Grippé ? Le top du top des remèdes naturels

Note introductive : Il ne faut pas avoir peur de la grippe ! A moins d’avoir des antécédents d’insuffisance pulmonaire (au sens large du terme, terrain asthmatique, bronchites chroniques, etc), un épisode infectieux aigu n’est pas dangereux mais participe d’un processus naturel.
Je vous renvoie ici aux conceptions naturopathiques de la maladie, d’après le texte que j’ai rédigé sur ce sujet. En effet, la médecine actuelle a tendance à confondre maladie et manifestation de la force vitale.

Que les choses soient claires : le naturopathe ne voit pas dans toutes les maladies une manifestation de l’autoguérison, de la force vitale chère à Hippocrate.

Certaines pathologies, par forcément les plus graves d’ailleurs, correspondent à une aggravation de la charge toxémique du patient (constipation, ulcération, cancer, alzheimer), tandis que d’autres pathologies témoignent bien de notre capacité d’évacuation du problème (grippe, toux, crachat, éruptions cutanées).

Dans le premier cas, on parle parfois de transfert morbide : à force de bloquer les processus d’évacuation par des antibiotiques ou par la vaccination (entre autres médicaments potentiellement porteurs d’effets secondaires supplémentaires…), les toxines « à bas bruit » (dans le sens où on ne les voit pas), s’incrustent, s’enfoncent dans les tissus et la maladie se déplace pour réapparaître sous une autre forme (transfert de morbidité, cancer…).

Dans le second cas, on parle de crise curative. Cette dernière peut être impressionnante (fièvre) et même parfois fatale. L’organisme étant dépassé par sa propre tentative d’évacuation du problème (choc anaphylactique par exemple…). C’est là qu’il faut rester prudent et ne pas hésiter à être suivi médicalement (cela est alors tout à fait recommandé et approprié!) pour éviter que la situation s’aggrave. 

Dans un cas comme dans l’autre, la vigilance s’impose. En cas de maladie sévère, le diagnostic médical s’avère nécessaire pour déterminer si le pronostic vital est en jeu. Si vos jours ne sont pas en danger, une démarche naturopathique sera évidemment bénéfique.


Remèdes qui marchent et qu’on nous cache…

Le chlorure de magnésium

Si les propriétés du chlorure de magnésium avaient été reconnues en leur temps par l’Académie de médecine, plusieurs vaccins seraient sans doute inutiles…

Pourquoi les médias ne produisent-ils pas plus de sujets sur la prévention naturelle et sur les traitements alternatifs en cas de grippe ? Presse, radio, télévision nous vantent les mérites des vaccins et des anti-viraux comme le Tamiflu. Sans ces remèdes, point de salut ?

Rien n’est moins vrai en réalité. Dès la fameuse épidémie de 1918, l’arsenal thérapeutique étaient bien plus développé. Edouard Prouvost, dans ses « Remarques Cliniques et Thérapeutiques sur l’épidemie de grippe de 1918 » (paru en 1919 chez Jouve Cie), saluait ainsi les très bonnes performances en intraveineuse de l’argent colloïdal (un remède millénaire) et l’efficacité des abcès de fixation comme draineur des toxines (1).

Le vaccin n’avait pas vraiment fait son apparition, malgré quelques administrations de sérums qui faisaient davantage office de tests que de réels remèdes. Sur ce point, le jeune Prouvost, alors interne dans un hôpital militaire, avoue d’ailleurs ne pas avoir obtenu de résultats significatifs. Il documente davantage les effets de l’argent colloïdal (lire notre encadré).

Dans la psychose H1N1, on oublie également que la médecine dispose aujourd’hui des antibiotiques, une solution en cas de surinfection que ne connaissait pas Edouard Prouvost! C’est un atout de poids en cas de complications, plus efficace sans doute que le Tamiflu. Mais pas d’antibiotique sans probiotiques ! Ces derniers aident à préserver la flore intestinale, garante elle aussi de l’immunité. Mais ce ne sont pas les seules solutions à notre portée, d’autres remèdes ont été découverts depuis 1918, dont l’efficacité met à mal la doctrine du « tout vaccin ». Il est urgent de leur redonner une place de choix dans la pharmacie familiale.

