charge virale ne peut pas être considéré comme indiquant la présence de ne serait-ce qu’un seul génome complet de VIH, et il ne peut donc pas être utilisé pour déterminer la présence du virus ni, a fortiori, his population ", écrit Roberto Giraldoix, médecin spécialiste des maladies infectieuses et tropicales, membre du conseil d’administration du Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse VIH/SIDAx (Rethinking Aids).

A "nocebo" effect underestimated

«Lorsque le médecin vous annonce que votre charge virale se compte en centaines de milliers de copies, voire en millions pour certains, it's enough pinball !», témoigne Bertrand, of HIV-positive 34 years, diagnosed there 7 years. Although he already had a viral load of around 250 000 copies (against 2 000 Maximum hope to avoid triple therapy), il n’a jamais voulu prendre de traitement. Force est de constater que, malgré les pronostics défavorables des médecins, his viral load fell to spontaneously 11 500 ; en fait, elle ne s’est jamais stabilisée, randomly oscillating around 40 000 copies.

"After having discussed the reliability of this test with the medical, j’ai décidé d’en faire un simple marqueur d’activité immunitaire. This prompts me to pay attention to my lifestyle and not to take treatment ! Lorsque j’ai un coup de pompe, je fais une cure d’alicaments pour rétablir l’équilibre acido-basique. D & rsquo; general, j’évite de suivre à la lettre le contrôle trimestriel. Cela reste pour moi une source de stress chronique qui pourrait mettre à mal mon immunité…»

Médecins et chercheurs sous-estiment l’impact délétère, the "nocebo", de l’annonce de mauvais résultats, capable de provoquer une chute immunitaire (depression, stress…) chez certains séropositifs anxieux ou vulnérables psychiquement au discours médical.

CD4 count : autre marqueur contesté

La théorie dit qu’avoir un taux de cellule CD4 inférieur à 350 est un signe d’activité virale car ce serait ce type de cellule immunitaire que le VIH attaque et détruit. Un taux de 350 justifie une mise sous traitement. A moins de 200 CD4, on considère que l’infection en est à un stade avancé et aux Etats-Unis, c’est devenu suffisant pour dire qu’un sida est déclaré, malgré l’absence d’infections opportunistes. Mais pour les scientifiques dissidents, aucune donnée scientifique ne prouve que le VIH détruise préférentiellement les cellules T4 ou ait un quelconque effet toxique pour ces cellules immunitaires.

La méthode de comptage elle-même pose de nombreux problèmes de fiabilité. La technique de cytométrie de flux (pour déterminer les taux de chaque type de cellules immunitaires) nécessite non seulement un niveau sophistiqué de compétences techniques, qui sont probablement difficiles à reproduire d’un laboratoire à un autre. "One study found errors of 18 % and 35 % the absolute number of CD4 T lymphocytes, while another study showed that inter-laboratory variability was so important that it led to contradictions regarding treatment recommendations ", explains Dr. Nancy Banks.xi

En Afrique, Brian Williams de l’OMS et ses collègues ont étudié les populations séropositives et séronégatives dans huit pays d’Afrique. Ils ont découvert que 3 to 5% des séronégatifs présentaient un taux de CD4 en dessous de 350, correspondant au diagnostic du sida chez des populations séropositives. In other words, avoir un taux de CD4 bas n’est pas forcément un signe de séropositivité. L’étude souligne qu’on manque de données scientifiques quant aux variations de CD4 dans les populations séronégatives.xii

La science officielle pense que le taux de cellules CD4 chez les personnes séronégatives peut aller de 450 to 1 600, variant considérablement entre les individus, et dans la vie-même d’un individu. "It is best to monitor the trend of CD4 cell count over time, plutôt que d’attacher trop d’importance aux résultats d’un seul examen. Si c’est possible, il vaut également mieux faire mesurer son taux de cellules CD4 dans le même hôpital et environ à la même heure. Si vous souffrez d’une infection, telle que grippe ou herpès, it is better to delay consideration until you feel better ", concèdent les dépliants officiels.xiii

Lorsqu’on parcourt les forums sur internet et les groupes Facebook, un certain nombre de personnes séropositives disent se sentir bien malgré leur faible taux de CD4. Dans le cas de Bertrand, déjà évoqué plus haut (without treatment since 7 years) : "Over the examinations, j’ai pu constater une variation importante de mes taux, sans lien apparent avec mon état de santé. Je suis déjà descendu à 220 CD4, et puis c’est remonté naturellement. En moyenne, ça fait le yoyo autour des 350, without ever having exceeded 500 ».

