Mäuse, die mit GVO gefüttert: reproduktive Probleme (Studie)

VIENNA, 12 November 2008 (AFP) – Weibliche Mäuse gefüttert wurden gentechnisch verändertem Mais (GVO) kann durch Fortpflanzungsproblemen betroffen sein, nach einer Studie von österreichischen Forscher weisen darauf hin, jedoch, dass diese “Vorläufige Ergebnisse” kann nicht, “unter keinen Umständen, heute auf den Menschen übertragen werden”.

Diese Langzeitstudie wurde im Auftrag des Bundesministeriums für Gesundheit und der Österreichischen Agentur für Gesundheit und Ernährungssicherheit durchgeführt (AGES) von Forschern an der Universität für Veterinärmedizin Wien (VUW).

“Il s’agit d’une étude sur une seule espèce animale” et ses conclusions ne peuvent “en aucun cas être reportées directement sur l’être humain”, a souligné l’un des chercheurs responsables de l’étude, Jürgen Zentek.

“D’autres études devront déterminer si d’autres espèces animales que les souris sont également concernées”, Hat er hinzugefügt, précisant que seules ces études complémentaires pourraient donner une “validité scientifique” à ces résultats provisoires.

L’étude a été conduite sur plusieurs générations de souris qui ont été nourries pendant vingt semaines avec du maïs transgénique produit par le fabriquant américain Monsanto, en l’occurrence la variante “NK603xMon810”.

Outre les problèmes décelés en matière de reproduction, les souris testées qui ont pu finalement donner naissance à des petits ont mis bas des souriceaux d’un poids nettement inférieur à la normale.

Malgré les précautions prises par les chercheurs quant à l’interprétation des résultats de leur étude, des organisations écologiques, en particulier Greenpeace et Global-2000, ont aussitôt demandé “l’interdiction immédiate et totale dans le monde entier” non seulement du maïs transgénique “Mon810”, mais aussi de tous les organismes génétiquement modifiés (GVO).

Greenpeace a justifié sa démarche par “la gravité de la menace potentielle pesant sur la santé humaine”. Pour un membre de l’organisation, Jan van Aken, continuer à distribuer et vendre des OGM “revient à jouer à la roulette russe avec les consommateurs et la santé publique”.

La publication de cette étude a également entraîné une réaction de la commissaire européenne à la Santé, la Chypriote Androula Vassiliou, qui a demandé aux autorités autrichiennes de la lui transmettre afin de la faire évaluer par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), a indiqué une porte-parole de ses services.

Jusqu’à présent, l’EFSA a expliqué que le “Mon810” ne représentait aucun risque pour la santé humaine et animale ou l’environnement.

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