Contre la polio, la grippe, le cancer, etc.

On doit au professeur Pierre Delbet (1861-1957) de nombreux travaux sur les bénéfices nombreux du Chlorure de magnésium(1). Médecin, chef de clinique, chirurgien des hôpitaux et membre de l’Académie de médecine, il fut obsédé, durant son internat, par la nocivité des antiseptiques utilisés à son époque pour nettoyer les plaies.

La guerre de 14-18, au cours de laquelle il est mobilisé comme chirurgien, lui permet de constater que la solution de chlorure de magnésium (MgCl2) donne des résultats extraordinaires. Pour les blessés, il va faire l’expérience de l’efficacité du MgCl2 par voie interne comme dynamisant cellulaire.

Plus tard, il fera la relation entre la rapide augmentation des cancers et la carence généralisée en magnésium. Il écrira à ce sujet deux livres : « Politique préventive du cancer », dans lequel il démontre l’incidence de la carence en magnésium dans le développement de cette maladie, et « L’agriculture et la santé », en collaboration avec d’autres spécialistes, où il montre que les modes de cultures intensifs et le raffinage carencent les aliments en Mg.

Ces deux livres n’ont guère suscité l’intérêt de l’Académie de médecine, pas plus que les travaux de son successeur, le Dr Neveu, sur le traitement de la diphtérie (dès 1932), du tétanos et de la poliomyélite avec le chlorure de magnésium. Le Dr Neveu a exposé dans « Le traitement cytophylactique de la poliomyélite par le chlorure de magnésium » quinze cas victorieux de maladie. Or, il affirme avoir obtenu des résultats probants non seulement en appliquant immédiatement le traitement au début de la maladie, mais encore nota des améliorations sur des patients traités par les médicaments allopathiques et étant déjà atteints de paralysies étendues et parfois totales.

Malheureusement, ces travaux n’ont pas fait le poids face à l’orientation de la recherche vers les vaccins, en plein démarrage. A cette époque, les premiers vaccins commencent à sortir de l’Institut Pasteur et la médecine de terrain n’est pas la bienvenue. Le chlorure de magnésium, environ 2 euros en pharmacie, concurrence directement le vaccin DTP… Est-ce pour cela qu’on en n’entend pas parler?

On doit aussi au Dr Neveu ce constat durant l’épidémie de grippe sévère de l’hiver 1934-35. « Les vieillards furent à peu près tous contaminés et tous s’en tirèrent par la solution de chlorure de magnésium. Ce médicament leur coupe la fièvre ». Bon à savoir!

Aliment pour la cellule nerveuse

Pour les récalcitrant au goût amer du Chlorure de magnésium, et même pour les autres, il est encore mieux d’opter pour le Chlorumagène (2) pour tous les usages internes. Ce médicament prescrit pour la constipation se transforme en chlorure de magnésium à l’état naissant dans l’estomac.

Le Dr Martin Du Theil, son grand défenseur, écrivait, après quinze ans d’utilisation du produit: « Il constitue un véritable aliment d’épargne pour la cellule nerveuse dont il compense immédiatement les dépenses.

« Le grand sympathique (système qui préside à l’état d’éveil, ndlr), grâce à l’énergie ainsi conservée intacte, maintient l’organisme à l’abri de la maladie en rendant vaine toute attaque microbienne. Il n’est pas de meilleur agent prophylactique (de prévention, ndlr) contre toutes les maladies de nature infectieuses et c’est à ce titre que je conseille d’en faire un usage quotidien ou du moins assez fréquent » (3). Mais aussi, « Il convient à tous les âges, il n’irrite pas pas muqueuse intestinale ».

Et la grippe ? Justement, le Dr Martin du Theil en parle dans son ouvrage. Son témoignage mérite ici reproduction : « J’ai commencé à l’appliquer dès le mois de septembre 1918. Démobilisé à cette date, je suis revenu à Neuilly au moment où la fameuse grippe de 1918 faisait son apparition. Je fut amené à constater, dès le début, que les personnes les plus sérieusement atteintes étaient, en général, de jeunes femmes, et j’en compris bientôt la raison.

