Gardasil, le vaccin qui augmente le risque de cancer

Propos recueillis par Pryska Ducoeurjoly, pour la revue Néo Santé n°86, février 2019.

Onze vaccins obligatoires en France, ce n’est apparemment pas suffisant… Une nouvelle obligation vaccinale, cette fois contre le papillomavirus (HPV), fait l’objet d’une proposition de loi[1] : « Dans les pays où la vaccination a été étendue de manière très large et mixte (États-Unis, Australie, Canada), les nouveaux cas de lésions précancéreuses du col de l’utérus ont chuté de 90 % en 10 ans », argumente les députés à l’initiative du texte.  Mais le dernier livre de Nicole et Gérard Delépine, « Hystérie vaccinale, vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe » présente une réalité contradictoire :  après 10 ans d’obligation vaccinale, non seulement l’efficacité promise par les laboratoires n’est pas au-rendez-vous mais le taux de cancers du col de l’utérus serait aussi multiplié par deux chez les jeunes filles vaccinées dans ces pays !
En France, il y a 3000 cancers du col de l’utérus en France chaque année, pour 1000 décès. 700 pourraient être évités grâce au dépistage par frottis. Mais les autorités sanitaires préfèrent promouvoir la vaccination de masse en faisant confiance aux études falsifiés des laboratoires ou à des études “prédictives” réalisés par des scientifiques pas vraiment indépendants. Nous sommes à la veille d’un nouveau scandale sanitaire nommé « Gardasil ». Interview des auteurs.

Vous affirmez dans votre ouvrage que le vaccin Gardasil augmente le nombre de cancers invasifs du col de l’utérus. C’est un fait nouveau dans ce dossier déjà controversé à cause des effets secondaires…

Nicole Delépine. Jusqu’à présent, de nombreuses personnes ont alerté sur les effets secondaires du Gardasil. Mais la population reste sensible à l’argument officiel martelé par les grands médias: « Ce vaccin protège contre le cancer du col ». Les gens sont prêts à accepter “quelques” effets indésirables parce qu’ils croient à cette affirmation, mais aussi parce les accidents vaccinaux restent sous médiatisés !  Quand la population découvrira que l’objectif de la diminution du nombre de cancers du col n’est pas atteint, elle va sans doute remettre en question le bénéfice/risque de cette vaccination… Or, ce que nous avons découvert est encore plus grave : le vaccin Gardasil augmente le nombre de cancers de l’utérus ! C’est ce que l’on appelle un effet « paradoxal ».

Gérard Delépine. En août 2018, aucune des 30 études mondiales qui s’intéressent aux bénéfices “en vie réelle” de la vaccination ne précisait les résultats sur le cancer invasif du col utérus. Pourtant c’est bien le but officiel de la vaccination, son principal argument de publicité… Ces études ne parlent que du succès sur l’infection au HPV (pas du cancer du col en lui-même donc), les verrues génitales ou les dysplasies cervicales. On part du postulat que l’infection au HPV est forcément synonyme de cancer. Or c’est loin d’être la réalité car dans 98 % des cas l’infection se résorbe spontanément.

Comment avez-vous découvert cet effet « paradoxal » du Gardasil ?

Gérard Delépine. Je suis tombé par hasard sur une publication d’un certain Lars Andersson[2], qui s’intéressait à la Suède, pays où la vaccination contre le papillomavirus est réalisée chez plus de 80% des jeunes filles. Il constatait une augmentation du nombre de cancers du col utérus. Interpellé, je me suis penché sur les registres officiels des pays où la vaccination contre le papillomavirus est massive. Ces registres sont consultables par tous, mes chiffres sont donc vérifiables.

Vous avez étudié notamment le cas de l’Australie.