Cet exemple invalide d’entrée l’argument des autorités sanitaires qui assurent que SEUL un traitement peut faire remonter les taux de CD4 ou bien éviter un emballement de la charge virale. Les autorités préconisent aujourd’hui un traitement dès la connaissance de la séropositivité, en l’absence total de signes cliniques de maladies, indépendamment même du résultat des analyses biologiques. Thus, en France, depuis 2013, "It is recommended to start antiretroviral therapy regardless of the stage of infection at diagnosis, pour éviter les morbidités liées à l’infection par le VIH et réduire le risque de transmission».xiv

Pressions médicales et judicaires sur les parents

"When I announced my HIV status 2004, à l’occasion d’un test de routine, je me suis vu mourir. A l’époque, j’ignorais tout de la controverse, raconte Sabine. En me documentant sur internet à propos des effets de trithérapies, en assistant à des conférences, j’ai découvert l’existence de la dissidence. Petit à petit l’inexistence du virus est devenue une conviction. J’allais faire les tests habituels CD4 et charge virale, tout paraissait correct. Je suis tombée sur une femme médecin très agressive qui voulait absolument me coller sous médicaments. I've never done and my health has always maintained. »

L’histoire de Sabine aurait pu s’arrêter là, surtout en Suisse, pays des médecines complémentaires. Sauf que quelques années plus tard Sabine donne naissance à un deuxième enfant, conçu en accord avec son nouveau compagnon, informé de la séropositivité de sa compagne. As can happen to a baby 3 month, l’enfant fait un séjour à l’hôpital à la suite de symptômes qui inquiètent sa mère. A cette occasion, les médecins retrouvent le dossier médical de Sabine et découvre sa séropositivité. L’enfant est alors immédiatement placé sous trithérapie sur la base des taux de CD4 et de la charge virale, sans test Elisa ni Western Blot, jugés non fiables sur les nourrissons. This will be the start of a two-month hospital stay in intensive care where the child will undergo a battery of tests and interventions of all kinds :

"Following a scanner, une petite tâche apparaît sur un poumon. Mon bébé subit un lavage bronchial sous anesthésie générale, à la suite de quoi on lui pose une voie centrale sur la poitrine pour administrer tous les médicaments. Deuxième anesthésie générale. Il se retrouve avec de l’eau dans les poumons ce qui nécessite son intubation. Finalement au bout de deux mois, on nous laisse sortir avec obligation de donner à mon enfant la trithérapie. Très vite nous avons diminué puis cessé le traitement. Le petit allait bien, ses examens CD4 et charge virale passaient pour le corps médical. Until they were dosed drugs in the blood ! Et là, pas de trace du traitement. Finalement je suis dénoncée par l’hôpital au tribunal de la protection de l’enfant. Quelques mois plus tard, je suis condamnée and restreinte de mes droits parentaux pour la santé. Curator doctor controls us now ».

Dans le courrier de dénonciation au juge, written hospital : "The child is no effective treatment for several months. For the & rsquo; time, il a bien évolué cliniquement. Unfortunately, ses examens de sang sont très inquiétants montrant que le virus est très actif et que l’enfant présente un risque très important de complications (développement du sida, voire décès) that may occur soon. »

Pendant 6 month, les infirmières viendront matin et soir vérifier que l’enfant reçoit bien son traitement. Depuis mi-2014, l’enfant est donc sous trithérapie. Sabine meanwhile working on "letting go"… Elle s’est tournée vers la médecine quantique pour atténuer les effets secondaires du traitement de l’enfant. "Right now it seems to work. J’y crois car je suis accompagnée par des praticiens alternatifs de haut niveau. Mais ce traitement chimique durera jusqu’à la majorité de mon fils tant que les taux de CD4 et de charge virale ne seront pas dans les clous. La juge a fait savoir qu’elle voulait une virémie indétectable. C’est une femme inflexible alors que le médecin curateur témoigne de beaucoup plus de compréhension. L’ironie, c’est que j’attends maintenant des résultats d’analyse auxquels je ne crois même pas… ».