 « Eloignées de leurs maris, depuis août 1914, ces jeunes femmes vivaient dans une angoisse perpétuelle, dans l’attente de nouvelles. Puis, la lettre désirée lue, l’anxiété revenait à l’idée que le signataire ne vivait peut-être déjà plus. Leur système nerveux épuisé les avait laissées sans défense devant l’attaque microbienne. Sans hésitation, remontant de l’effet à la cause, je concentrai tous les efforts sur le système nerveux.

« Le succès fut aussi complet qu’il pouvait l’être, puisque j’eus la satisfaction de n’avoir pas un seul décès à constater. (…) Cette méthode m’a donné des résultats dans deux maladies considérées comme des plus redoutables, c’est à dire la tuberculose et le cancer. (….) Depuis dix ans, je soumets systématiquement tous mes malades opérés de cancer, à un traitement comportant l’usage, quotidien au début, de chlorumagène, qu’il s’agisse de cas anciens ou récents _ l’un d’eux date de fin 1918_ depuis dix ans, dis-je, je n’ai eu à constater qu’une seule récidive », écrit le médecin en mars 1929. Inutile de préciser que ce remède convient aussi aux déprimés!

  1. Un abcès de dérivation ou « de fixation », est un abcès provoqué, dans un but thérapeutique, par l’injection hypodermique d’essence de Térébenthine. Prouvost constate qu’il provoque un crise curative salutaire dans les cas les plus atteints. La technique est aujourd’hui (malheureusement) abandonnée.
  2. Toujours disponible en pharmacie (sachet de 20g, à dissoudre dans 1,5 litres d’eau, à boire tout au long de la journée, par petite gorgée. Une bouteille peut faire deux jours). C’est le Nigari, en boutique bio. Précautions nécessaires pour les insuffisants rénaux.
  3. également en pharmacie ! Un quart de cuillère à café dans un verre d’eau, deux à quatre fois par jour environ. Pas d’action nocive sur le rein d’après le Dr Martin du Theil.
  4. Dans « La défense du système nerveux », librairie scientifique et médicale Amédée Legrand, 1933. Réédité plusieurs fois et que l’on peut se procurer, en occasion, sur internet.

L’argent colloïdal

Utilisé depuis l’antiquité, c’était l’un des remèdes les plus utilisés dans la première moitié du XXe siècle. Depuis, les médicaments modernes l’ont chassé de nos officines. L’argent colloïdal est une solution contenant de l’argent en suspension. On ne peut plus se le procurer en pharmacie (par quel mystère ?), mais on peut en trouver sur internet (à terme, le mieux reste de le fabriquer soi-même, après un investissement d’environ 200 euros). Ses usages sont multiples et ont été rappelés par Frank Goldman, dans « Une arme secrète contre la maladie » (2004, le Lotus d’Or), un ouvrage malheureusement épuisé.

D’autres rares remèdes contenant de l’argent colloïdal ou du nitrate d’argent sont néanmoins disponibles en pharmacie comme le Stillargol, collyre à 1% de protéinate d’argent en solution que l’o peut détourner de son emploi premier (quelques gouttes par jour à diluer dans de l’eau pure, style MontRoucous) et le cuivre-or-argent chez Oligostim ou oligosol. C’est davantage sous forme de pommade que l’on trouve l’argent colloïdal (en externe seulement donc). Le magazine Nexus consacrera prochainement un dossier plus complet sur ce remède qui obtient des résultats absolument prodigieux sur des pathologies aussi complexes que le HIV, la malaria, la maladie de Lyme, d’après de récentes études effectuées par des chercheurs, américains notamment.

Une étude intéressante sur l’action de l’argent colloïdal dans des cas de SIDA, déjà ancienne mais toujours valable, se trouve sur les pages http://www.vrp.com/articles.aspx?ProdID=art518&zTYPE=2 et http://www.vrp.com/articles.aspx?ProdID=art693&zTYPE=2 (pour les anglophones).