Gérard Delépine. L’Australie, premier pays à organiser la vaccination pour les filles, dès 2007 puis pour les garçons, en 2013, est souvent citée comme l’exemple de succès de la vaccination contre le cancer. Par exemple, dans le Figaro Santé du 15 mars 2018, on pouvait lire « L’Australie sur le point d’éradiquer le cancer du col utérus ». C’est de la désinformation. D’après l’Australian Institute of health and Welfare, l’équivalent de notre autorité de santé, l’incidence (nombre annuel de nouveaux cas pour 100000 femmes) du cancer du col dans la population globale n’a pas diminué depuis la vaccination. Au contraire, chez les classes d’âge vaccinées, donc les plus jeunes, les chiffres 2017 montrent que l’incidence de cancer augmente fortement depuis la vaccination ! 113 % d’augmentation pour les femmes de 20-24 ans vaccinées pour plus de 80 % d’entre elles à 13-17 ans. Durant la même période, chez les femmes plus âgées, non vaccinés, l’incidence du cancer a diminué, très probablement en raison de la poursuite du dépistage par frottis, qui est la seule véritable solution préventive prouvée. On constate le même « effet paradoxal » du Gardasil dans les pays où le taux de vaccination avoisine les 80 %. En Grande-Bretagne, le taux de cancer du col des femmes âgées de 25 à 29 ans a doublé et a augmenté de 70 % chez les femmes de 20 à 24 ans. Même constat en Suède où depuis la vaccination le risque a doublé chez les femmes de 20 à 24 ans, et en Norvège.

Et en France ?

Gérard Delépine. La France métropolitaine, où la couverture vaccinale anti HPV est très faible (environ 15 %), peut être considérée comme un “pays témoin”. L’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012 et 6 en 2017, uniquement grâce au dépistage par frottis. Ces excellents résultats avec taux de cancer très bas et de mortalité très faible, risquent cependant d’être anéantis par l’obligation vaccinale envisagée à court terme par nos politiques.

Vous soulignez un autre effet pervers de la vaccination : des cancers du col de l’utérus beaucoup plus précoce !

Gérard Delépine. Le cancer du col post-vaccinal apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et affecte exclusivement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés. La précocité de l’augmentation de l’incidence, dès la troisième ou quatrième année après la vaccination plaide pour une action accélératrice directe du vaccin qui se comporterait comme un facilitateur du cancer du col, dont l’évolution naturelle nécessite plutôt 10 à 20 ans.

L’efficacité anti-infectieuse du vaccin limitée à 4 ou 9 souches de HPV sur plus de 150 connues, crée une véritable « niche écologique », favorable à la prolifération des autres souches éventuellement plus dangereuses. Ce « remplacement de type » a été confirmé par l’étude de Fangjian Guo[3] observant que l’éradication de certains types de HPV entraînait l’émergence des types non inclus dans le vaccin. L’élimination des souches visées par les vaccins permet aux autres souches de se multiplier, certaines pouvant se révéler plus dangereuses que celles qu’elles remplacent.

Nicole Delépine. Il y a aussi un autre phénomène : l’augmentation du risque de cancers invasifs chez les femmes préalablement infectées par le virus HPV est connue depuis l’examen initial du dossier fourni par le laboratoire pour l’obtention de l’autorisation de mise sur le marché ! Cela avait même justifié la recommandation de la FDA d’effectuer la vaccination avant les premiers rapports sexuels. Mais cette recommandation a été négligée pour rapidement élargir le marché : de nombreuses vaccinations (dites de rattrapage) ont été réalisées chez des femmes sexuellement actives, pouvant aussi expliquer en partie l’augmentation récente de l’incidence des cancers invasifs dans tous les pays à forte couverture vaccinale, comme la Suède et la Norvège, en particulier chez les femmes qui avaient plus de 16 ans lors de la vaccination.

Le nouveau Gardasil 9, pourtant censé immuniser les femmes contre un nombre supérieures de souches ne sera donc pas plus efficace ? 

