Alors que le grand public doute sérieusement de la bonne foi des « mass média », un nouveau journalisme émerge depuis les années 2000. Le temps du 4e pouvoir pyramidal est révolu, et c’est une bonne nouvelle !  

Ma vocation est de faire passer des informations de haute priorité

Les journalistes tombent de leur piédestal, mais nous aurons toujours besoin de « bons » professionnels de l’info, car les citoyens n’ont pas le temps de faire « notre » boulot. Difficile aussi de naviguer avec dextérité dans cet océan de données qu’est Internet…

Heureusement, du côté des « pro », nous sommes de plus en plus nombreux à délaisser les grands groupes de presse pour développer notre journalisme indépendant, affranchi de la censure et donc plus audacieux, mais aussi bien sûr  : plus engagé aux côtés des citoyens, dont nous faisons partie. Nous ne sommes pas au-dessus de gens, tel des « détenteurs » de la vérité… Nous sommes des accompagnants de la démocratie. Nous médiatisons les informations nécessaires au développement de l’esprit critique des citoyens, afin qu’ils décident de leur destin et… de leurs élus, en toute connaissance de cause… Or nous sommes gravement conditionnés actuellement, comme je l’explique dans mon livre, maintenant en accès libre (La Société Toxique, manuel de dépollution mentale)

Ma vocation est de faire passer des informations de haute priorité au grand public, ces informations qui sont souvent cachées, tronquées, survolées, déniées, celles que j’ai eu tant de mal à faire accepter à ma hiérarchie. C’est urgent et nécessaire. 

Ma vocation est de faire passer des informations de haute priorité au grand public, ces informations qui sont souvent cachées, tronquées, survolées, déniées, celles que j’ai eu tant de mal à faire accepter à ma hiérarchie. C’est urgent et nécessaire.