Le MMS

Jim Humble est le grand vulgarisateur de l’usage de ce qu’il a appelé le Miracle Mineral Supplement. Il faudrait une recherche supplémentaire au sujet de ce remède, mais voici quand même les conclusions de ce chercheur.

Il s’agit en fait d’une solution de bioxyde de chlore, obtenue à partir de chlorite de sodium, un produit couramment utilisé comme désinfectant (piscine, aliments industriels, etc) et que Humble a expérimenté depuis une bonne dizaine d’année en Afrique (notamment pour la malaria). On lui doit deux ouvrages, dont le Tome 1, gratuit, raconte l’histoire de sa découverte. Humble explique pourquoi ce produit est, selon lui, le plus puissant tueur de germe jamais connu. « le MMS ne soigne pas la maladie, mais il aide le système immunitaire ». L’auteur précise que, pendant 80 ans, des centaines de milliers de personnes ont ajouté quelques gouttes d’oxygène stabilisé à leur eau de boisson, et l’ont bu pensant que cela apportait de l’oxygène à leur organisme. « Ils n’ont pas réalisé que les bénéfices venaient du bioxyde de chlore ». Pour obtenir directement la production de bioxyde de Chlore, Humble ajoute du citron à une solution de 28% de chlorite de sodium (le MMS). La posologie se fait évidemment au goutte à goutte! De 2 à 30 gouttes par jour (mélangées avec le double de gouttes de jus de citron) en fonction de la gravité du mal-être. Selon Humble, ce produit utilisé pour désinfecté les locaux américains pendant les attaques de l’anthrax convient donc parfaitement en cas d’attaque bactérienne ou bactériologique… Site officiel : www.mmsfrancais.com

 

Autres solutions naturelles. L’extrait de pépin de pamplemousse, les huiles essentielles (lavande, ravintsara, tea tree), les vitamines C (naturelle) et D (huile de foie de morue), le zinc, les produits de la ruche (propolis, pollen frais congelé et gelée royale), Bryonia et Gelsemium en homéopathie, ou encore l’échinacéa (en teinture mère, comprimés ou en extrait de plantes fraîche standardisées avec le Cyprès, EPS).

PARU DANS LE MAGAZINE NEXUS (novembre-décembre 2009). Reproduction autorisée avec mentions légales


Voici aussi d’excellentes pistes pour approfondir la question,

issues du site (suisse) de Denis Bloud : http://dbloud.free.fr/rhume.htm

Traitement de la Grippe

Grippe A-H1N1 : l’antiviral naturel de choc est tout simplement le Raifort !

Un antiviral naturel surpuissant dont un grand laboratoire empêche la commercialisation, un petit laboratoire du sud de la France qui reprend la formule : voilà bien qui mérite que l’on s’y intéresse. L’extrait de raifort pourrait bien être la solution de rechange de choc pour contrer l’infection de la grippe A à la rentrée. L’extrait de jus de radis antiviral (P.D.G. = Peroxyde de Diphényl-Glycosal) a bien failli ne jamais voir le jour. Au moment de sa découverte (dans les années 80) et des premières publications scientifiques démontrant son activité antivirale exceptionnelle, c’est le début des cas de SIDA aux Etats-Unis. Un grand laboratoire très connu, qui s’apprêtait à commercialiser le tristement célèbre AZT, trouvait très dérangeant qu’un produit naturel ait des résultats aussi puissant contre les virus et s’inquiétait de la concurrence. Le découvreur de ce nouveau produit, le Dr Gregorio Ramon Cebrian, chercheur à l’Université de Médecine de Madrid et auteur de plusieurs publications dans de grandes revues scientifiques, a alors eu plusieurs visites de représentants de ce grand laboratoire. Suite à des pressions énormes de la part de ces visiteurs, l’inventeur jugea plus raisonnable, pour son produit et pour sa propre sécurité, de leur céder les droits du P.D.G.  Mais plutôt que d’exploiter commercialement ce trésor thérapeutique, le grand laboratoire préféra l’oublier dans un tiroir. Comme le droit international le stipule, toute formule tombe dans le domaine public après vingt ans de droit exclusif et devient libre d’exploitation. C’est maintenant un jeune laboratoire de Toulouse, en lien avec les anciens collaborateurs du docteur de Madrid, qui a décidé de reprendre et de faire connaître cet extraordinaire antiviral.