Dans le dossier médical, the adequacy of the medical reads between the lines : "Madame operates under a mode of rationalization to justify the way they do (elle s’est énormément documentée depuis qu’elle a appris sa maladie sur les types de traitement, et les apports de la médecine naturelle. À une rare reprise, it will be moved and cry when she talks about a comment from a caregiver asking him "if she does not feel guilty when she sees her child as well". (…) The father is more in the register of anger against intrusions and feelings of judgment ".

Dans un autre compte-rendu, Sabine et son compagnon sont décrits comme des « parents qui ont des interactions avec leur bébé extrêmement bien ajustées et empathiques, alors qu’ils n’expriment aucun sentiment de responsabilité, ni émotions de tristesse, d’angoisse ou de colère par rapport à la situation. Madame est dans la rationalisation avec un modèle de pensée très solide et construit. Situation très paradoxale, en lien avec le fonctionnement parental (déni des conséquences de la maladie et des risques de transmission) ».

Or l’attitude des parents ne pas vraiment paradoxale, elle est aussi réfléchie que la littérature scientifique remettant en cause ces traitements. The Sabine affair reveals the omnipotence of medical dogma that can count on speedy justice when his "orders" are not met. La Suisse ne rigole pas lorsqu’il s’agit de la protection de l’enfance. But it's not just AIDS that can lead to deprive parents of their freedom of health choice : vaccines, traitement du cancer, et peut-être bientôt autisme ou hyperactivité, families have to behave themselves !

Abusive treatment ?

La pression sur les parents n’est pas moins grave que la pression exercée sur les patients adultes, aboutissant à des traitements potentiellement injustifiés. Voici l’histoire d’Etienne, embarqué dans un lourd protocole médical dès 1993 (sous AZT d’abord un an, puis sous bi-thérapie, puis sous trithérapie) sans discontinuer jusqu’en 2013. Total, 20 years of HAART he fled through… internet !

"All these years, j’ai été un bon petit soldat. Je ne sais pas comment j’ai pu supporter tous ces médicaments, d’autant plus que mon angoisse de la mort m’encourageait à toujours consommer de la drogue. Je faisais pitié à voir. J’avais la flore intestinale bousillée, je passais ma vie aux toilettes, j’avais la peau sur les os et des éruptions cutanées. Avec ma tête de mort-vivant je ne pouvais pas cacher que j’étais séropositif. Jusqu’au jour où je suis tombé sur un post Facebook. Je suis remonté jusqu’à l’association de Rethinking Aids. J’ai lu beaucoup de livres notamment celui de Peter Duesberg. There was nothing more wonderful to read ! La supercherie m’est apparue tellement évidente que je n’ai pas douté cinq minutes. Lorsque j’ai revu mon médecin et que je lui ai dit que j’arrêtais le traitement, il était bouche bée. Maintenant je ne souhaite plus qu’il dose mes CD4 et la charge virale, je lui ai dit : rather look at my vitamin D levels ! ».

Another look at the "HIV Controllers"

Étienne est donc un survivant. Il a survécu à la fois au VIH et aux… trithérapies. "Proof" of the usefulness of HAART will doubtless doctor ! Mais s’agit-il vraiment d’une preuve alors que les trithérapies n’ont jamais été testées contre placebo (voir plus bas). Étienne is it not rather a "HIV controller", that is to say a patient who naturally control the spread of HIV ? Officially, The answer is no ! Car Étienne n’entre pas dans le cadre d’une définition très précise de cette population, évaluée par ailleurs à seulement 0.5% ou maximum 1% des séropositifs.