Nicole Delépine. L’efficacité du Gardasil 9 a été comparée à celle du Gardasil qui a fait office de placebo ! Vu que le Gardasil n’a fait aucune preuve de son efficacité et qu’en plus on constate aujourd’hui un nombre supérieur de cancers, nous ne voyons pas comment le Gardasil 9 sera plus sûr ou plus efficace. Par rapport au Gardasil 4, il n’apporte d’ailleurs aucune amélioration du service médical rendu selon la Haute Autorité de Santé. À notre avis, il va surtout augmenter l’incidence des cancers du col de l’utérus et gommer la baisse obtenue grâce à la généralisation du frottis. Nous estimons que la mise sur le marché de ce vaccin est tout aussi inadmissible que la première. Et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour éviter l’obligation vaccinale souhaitée par le gouvernement français.

Dans votre ouvrage vous taclez aussi un autre vaccin destiné à lutter contre le cancer : la vaccination hépatite B, incluse dans les 11 vaccins obligatoires en France.

Gérard Delépine. La vaccination anti-hépatite promue pour son action anti-cancer, a été suivie en France, comme aux USA, d’une augmentation considérable de l’incidence du cancer du foie. Son incidence a doublé en 20 ans en France (de 6,8 pour 100 000 en 1995 à 13,6 en 2017), et quadruplé aux USA. Pourtant, la consommation d’alcool, principale cause de ce cancer, a considérablement régressé dans la même période. Encore un vaccin avec un « effet paradoxal »…

Vous dénoncez aussi l’élargissement du vaccin contre le papillomavirus aux garçons.

Nicole Delépine. “Malheureusement” les hommes ne craignent pas le cancer de l’utérus, Big Pharma a besoin d’autres marchés. À nouvelle cible marchande, nouveau scénario promotionnel : on effraye l’opinion publique avec les cancers ORL dus à la contamination par le sexe des femmes. On veut aussi faire croire que le vaccin contre le cancer du col de l’utérus va protéger contre le cancer du canal anal. Le journal Le Monde a publié en Mai 2018[4] une tribune terriblement trompeuse utilisant la peur, « la douleur et le malheur », pour promouvoir la vaccination anti HPV chez les garçons et préparer la population à l’obligation qu’espère bien imposer le lobby pharmaceutique et ses amis politiques. Or l’augmentation paradoxale du risque de cancer du col de l’utérus après le Gardasil est avérée aussi pour les cancers du canal anal à la lumière des registres du cancer de la Grande Bretagne et de l’Australie.

Gérard Delépine. Entre 2007 et 2015, la vaccination des filles australiennes a été suivie d’une augmentation du risque de cancer anal de 25 %, alors que chez les garçons, non vaccinés avant 2013, l’incidence n’a pas augmenté. En Angleterre, entre 2007 et 2015, la vaccination des filles, loin de les protéger du cancer anal, a été suivie d’une augmentation du risque de ce cancer de 55 %, quatre fois plus élevée que chez les garçons non vaccinés (+13 %). L’extension de la recommandation aux garçons a d’ailleurs été déconseillée en Nouvelle Zélande pour son inefficacité probable. Ces constatations devraient conduire à un moratoire, pour éviter les « expérimentations  » déjà en cours dans plusieurs pays. Les garçons subiront eux aussi les effets délétères de cette vaccination imposée pour lutter contre le risque de cancer de l’anus, du pénis, de l’oropharynx, et de l’amygdale…

Pourquoi les médias sont-ils toujours aussi enthousiastes à l’égard du vaccin Gardasil ?

Gérard Delépine. A part quelques revues indépendantes, les médias ne font aucun travail de vérification. Nous nous sommes demandé pourquoi tant de publications scientifiques qui nous paraissent mensongères étaient autant rediffusées par les médias et de nombreux collègues ayant réellement « foi » en la science. Deux publications « scientifiques » récemment parues en septembre et octobre 2018, et reprises par le Figaro et le Quotidien du médecin, promettent encore l’éradication du cancer de l’utérus, grâce au Gardasil en Australie et en Grande Bretagne. Mais ces deux études sont en fait de simples simulations numériques[5] cherchant à prédire l’éradication du cancer du col grâce au vaccin.