Des propriétés antivirales reconnues depuis le XVIIIe siècle

Quelques repères : le P.D.G (Peroxyde de Diphényl-Glycosal) est un complément alimentaire élaboré au département de Toxicologie de l’Instituto de Salud San Carlos III, Université de médecine de Madrid. Plusieurs études ont été réalisées lors de son élaboration sur différents virus entraînant: grippes, rhumes, hépatites virales, endocardites, herpès, ou mononucléose. Dans tous les cas, le P.D.G a démontré une activité sur chacune de ces souches et différents virus. Le Dr Cebrian s’était intéressé au raifort car diverses propriétés antivirales de cette plante étaient déjà bien connues. Des textes des XVIe et XVIIIe siècles décrivent que le jus de la racine de raifort peut guérir les lésions de la peau et que la racine coupée en rondelles et bouillie dans du lait nettoie la peau de ses taches, petites ampoules et boutons. L’élimination de ces lésions infectieuses s’explique par sa richesse en peroxydase et en acide mironique-sinigrine, qui sont des composants naturellement antioxydants, cicatrisants, antibactériens et antiviraux. De plus, le raifort est une plante très courante sous nos latitudes. Son nom latin est Armoracia rusticana G. Gaertn. et al. (Synomyne : Cochlearia armoracia L. ou Armoracia lapathifolia). Le raifort appartient à la famille des Crucifères. Sa diffusion dans les zones tempérées d’Europe a permis son utilisation pour différentes applications et une grande facilité quant à l’étude de ses propriétés. Détruisant les cellules infectées par le virus afin d’arrêter sa prolifération, l’activité du P.D.G est bien conforme aux théories de son découvreur, le Dr Gregorio Ramon Cebrian qui, dès 1965, sélectionna ce type de molécule afin de capter des électrons et d’ainsi interférer dans le processus de transport électronique dans les cellules parasitées par des virus produisant un comportement anormal de la cellule. D’après les études du Dr Cebrian, les molécules actives du P.D.G sont capables d’altérer définitivement l’équilibre électrique anormal des cellules reconnues comme infectées et exclusivement dans celles-ci, décimant ainsi les cellules porteuses des virus et stoppant leur reproduction et dissémination dans le corps. Le P.D.G. peut être facilement métabolisé et éliminé par l’organisme une fois sa tâche accomplie. Il n’y a donc aucun risque de toxicité ou d’accumulation dans le corps.

Si l’on veut acheter l’extrait de raifort plutôt que d’en manger en salade :

Une prise toute les huit heures. Le PDG se présente sous forme de comprimés. Les études publiées, réalisées sur des souches de virus de la grippe, montraient une amélioration de l’état général au bout de trois jours, à raison d’une gélule toutes les huit heures. Les symptômes: fièvre, fébrilité, courbatures, irritation des voies aériennes supérieures, disparaissaient dans le même temps. Les patients les plus lourdement touchés par l’infection virale peuvent augmenter la prise jusqu’à trois par jour, toutes les huit heures. LGB, Distributeur France-Espagne du Raifort (appelé « Raphanus » ou « Radis noir » par erreur de traduction), qui s’est engagée à respecter un prix de vente public identique au prix des pharmacies espagnoles, a finalement opté pour un prix de vente inférieur, afin qu’un maximum de personnes qui optent pour une autre solution non chimique de la grippe puissent avoir accès à ce produit 100% naturel. La boîte de 30 comprimés de raifort antiviral contre la grippe H1N1 est à 25 €  et  la crème au raifort anti-herpès est à 18 € en tube de 15 g.

Le pastis comme antidote de la grippe porcine ?