En effet, pour être considéré comme HIV controller,xv il faut : primo, ne jamais avoir reçu de traitement (cas peu courant), Deuxio have a viral load below starting at 2 000 copies, et finalement être descendu à 400 copies. Very selective criteria ! Therefore Bertrand also can not be regarded as a controller of HIV despite a total lack of treatment since 7 years : biological results oscillate 40 000 copies. Ne parlons même pas de Sabine, 10 years without treatment, puisqu’elle n’a jamais souhaité contrôler ses taux. Quand à William, cela fait seulement un an qu’il ne prend plus de médicaments et ses taux n’étaient pas bons. As a matter of fact, il n’existe pas de statistiques fiables sur le nombre de séropositifs en bonne santé sans trithérapie.

if one is entitled to ask the "natural control of HIV" is not within the reach of a majority of HIV-positive because, de notre côté, il ne nous a pas fallu plus d’une journée de recherche sur les réseaux sociaux pour illustrer cet article avec quatre cas de séropositifs asymptomatiques sans traitement. Mais pour le corps médical, ce phénomène ne peut tout simplement pas exister à large échelle. Comme nous le précise l’un des spécialistes des contrôleurs du VIH au sein de l’Agence française du sida (ANRS), "Those who have escaped the AIDS, après un arrêt du traitement, représentent moins d’une vingtaine de malades tout au plusxvi ». Circulez, there is nothing to see !

Ce spécialiste fait référence à l’étude ANRS VISCONTIxvii which identified 14 patients with remission duration ranging in some cases up 13 years after interruption of antiretroviral therapy. L’étude a permis de démontrer qu’une rémission durable de l’infection par le VIH peut être possible pour 5 to 15% patients who initiated antiretroviral therapy in 3 months after the onset of infection (primo-infection). Chez ces patients, il n’y a pas de reprise active de la réplication après l’arrêt des traitements (charge virale). This state of "remission" allows these patients to permanently discontinue any therapeutic intervention. Mais cette étude ne s’intéresse qu’à des patients immédiatement mis sous traitement, which makes tell his coordinator : "Early treatment has probably limited the extension of viral reservoirs, et préservé les réponses immunitaires. This combination could certainly help control the infection after treatment discontinuation ". Conclusion : il faut, le plus tôt possible, put all HIV-positive during treatment !

On comprend mieux, sur la base de ces études, pourquoi l’enfant de Sabine a été placé de force sous trithérapie en l’absence de tout symptôme (voir plus haut le courrier de l’hôpital dénonçant Sabine), ne laissant aucune chance à l’enfant de gérer l’hypothétique VIH. Il y a donc de très fortes chances pour qu’un très grand nombre de patients, surtout dans les populations qui ne sont pas à risque, soient abusivement placés sous traitement alors qu’ils n’auraient probablement jamais développé de maladies caractéristiques du sida.

Notre hypothèse est confirmée par David Crowe, président de Rethinking Aids, qui évoque un "Circular reasoning" basé sur de faux postulats : "Officially, on estime qu’il y a dans le monde des millions de gens qui ignorent leur séropositivité, mais il est très probable qu’ils n’aient jamais eu besoin des services de la médecine car ils sont toujours restés en bonne santé. More, the incubation time of the disease is estimated to be about 10 years, it is unlikely that all HIV positive who trusts his doctor remains untreated for many years ! C’est pourquoi nous n’avons aucun moyen de savoir s’ils sont sujets ou non à une quelconque progression de la maladie sur le long terme en dehors de tout traitement xviii».

Pas d’essais contre placebo pour les trithérapies

Contrairement aux exigences de la science, ces thérapies jouissent de la même dispense que les vaccins.xix Tout le monde est tellement sûr de leurs bienfaits que cette croyance n’a plus besoin de se conformer aux règles élémentaires des essais cliniques pour obtenir la mise sur le marché.

As says David Crowe : "Only studies on AZT, le tout premier traitement contre le VIH, ont été faites contre placebo. Ces études sont notoirement suspectes comme l’a si bien expliqué John Lauritsen, in his book AZT : Poison sur ordonnancexx Les études suivantes consacrée aux bi- and combination therapies have two fundamental flaws : premièrement, elles sont faites en comparaison de l’AZT, très toxique, et montrent seulement qu’elles sont moins toxiques. Certaines études incluent aussi de l’AZT, mais c’est toujours à des doses inférieures (200 or 300mg / day instead of 1 500 mg in the first trials of AZT). Leurs résultats sont donc sans surprise très favorables aux trithérapies… Deuxièmement, elles ne mesurent jamais l’amélioration de la santé via l’observation clinique, but the improvement of CD4 count or viral load ".