Nicole Delépine. Les résultats d’une simulation dépendent directement des hypothèses retenues. Les principales hypothèses des simulations “marchandes” peuvent se résumer ainsi : 1. Le cancer invasif ne peut pas se produire en l’absence d’infection par un type de HPV oncogène. 2. Le vaccin est efficace à vie et fait disparaître l’infection. 3. Donc, le vaccin va éradiquer le cancer. Mais toutes ces hypothèses sont discutables et les résultats de ces simulations ne font que reproduire en chiffres les croyances de leurs auteurs. La médecine n’est pas une science exacte, et la médecine via l’informatique oublie les spécificités complexes de la vie, singulièrement chez l’être humain. L’étiologie des cancers du col ne se résume pas uniquement à la présence des HPV 16 et 18, elle est multifactorielle !

Crédulité ou corruption ?

Nicole Delépine. La majorité des études de référence sont sponsorisées par les laboratoires. Dans un article australien[6] de 2018, l’auteur principal est Ian H. Frazer[7] (titulaire du brevet sur le vaccin qui assure sa renommée et sa fortune), et la majorité de ses sept coauteurs sont très liés aux firmes qui commercialisent le vaccin ou les tests diagnostiques du HPV, qu’ils prônent également.

Du côté des autorités sanitaires, la prédiction de résultats favorables d’un traitement controversé permet de justifier son indication, sa recommandation voire son éventuelle obligation. Mais le ver est déjà dans le fruit avec l’autorisation de mise sur le marché qui repose seulement sur les études des laboratoires, orientées, voire falsifiées. C’est le cas du Gardasil où la fraude est désormais avérée[8]. Seuls les conflits d’intérêts des experts des agences sanitaires peuvent expliquer que l’on maintienne la recommandation du Gardasil. Le vrai du succès du Gardasil c’est un succès commercial, au seul profit des laboratoires.

Le marché du Gardasil a l’air très lucratif…

Nicole Delépine. C’est archi lucratif. Avec déjà 200 millions de doses vendus, le chiffre d’affaires actuel est de 22 milliards de dollars dans le monde. D’une manière générale le marché des vaccins représente une somme considérable. En France la vaccination complète des filles rapporterait 160 millions annuels à l’industrie du vaccin et coûterait entre 200 et 300 millions à la collectivité en tenant compte des consultations nécessaires et des indemnisations des incidents et accidents éventuels. Ce coût serait multipliée par deux si on vaccinait aussi les garçons. Il faut trois doses, pour un prix total entre 400 et 450 € selon les pays. C’est en gros 10 fois plus que le prix des autres vaccins.

Cependant, le commerce des vaccins est l’arbre qui cache la forêt. Les nouvelles molécules “innovantes” représentent beaucoup plus en termes de recettes. La « liste en sus », qui date du premier plan cancer 2003, répertorie ces médicaments coûteux pouvant bénéficier d’un financement dérogatoire à l’hôpital. Près de trois milliards d’euros annuels, pour les médicaments, et deux milliards pour les dispositifs médicaux innovants qui bénéficient de la même dérogation…

Quid de la pharmacovigilance à propos du Gardasil ?

Gérard Delépine. Elle est notoirement défaillante. Si on voulait une vraie pharmacovigilance en France, ce serait rapidement faisable. Il suffirait de créer un registre public, ouvert à tous et consultable par tous, où chacun décrirait ses ennuis. Ensuite, on mettrait des chercheurs indépendants qui examineraient chacune des déclarations pour voir si elles sont consistantes, et si on retrouve le même genre d’effets secondaires.