A propos du Tamiflu, il faut noter que cet antiviral (qui ne fait que freiner le virus) est un simple extrait pharmaceutique d’une plante proche de l’Anis étoilé ou Badiane chinoise ! Comme l’écrit Pierre Wattecamps : « Pas de panique ! De quoi est constitué le tamiflu ? D’oseltamivir, produit à partir d’acide shikimique, lequel tire son nom du shikimi (シ キミ, Illicium anisatum), autrement dit la badiane japonaise. Or qu’est-ce que la badiane ? C’est la fleur qui contient l’anis gras qu’on utilise dans la fabrication du pastis. Alors, si vous voulez être immunisés contre la grippe porcine, pas de panique : buvez du Ricard ou du 51« . Dans Wikipédia, nous lisons en effet ceci:

L’anis étoilé a des propriétés stomachiques et carminatives. Utilisé en infusion, il supprime les ballonnements et diminue les gaz. [La badiane chinoise est aussi utilisée dans la fabrication de l’acide shikimique. Cet acide qui ne présente aucune activité antivirale, sera transformé plusieurs fois avant de devenir le phosphate d’oseltamivir, molécule active du Tamiflu, médicament antigrippal des laboratoires Roche, utilisé contre la grippe humaine et, à défaut d’autre médicament, contre la grippe aviaire. Le procédé de fabrication ne consiste nullement en une distillation comme pour obtenir de l’huile essentielle. Cette utilisation pharmaceutique de la badiane chinoise ou anis étoilé est à l’origine de la flambée de son prix. Cependant, l’oseltamivir pouvant être maintenant obtenu à partir de différents procédés (bio-fermentation, synthèse chimique[, autres plantes), les prix pourraient être amenés à baisser. Attention de ne pas confondre, en particulier lorsqu’elle est en poudre, la badiane chinoise et la badiane japonaise, qui est toxique et dont l’utilisation n’est pas autorisée en France.

Le jeudi 24 septembre 2009, j’ai acheté dans une pharmacie française un flacon de 125 ml de teinture mère d’Illicium Verum (Anis étoilé), préparée par les laboratoires Boiron) au prix de 15,65 €. Avec la pipette graduée contenue dans la boîte, j’ai déposé une dizaine de gouttes de cette teinture dans un verre d’eau ultrapure et j’ai vu se former le sympathique nuage blanc du pastis : le goût de cette solution est, psychologiquement, d’autant meilleur que l’on imagine à bon droit prendre un substitut naturel du Tamiflu chimique !

Autres traitements naturels

Comme me l’a écrit un ami dentiste : « En cas de refroidissement ou en lieux contaminants, prendre immédiatement 3 ou 4 granules d’ « Influenzinum 9CH » sous la langue, puis 2 h après, puis toutes les 8 h. Je l’ai testé avec la grippe saisonnière: cela réagit super bien, d’autant plus que la prise est faite plus tôt après la contamination ». A titre préventif (vaccination homéopathique), alterner les prises d’Influenzinum 9 CH avec Sérum de Yersin. Pendant le mois de novembre de chaque année, alterner Influenzinum et Sérum de Yersin pendant 4 semaines (soit 2 semaines de chaque remède). Recommencer la cure du 15 janvier au 15 février. Ne prendre Oscillococcinum qu’en cas d’état grippal avéré, comme traitement d’attaque, éventuellement en synergie avec Influenzinum. Dans le cadre de la prévention des rhumes et grippes, penser aussi à Thymuline 9 CH, « qui stimule l’immunocompétence des lymphocytes T », afin de renforcer notre système immunitaire (qui, contrairement à la Pensée unique d’ouverture à tout et à tous, doit quand même refuser l’entrée aux éléments étrangers par un « réflexe sécuritaire et autoritaire » amalgamé subconsciemment au « fascisme » avec un délice secret de bonne conscience et d’obsession personnelle).

Avant tout emploi d’antibiotiques ou d’autres médicaments, il serait logique –en présence d’infections bactériennes- de faire appel aux bactériophages, qui sont plus efficaces et plus puissants, mais qui malheureusement ne sont plus commercialisés que dans les pays de l’Est (Russie, Géorgie, Pologne p. ex.). Voir à ce propos le livre du Dr Alain Dublanchet: Des virus pour combattre les infections (240 p., 2008, éd. Favre) qui fait le point sur la très intéressante et très prometteuse phagothérapie. Les bactériophages n’attaquent toutefois pas les autres virus.