Are HAART really best ? Nothing is proven ! Nous citerons seulement une étude de 2005 qui s’est intéressée aux patients sous trithérapie arrivant à l’hôpital. "As and when the progress of the era of HAART (Highly active antiretroviral therapy), des trous dans l’armure des trithérapies sont apparus. Bien que les patients avaient moins d’affections opportunistes, il y avait toujours un taux relativement haut de pathologies malignes associées au HIV. (…) Les morts attribuées à des maladies hépatiques étaient plus fréquentes que les affections opportunistes. Les hospitalisations pour une acidose lactique, un syndrome de reconstitution immunitaire (typique d’un traitement sous trithérapie, ndla), et des complications à un stade avancé directement liées au traitement, sont devenus beaucoup plus visibles. Certains auteurs ont également noté une augmentation de la mortalité et des admissions à l’hôpital au fur et à mesure que l’ère des trithérapies progressait»xxi Triple therapy would they merely shift the problem ?

Des traitements alternatifs passés sous silence

"Although anti-retroviral therapies are effective for serious fungal or bacterial infections, explique la déclaration de Pont-du Gard (France 2012, congrès de dissidentsxxii), their long-term use causes many problems : déséquilibre de la flore intestinale, lésions de la muqueuse digestive, éruptions cutanées, changements hormonaux, hypercholestérolémie, déséquilibre au niveau des lipides, lipodystrophie périphérique, résistance à lʼinsuline, anemia, fractures dues à lʼostéoporose, insuffisance hépatique et rénale, maladies cardiovasculaires ou neurologiques. Les traitements alternatifs proposés pour les effets secondaires délétères des thérapies anti-rétrovirales sont les suivants : Glutathion, Glutamine, NAC, Acide Alpha Lipoïque, Antioxydants et Vitamines E,C, B3, B5, Sélénium, ProBiotics, Pré-Biotics, and Colostrum pour la reconstitution de la flore et de la muqueuse intestinales, orally or by infusion ".

Ces traitements naturels peuvent aussi convenir aux séropositifs qui souhaitent se soigner naturellement. Partout dans le monde, il existe des médecins alternatifs spécialisés dans ce domaine, actifs notamment au sein des organisations Alive and Well, Heal, ou encore répertoriés sur une liste mise en ligne sur le site de Rethinking Aids. Preuve que toutes les options de traitements possibles ne sont pas divulguées aux malades, ni par le corps médical, ni a fortiori par les médias. Au contraire, les patients en sont malheureusement détournés, par la pression morale ou, au besoin, par la force judiciaire (voir le cas de Sabine).

"These alternative treatments should be covered by health insurance or supported by national health systemsé », est-il encore écrit dans la Déclaration de Pont-du Gard. Belle idée, mais inutile de rêver dans le contexte actuel où les enjeux financiers sont trop colossaux pour que Big Pharma lâche ce business, d’autant plus qu’il s’agit-là de traitements à vie.

processing costs to rival an unemployed !

Currently, triple therapy cost between 1 000 and 1 500monthly €, the equivalent of a minimum wage in France xxiii! Si on le donnait directement aux malades, ils pourraient certainement s’offrir des consultations et des traitements auprès de spécialistes mondiaux des médecines complémentaires… Pending, "The global market for anti-AIDS treatments was approximately 13 billion in 2009. Il progresse de 13% annually, and should exceed 17 billion by 2018, nothing in Europe and the US ", écrit le Figaro.xxiv

In 2015, 16 millions de séropositifsxxv sont maintenant sous traitement, against 9,7 millionsxxvi end 2012 ! L’industrie peut aussi aussi compter sur le marché indirect, difficilement chiffrable, des ventes de médicaments (antibiotiques…) traitant les infections opportunistes liées à la maladie ou aux effets secondaires des trithérapies.

