Dans l’affaire juridique qui l’oppose à l’autorité sanitaire SwissMedic, la fondation SymptoTherm et son application mobile sympto vient donc de perdre devant le Tribunal administratif fédéral et doit devenir un « dispositif médical ». Pour moi, au-delà du débat juridique, il s’agit d’un problème éthique. La question est la suivante : vouloir réglementer sympto, qui ne fait rien d’autre que d’appliquer les règles que la symptothermie papier, n’est-ce pas renvoyer les femmes aux lavoirs en leur interdisant la machine à laver?
symptothermie
Le flux libre instinctif ou les règles au naturel
Le mardi 7 août 2018Certaines femmes ont jeté tampons et serviettes. Pendant leurs règles, elles pratiquent la méthode du flux libre instinctif, une manière de vivre ses menstruations au naturel. Se passer des tampons et serviettes qui polluent notre environnement, oui… Mais comment ? Curieuse de nature, pratiquant déjà une contraception écologique, la symptothermie, je me suis donc essayée à cette gestion douce de mes menstruations. Et là surprise : dès le deuxième cycle, mon corps s’est adapté à la nouvelle donne.
La détox anti perturbateurs endocriniens et post-pilule
Le mercredi 1 août 2018Le problème des perturbateurs endocriniens est le problème numéro un de la santé de la femme aujourd’hui. Cancer du sein, ovaires polykystiques, endométriose etc. Voici les clés de la détox post-pilule avec Sarah-Maria Leblanc, herboriste clinicienne, co-auteure de Sagesse et pouvoirs du cycle féminin (Le Souffle d’Or, 2014).
La symptothermie : permaculture du cycle féminin
Le vendredi 25 mai 2018Le corps d’une femme est une terre, un fragile écosystème, naturellement fécond. Une dose quotidienne d’hormones de synthèse représente une pollution aussi réelle que les pesticides. Toutes ces substances sont « persistantes » et s’accumulent en grand nombre dans le corps humain, dans les eaux usées, contribuant notamment à la pollution des sols ou à la féminisation des poissons…
La nouvelle gynécologie do-it-yourself
Le vendredi 31 mars 2017La libération de la femme des années 70 a-t-elle permis aux femmes de reprendre le contrôle de leur corps pour mieux gérer leur santé ? Pas vraiment ! Outre le nombre d’avortements qui reste élevé malgré la généralisation de la contraception, un très grand nombre de femmes dénoncent aujourd’hui une emprise toxique du corps médical. C’est pourquoi, dans l’héritage direct du mouvement “self-help” des années 70, certaines femmes entendent bien se passer de leur gynéco!
Contraception hormonale : libération ou prison?
Le jeudi 6 octobre 2016La pilule a libéré la femme”, nous dit-on. Grâce aux hormones de synthèse, la gent féminine possède le contrôle de son corps. Mais à quel prix? Outre les multiples désagréments dont elles témoignent, les décès sont bien plus nombreux qu’on le dit.
Qu’est-ce que la symptothermie ?
Le mardi 5 juillet 2016La symptothermie est une démarche écologique, responsable et durable pour les femmes qui ne peuvent ou ne veulent pas utiliser les contraceptifs chimiques, ou qui souhaitent accéder à une connaissance fondamentale, dans le respect de leur corps. Cette méthode de connaissance de soi apporte une réelle sécurité contraceptive (ou une aide à la conception). C’est également un outil de développement personnel qui permet à la femme de se connecter à sa véritable nature
Contraception : une appli mobile plutôt que la pilule
Le lundi 23 juin 2014Beaucoup de femmes prennent la pilule à contre-coeur. Lorsqu’elles partent à la recherche d’une alternative, on leur dit qu’il n’existe aucun moyen aussi efficace. Or la symptothermie, méthode naturelle moderne, s’avère un moyen contraceptif fiable pour toutes les femmes qui ne veulent plus de la chimie.
Le grand mythe des « pertes blanches »
Le mercredi 18 juin 2014Régulièrement, en visite chez le généraliste la même question revient, tel un moyen de diagnostic. Le toubib prend son air d’enquêteur et vous demande sérieusement : « Avez-vous des pertes blanches ? », sous-entendu, c’est un symptôme de maladie, qu’il s’agisse d’une mycose, d’un problème intestinal, etc. De votre côté, vous êtes bien forcée d’avouer que oui, vous en avez… Beaucoup de femmes se sentent comme honteuses, sales, face à cette question qui, en réalité, n’a pas lieu d’être ! De quoi parle-t-on vraiment ?