D’après le grand guérisseur américain Edgar Cayce, les virus du rhume et de la grippe ne peuvent se développer que dans un terrain acide. Il préconisait donc, dès les premiers signes de rhume ou de grippe, une alcalinisation temporaire de l’organisme par absorption –toutes les heures environ- d’eau ultrapure additionnée de bicarbonate de soude (à raison de 2,5 cuillères à café par jour) pendant deux ou trois jours. En cas de mal de gorge ou de toux, Edgar Cayce conseille également de poser un cataplasme chaud à l’huile de ricin autour du cou. (référence : p. 160 du livre « Les Remèdes d’Edgar Cayce » par le Docteur William Mac Garey, traduit par Dorothée Koechlin de Bizemont, Editions du Rocher, 282 p., 1994).

Dans les états prégrippaux, plusieurs « remèdes de cheval » ou de « grand’mère » (indiqués ci-dessous) sont immédiatement applicables, ainsi que d’anciennes spécialités pharmaceutiques éprouvées. Les produits soulignés sont à acheter en France, les autres en Suisse.

A – Défenses immunitaires

1)         Echinacée et Ginseng (gouttes Echinacin (100 ml, Madaus, Köln) ou préparation magistrale n° 214 de chez Alpinamed (avec eleutherococcus, spilanthes et echinacea); miel à la gelée royale avec huiles essentielles spécifiques;

2)         humidification de l’air de la chambre à coucher (environ 50 %) par évaporation d’eau (p. ex. sur un réchaud électrique) avec huiles essentielles ou pastilles pour inhalations Perubore (en Suisse Perubare, 6.80 CHF/30 comp.) ou Solution Rhume n°16 Médiflor (5,48 €/ 90 ml) ;

3)         vitamine C à haute dose (agrumes, configures d’argousier ou d’églantine, Laroscorbine 1000 mg, effervescente et non sucrée) ou vitamine C à l’acérola 750 mg et pur églantier (Célardin) 1 g;

4)         cataplasmes (sinapismes) « Rigollot » (sachet de 10) sur le thorax;

5)         bains chauds (20 min) avec 30 ml de Perskindol (250 ml, 18.80);

6)         antibiotiques naturels (ail, oignon, et (si pas d’allergie à la pénicilline): tartines de bleu de Bresse, Roquefort ou similaire; Combucha, eau ultrapure, p. ex. celle du Mont Roucous ou du Montcalm (rH2<28!); les gousses d’ail peuvent être simplement avalées afin d’en éviter les émanations buccales.

7)        « Cerivikehl » Sanum, 30 ml (remède isopathique).

8)        huiles essentielles spécifiques (Synergie IV: Grippe) à ajouter dans le miel, l’huile de salade et le vinaigre, ainsi qu’à inhaler ou oindre sur le thorax, le cou et la plante des pieds (p. ex. pommade Vicks Vaporub). Voir à ce sujet l’article du Dr Baudoux intitulé « Grippe H1N1: précautions pour une saine gestion du risque avec les huiles essentielles ».

9)       argent colloïdal, par exemple sous la forme du collyre « Stillargol » à 1 % de protéinate d’argent en solution (1 goutte/jour dans de l’eau ultrapure).

10)     magnésium (sous forme d’hydroxyde (Mg(OH)2) générique ou de « Chlorumagène ») à diluer dans de l’eau ultrapure.

B – Gorge

1)         badigeonner la gorge (luette) au bleu de méthylène avec un tampon porte-collutoire aseptique (« Tampobleu », boîte de 20 badigeons – Coopération Pharmaceutique Française – 77001 Melun) ; le bleu de méthylène peut aussi être absorbé en interne (3 gouttes par litre d’eau ultrapure).