Les nouvelles recommandations de l’OMS (juin 2013) also plan to " fournir un traitement antirétroviral, indépendamment de la numération des CD4, à tous les enfants vivant avec le VIH de moins de 5 years, all pregnant and lactating women with HIV and all seropositive for HIV partner when one partner is not infected ". stated objective : "Ensure that 26 millions de personnes susceptibles de bénéficier du traitement y aient effectivement accès, not a person under ". Cette médicalisation basée sur la peur et les bons sentiments permet d’élargir toujours plus et au plus grand nombre les indications des traitements… Une technique de vente courante chez les laboratoires, mais pas forcément au profit de la santé des patients.

L’éternel problème des conflits d’intérêt

"The problem of corruption in medicine is widespread around the world. Les laboratoires pharmaceutiques ciblent délibérément des médecins leaders d’opinion et organisent leur rémunération. Conventions d’orateurs, missions de conseils, défraiements variés, la corruption est subtile et généralement les cibles ne croient pas qu’elles en sont l’objet. L’autre problème vient des médias qui n’exigent pas de déclarations de conflit d’intérêts, ou qui ne les rendent pas publics comme ils le devraient », déplore David Crowe.

"Government agencies should be independent. Or aux États-Unis, depuis Ronald Reagan, la FDA (Food and Drug administration) demande à l’industrie pharmaceutique des honoraires pour approuver un médicament. Ceci a pour effet pervers l’approbation rapide des nouvelles demandes, qui aident à financer la FDA. Au lieu d’être une agence indépendante, la FDA est devenue un simple organisme d’enregistrement. Le fait qu’un bon nombre de médicaments soient retirés du marché après l’approbation indique que le processus d’autorisation est défaillant. Mais cela arrive rarement avec les médicaments contre le sida, simplement parce que chez les gens diagnostiqués, most medication side effects are attributed to HIV xxvii». Logique circulaire…

L’agence française du sida, alias ANRS, headed by Jean-François Delfraissy since 2005, is a beautiful illustration of the conflict of interest problem : "All members of its committees are under multiple contracts with firms that produce drugs they have to assess", rappelle le Pr Philippe Even, dans son dernier ouvrage Corruptions et crédulité en médecine.xxviii A titre d’exemple, pour réaliser ce dossier, we sought declarations of conflicts of interest of scientists who authored the latest report from the ANRS "Pre-exposure prophylaxis" (PrEP) (rendu public en septembre 2015),xxix qui par ailleurs tombait à pic pour l’extension d’utilisation du Truvadaxxx (laboratoire Gilead) annoncée par la ministre française de la santé en novembre 2015. Tous ces experts sauf un (on 23 au total), ont des liens réguliers, parfois très étroits avec l’industrie des anti-retroviraux, dont plusieurs avec le laboratoire Gilead. Mais ces liens sont subtilement minimisés, car déclarés uniquement pour « la période des travaux sur la PrEP réalisés depuis la saisine par l’ANRS et le CNS (avril – juillet 2015)xxxi».

Il faudrait un dossier entier pour enquêter sur la faiblesse des recommandations de l’ANRS qui, never, can be defined as independent agency as its experts work with industry ! Otherwise, il faut noter que ce récent rapport de l’ANRS, favorable à la prescription d’anti-retroviraux pour les personnes séronégatives à risque, s’appuie entre autres sur une étude conduite par l’ANRS elle-même, IPERGAY, qui conclue que le Truvada de Gilead est efficace, essai qui a soulevé la polémique à propos de questions éthiques et de conflits d’intérêt.xxxii Cette étude a coûté quelques 1,3 millions d’euros publics. Autant d’économies pour le laboratoire…

« On dit souvent que l’ANRS est une figure à part dans le monde de la recherche, tant dans son mode d’organisation que son mode de financement», s’enorgueillit le président de l’agence, dans le rapport d’activité 2014xxxiii. C’est effectivement l’agence de santé française à laquelle on donne le plus de chèques en blanc pour ses recherches et rapports, and où la vigilance sur les conflits d’intérêt y est la moins exercée…

headed by Jean-François Delfraissy since : Origine you Sida : track the abuse of antibiotics
The 15/09/12, by Pryska Ducoeurjoly


NOTES

i UNAIDS, “The Gap Report“, 2014, pp. 5, 16, 9.

ii James Chin, The AIDS Pandemic: The Collision of Epidemiology with Political Correctness, Radcliffe Publishing, Oxford, UK, 2006.