Pour évaluer la balance réelle avantages/risques du vaccin, il suffirait aussi aux autorités sanitaires d’aller consulter la gigantesque base de données de l’Assurance maladie. On y trouve toutes les prescriptions et les remboursements de vaccin. En les analysant et en les recoupant avec d’autres sources, sur les décès ou les hospitalisations, on pourrait facilement dépister les effets secondaires du Gardasil en vie réelle. Pour évaluer son efficacité réelle contre le cancer, il suffirait de les comparer aux demandes de prise en charge à 100 % pour un cancer du col. Malheureusement, en France nous n’avons pas de registre du cancer national du cancer consultable par internet alors que les pays scandinaves en disposent depuis des décennies. Si on n’évalue pas, c’est pour que le scandale n’éclate pas.

Vous dénoncez une dérive totalitaire qui enfreint le code de Nuremberg.

Nicole Delépine. Le code de Nuremberg est une liste de dix critères contenus dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 – août 1947). Ces critères indiquent les conditions des expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être « acceptables ». Le manque de transparence, les manipulations scientifiques et les abus de pouvoir de l’État américain pour commercialiser ce vaccin, sont remarquablement décrits dans le récent livre de Mary Holland, Kim Mack Rosenberg et Eileen Iorio, The HPV Vaccine on Trial[9]. En France aussi, le droit des patients est bafoué : la mise sur le marché et la recommandation du Gardasil n’est ni plus ni moins qu’une vaste expérimentation humaine sans le consentement éclairé des patientes.

Médecins et agences sanitaires portent une lourde responsabilité. Devront- ils dire plus tard, pour se défendre « je n’ai fait qu’obéir aux ordres », comme le répétaient constamment les médecins accusés de Nuremberg ?


[1]http://www.assemblee-nationale.fr/15/propositions/pion1118.asp

[2]Increased incidence of cervical cancer in Sweden : Possible link with HPV vaccination. Lars Andersson. Indian Journal of Medical Ethics. April 30, 2018. Cet article a été retiré du journal car l’auteur avait publié sous un pseudonyme, par peur de représailles… Il a ensuite fourni son identité réelle au journal, qui a pu la vérifier, mais la revue n’a pas souhaité rétablir l’article pour cause de « tromperie », bien que jugeant la démarche scientifique valable, car elle s’appuie sur des données publiques disponibles. La revue a néanmoins laissé l’étude visible sur son site web.

[3]Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20-26 years). Fangjian Guo Fangjian Guo, Jacqueline M. Hirth, Abbey B. Berenson.  American Association for Cancer Research 2015 meeting Philadelphie.

[4]« En moins de trente ans, l’incidence du cancer anal a été multipliée par au moins trois dans la plupart des pays occidentaux ». Tribune Le Monde, 15 mai 2018

[5]Lire aussi « Quand les résultats de simulations mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information médicale diffusée par les médias ». Nicole Delépine, 19 octobre 2018, Agora Vox

[6]The projected timeframe until cervical cancer elimination in Australia : a modelling study. M T Hall, Kate T Simms, Jie-Bin Lew, M A Smith, J ML Brotherton M Saville, Ian H Frazer, DSc et al.  The lancet Public Health Oct 02, 2018.

[7]Immunologiste et aussi conseiller de l’Organisation mondiale de la santé et de la Fondation Bill et Melinda-Gates pour les vaccins contre le virus du papillome humain.

[8]En 2017, deux études mexicaines ont pointé la dissimulation des effets secondaires dans leurs études pré- et post-commercialisation des laboratoires Merck et GlaxoSmithKline sur la base de 16 tests randomisés et 12 études de cas réalisés après la mise sur le marché des vaccins. La supercherie est désormais avérée. Serious adverse events after HPV vaccination: a critical review of randomized trials and post-marketing case series, Manuel Martínez-Lavín, Luis Amezcua-Guerra, Clinical Rheumatology, Juillet 2017. Et Vaccine-related serious adverse events might have been under-recognized in the pivotal HPV vaccine randomized trial, Manuel Martínez-Lavín, Clinical Rheumatology, Avril 2017.

[9] Mary Holland, Kim Mack Rosenberg et Eileen « The HPV Vaccine on Trial » : Seeking Justice for a Generation Betrayed ». Skyhorse Publishing, octobre 2018.

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