2)         gargarismes (vinaigre, Hextril, eau + miel + bleu de méthylène etc.) ;

3)         enveloppements/compresses vésicatoires chaudes sur le cou avec essences balsamiques et/ou avec 250 g de séré (ebi-forum 64/2009)

4)         suppositoires « Amygdorectol » au bismuth (Merck-Clévenot) ;

5)         nébuliseur buccal « Collu-Blache » ; nébulisation de Camillosan ;

6)         pastilles à la thyrotricine (« Tyrotricine-Solutricine ») ; «Mébucaïne », « Drosana Broncho » à l’éphédrine (Pharmadro/Bienne), « Lemocine Citron ») ;

7)         pâtes pectorales PPG (Piraud) à la codéine (8.30 CHF/36 pastilles), pastilles « Isla-Moos » au lichen (Pharmakos, Zurich), bonbons et sirops aux herbes (attention aux produits « sans sucre » contenant de l’aspartame et/ou de l’acésulfame!) ;

8)         gouttes « Broncosyl » et « Sinaryl » Homberger (tél. 004122 310 45 33 pour envoi à domicile) ;

9)         homéopathie : globules « Similasan – Maux de gorge n°1 » ; « Sinuspax » Lehning, « Infludo » Weleda, Homéogrippe Boiron;

10)       doses « Oscillococcinum » et d’ « Influenzinum 9CH » ;

11)        infusion de racine de guimauve (ebi-forum 64/2009) (interne et gargarismes)

12)        découper des oignons et les poser près du lit durant la nuit (ebi-forum 64/2009)

C – Nez

1)          jeûne pendant 24 ou 36 h ;

2)          gouttes nasales « Balsamorhinol » ;

3)          Pommade nasale Weleda ; onguent nasal « Bépanthène » Roche ;

4)          rinçages du nez avec de l’eau salée (ou avec des ampoules de « Prorhinel »)

5)          homéopathie : « Coryzalia » (Boiron) et « Alceprin » (Dolisos)

6)          allopathie (avec prudence): « Rhinopront » à la phényléphrine (11.35 CHF/12 capsules en janvier 2005)(Pfizer Zurich) ;

7)         comprimés « Doli rhume » (paracétamol+pseudoéphédrine) (= « Prétuval », « No-Flu », « Denoral ») ;

8)         complexe « L52 » (Lehning, très efficace pour les états grippaux) ;

9)          manger du raifort (crème de raifort à 67% à la Migros et à 50 % à la Coop)(GHI 1/5/97–Trinquedoux)

10)       pulvérisations nasales (dès les premiers symptômes du rhume) avec « Vicks Première Défense » (flacon de 15 ml, 7.50 €). Il s’agit d’un gel de méthylcellulose « à base d’extrait de plantes », dont l’action mécanique me paraît quelque peu analogue à l’action biochimique du Tamiflu, c’est-à-dire que le virus est encapsulé par le gel afin de faire écran entre les enzymes virales et les parois des cellules saines. Le pH acide du produit inactive le virus, qui est ensuite éliminé par augmentation osmotique de la sécrétion de la muqueuse nasale. Prévoir quelques éternuements et une irritation locale temporaire (comme je viens de le constater après un essai en sortant de la pharmacie) !

D – Toux

Il ne faut pas associer les remèdes pour toux sèche sans expectorations (aspirine, codéine, dextrométhorphane, morclofone, butamirate…) avec les remèdes pour toux grasse avec expectorations (mucolytiques) !

Toux sèche (dextrométhorphane): sirop, gouttes, comprimés « Bexine » (8.35 CHF/150 ml) ou sirop Akindex adulte 200 ml, Sirop Nodex adulte 150 ml ou pâtes à mâcher, sirop Nortussine adulte 125 ml.

Toux grassemucolytiques facilitant l’expectoration (acétylcystéine, codéine, guaifénésine): Acétylcystéine Générique 200 mg (fluidifiant des sécrétions, qu’il faut ensuite expectorer (= oser cracher !)), boîte de 30 sachets: 3,94 €; ou « Mucomyst », « Fluimucil », comprimés « Solmucol », «Tixair », sirop Rhinothiol, etc.) « Résyl Plus » Novartis 200 ml (9.60 CHF/200 ml) ou Pulmofluide éphédriné 180 ml, Curibronches 180 ml, sirop (et onguent) Tubérol 200 ml, capsules Nétux. Sirop, pastilles et pommade pectorale Vicks.

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