iii "All studies of sexual partners show a very low risk of transmission of a report, of the order of 1 % or less ", rappelle par ailleurs James Chin. ITW par Priscilla Ducoeurjoly, HIV : Two Nobel Prize for medical error century ?, NEXUS (French edition), do not. 61, March-April 2009, p. 70-72.

in CDC, Weekly Report, 26 June 2015

we Giraldo, Roberto A., Tests for HIV are highly inaccurate, June 2000, section 1.6

vii Les noms cités ont été changé pour préserver les témoins…

x The Group for the Scientific Reappraisal of the HIV/AIDS Hypothesis.

xi The Alchemy of Flow Cytometry [En ligne]. Par le Dr Nancy Bank, Office of Medical and Scientific Justice. Disponible sur : http://www.omsj.org/corruption/the-alchemy-of-flow-cytometry (consulté le 11 December 2015)

xiii Aidsmap.com, 25 March 2014.

xiv Dossier «VIH Sida», Site www.inserm.fr

xv NOEL N., et Al., ANRS C021 CODEX STUDY GROUP. « Immunologic and Virologic Progression in HIV Controllers: The Role of Viral “Blips” and Immune Activation in the ANRS CO21 CODEX Study ». PLoS ONE [En ligne]. 2015. Vol. 10, n°7, p. e0131922.

xvi Interview téléphonique par Pryska Ducoeurjoly du 7 December 2015.

xvii « AIDS : 14 patients adultes contrôlent leur infection plus de 7 ans après l’arrêt de leur traitement ». In : Institut Pasteur [En ligne] (consulté le 16 December 2015)

xviii Interview et échanges par courriels menés par Pryska Ducoeurjoly en décembre 2015.

xix Dans les études sur les vaccins, le placebo est généralement le cocktail des adjuvants (aluminium). See Neo Santé septembre 2014.

xx Lauritsen, John, Poison by Prescription: The AZT Story, Pagan Press, New York, 1990. Lire l’article en anglais «AZT on trial», du même auteur : http://www.virusmyth.com/aids/hiv/jltrial.htm. Une compilation de plusieurs textes sur les trithérapies est disponible en français sur http://www.sidasante.com/azt/aztindex.htm.

xxi PULVIRENTI J. J. « Inpatient care of the HIV infected patient in the highly active antiretroviral therapy (HAART) era ». Curr. HIV Res. April 2005. Vol. 3, n°2, p. 133‑ 145. Voir aussi http://aras.ab.ca/haart-ineffective.php (les commentaires entre parenthèses sont ceux de David Crowe).

xxii Article de Pryska Ducoeurjoly, Ils contestent le lien entre le Sida et un virus, 26 juin 2012.

xxiv AIDS : les laboratoires misent sur des traitements simples. Le Figaro [En ligne] (consulté le 14 December 2015)

xxv UNAIDS, “AIDS by the numbers, 2015“, p. 3.

xxvii Interview et échanges par courriels menés par Pryska Ducoeurjoly en décembre 2015.

xxviii EVEN P. Corruptions et crédulité en médecine : Stop aux statines et autres dangers. Paris : Le Cherche Midi, 2015. 588 p. Sur l’ANRS, voir pages 480, 482-486.

xxx "Truvada is a combination of antiretroviral US laboratory Gilead that was put on the market,fr 2005 en tant que traitement pour les malades du sida. Il s’est ensuite avéré que, pris quotidiennement ou même quelques heures avant et après une relation sexuelle, il permettait à des personnes saines de réduire très fortement le risque d’être contaminées par le VIH. Ce traitement est relativement onéreux (500 euros la boîte de 30 comprimés) »

xxxi CNS, voir plus haut, rapport 2015, p. 18

xxxii Gratiet-Taicher E. Ipergay, l’essai de prévention du sida qui fait polémique. Le Monde.fr [En ligne]. 26 March 2012. (consulté le 15 December 2015).

xxxiv Mullis, Kary B., Phillip E. Johnson and Charles A. Thomas, Jr, “Dissenting on AIDS: The case against the HIV-causes-AIDS hypothesis“, The San Diego Union-Tribune, 15 May 1994,

xxxv Duesberg, Peter H., Inventing the AIDS Virus, Regnery Publishing, Washington, DC, 1996

xxxvii Également membre du conseil d’administration de Rethinking Aids. See ce texte (en anglais) où il contexte l’hypothèse officielle.

Related Articles

Keywords: , , , , , , , , , , ,

9 Comment “AIDS : voyage au pays de la serodissidence”

  1. Andre says:

    Here almost only 2 years that I discovered the dissident movement on HIV and your document only confirms my doubts about the veracity of’ harmful that this virus. I am also pleased that an independent French journalist is interested in this topic . Can–be the truth or at least discussions on the subject will be held for the media code of silence has lasted too long…cordially.

  2. Ashura says:

    HIV tests are completely unreliable. As a matter of fact, they only measure the overall level of particles in the blood. What is there, is that the test particles will bind to just about anything and everything that is present in the blood, without any specificity. Suddenly, if a person has a lot of particles in the blood (cellular debris for example), she will pass the test.

    This is why illness situations tend to positive the HIV test, it is because in many diseases, there will be an increase in the circulation of cellular debris.

    But there is also the taking of drugs with an anticoagulant effect which will cause this., since they will disaggregate the particles and cells they encounter into several sub-particles and therefore increase the level of particles circulating in the blood. In this class of drugs, include antibiotics and non-steroidal anti-inflammatory drugs. Donc, someone taking aspirin or antibiotics is at risk of the test coming back positive.

    Or, this is often what will happen during the so-called primary infection. The person will take anti-inflammatories or antibiotics. Then she'll get tested. And because of taking antibiotics or anti-inflammatories, the test may be positive.

    And since all antibody tests are non-specific, the person will also eventually be diagnosed with other microbial diseases in the process, which will make the diagnosis of seropositivity even more convincing.

    If the test reacts to as many diseases, is that in fact, it is not specific at all. The probability that he reacts just to these diseases but not to others is almost nil..

    On the influence of antibiotics on the HIV test, I had made a rather visual article (but in english only for now), available here :

    http://www.sidasante.com/forum/index.php?/topic/17510-how-antibiotics-can-make-you-hiv/

  3. vilayat says:

    Félicitations
    very good article unfortunately unread!

  4. May 2020

    Good Morning,
    Are there any other studies that show that HIV has still not been identified ? That there would be no causality between HIV and AIDS ?

    Thank you very much for your answer.

  5. Priscilla Ducoeurjoly says:

    it would be necessary to continue the investigations to find out!

  6. marilyne says:

    hello in France that they are the rights vis-à-vis the refusal to continue the treatment on a minor of 3 years (diagnosed at 2 years old during hospitalization due to Shingles and 40 ° fever, the mother is tested seronegative as well as the older brother of the 3-year-old child) now the mother has been reported because she no longer goes to appointments for the child etc..

    Can the court decide to withdraw custody?

  7. Daniel says:

    Good Morning. There are people who have tested positive and have never taken ARVs since 19 years exist. In Cameroon, a dissident doctor injected blood from a ” HIV positive ” in 2015. He lives in perfect health. He tested negative several times after this injection. He gave birth 2 children after injection. His, his wife and children are all seronegative.

  8. Franck Covello says:

    Good Morning,

    Brave,

    Nice recap, myself being part of the dissent.
    The truth already lights up all this anarchist, he doesn’ there is the one who does not want to see or hear who can still be manipulated and poisoned.

    Thank you for your beautiful energy !

  9. Josquina says:

    good morning,

    thank you for this written and well documented report!

    I have been trying to read on the subject from time to time for almost eight years.,
    and I am still amazed at how much the subject is still so taboo, and if "difficult to access"
    decidedly, medicine is really not a panacea ...

    And circular reasoning abounds there!…

    All these virus stories seem to me more and more like a kind of catch-all where there is such a wave,
    and such a twilight ...
    It's a shame that most people lack a critical mind and get demoralized by cookie-cutter diagnoses too often missing the mark ...
    The intelligence of the body, of Nature is powerful.

    Thank you, I will continue to visit the site!

    greetings from Quebec!

Leave a Reply