Minusy-prawd Pani Bachelot

Grypa A / Décrytage

Czy możemy ufać służbę zdrowia ?

Przez Pryska DUCOEURJOLY

Magazyn NEXUS (janvier-février 2010)

Czy mamy uwierzyć, Roselyne Bachelot słowo, gdy mówi, że szczepienie jest najlepszą ochroną przed H1N1 ? Przemówienia Ministerstwo wygląda bardziej jak propagandy ścisłym znaczeniu, a mianowicie do "systematycznego błędu w ocenie, aby go zaakceptować pewne idee".

"Jestem minister ochrony francuski", Said Roselyne Bachelot, wzruszający ton, podczas pokazu "Krzyżówki", hostowane przez Yves Calvi, plenery 23 Listopada, mają sześć głośników. Zapewnienie kontradyktoryjności, Michèle Rivasi, Europoseł, Biologia Associate, dał mu replikę. Minister Zdrowia nie omieszkał wsparcie od pozostałych czterech gości, wszystkie pro-szczepienia.

Niestety dla widza, jak pokazano w poniższej décrytage tego serialu, Sprawozdanie Roselyne Bachelot są bardziej jak niesprawdzonych zarzutów, że prawd naukowych.

Propagande ? Mensonge ? Mise en danger de la vie d’autrui ? « Ce sera aux citoyens de qualifier l’attitude d’un gouvernement qui, tout en brandissant à tort et à travers un « principe de précaution » visant à camoufler son incompétence et son irresponsabilité, ne craint pas de recommander à la population française (notamment aux enfants et aux femmes enceintes) un vaccin incorrectement évalué qui expose au risque de complications graves chez des centaines de milliers de gens et à un avenir sanitaire incertain chez les enfants vaccinés.

« Certes, il s’agit de risques potentiels pour l’instant, mais principe de précaution oblige, nie? », commente le docteur Marc Girard, expert en pharmacovigilance, consultant pour l’industrie pharmaceutique, dans le document intitulé « Grippe porcine : Je vaccine mes enfants »*.


1. « Le vaccin est sûr !»


Chacun a encore présent à l’esprit les images de Roselyne Bachelot en train de se faire vacciner, en novembre dernier. « Le vaccin est sûr », a-t-elle souvent répété. Lors de l’émission « Mots Croisés », elle confirme : " 65 millions de vaccins avec adjuvants ont été administrés, ce sont des adjuvants utilisés depuis plus d’une dizaine d’années dans diverses spécialités vaccinales. Ils ont été testés et retestés ». A propos du squalène, retiré des vaccins aux Etats-Unis, la ministre juge donc la décision de ce retrait inopportune. Rassuré ?

Par vraiment. Quinze études sur le squalène(1) vont dans le sens du principe de précaution appliqué par les Américains à la suite de la polémique sur le syndrome de la guerre du Golfe. Pour ne citer qu’un exemple, une seule injection intradermique d’une petite quantité de squalène à des rats (200-300 microlitres) déclenche chez eux une inflammation des articulations, une polyarthrite de type auto-immunitaire. Pour information, le vaccin Pandemrix contient 10,69 mg de squalène soit 12,509 microlitres.

A propos de la présence de mercure dans le vaccin contre la grippe porcine, la ministre nous apprend : « Le thiomersal, qui est effectivement un dérivé mercuriel, est utilisé à dose infinitésimale depuis des décennies en pharmacopée. C’est un excellent conservateur pour les vaccins. Il permet d’avoir une immunité plus large même si le virus mute légèrement ». Personne n’a relevé ce scoop : qu’un conservateur puisse aussi conférer une immunité plus large. Sur ce dernier point, il semble qu’aucune étude ne viennent corroborer cette affirmation, le mercure étant strictement un conservateur. Contactés par la rédaction, le ministère de la Santé et le Haute Conseil de Santé Publique n’ont pas apporté de réponse à notre interrogation.

On comprend bien que le propos soit commode en période de « mutation » du virus H1N1. Jeszcze, aucune étude scientifique ne permet d’affirmer que le vaccin actuel, qu’il contienne du mercure ou non, sera efficace contre la mutation du H1N1. Pire, le Professeur Niman, spécialiste en du virus de la grippe et titulaire de plusieurs brevets sur la prévisions des recombinaisons, assure que la mutation actuelle sera probablement résistante au vaccin (www.recombinomics.com). Et puis, ne doit-on pas refaire chaque année le vaccin contre la grippe saisonnière, qui elle aussi mute légèrement tous les ans ?

L’usage du mercure est formellement déconseillé par l’Agence européenne de Santé depuis 1999. Le Dr Jean Pilette rapporte aussi qu’il est cytotoxique et génotoxique. Ce métal peut passer la barrière sang-cerveau et endommager les cellules nerveuses (2). Mais la dose utilisé est « infime » selon l’Affsaps qui estime qu’un risque neurotoxique n’est pas établi à ces doses. Pourquoi l’agence a-t-elle donc alors demandé le retrait du thiomersal (qui contient 50% de mercure) dans tous les vaccins en 2000 ? Le principe de précaution a deux poids deux mesures et s’avère fort malléable pour nos institutions sanitaires…

Le Pr Boyd Haley, détenteur de la chaire de biochimie à l’université du Kentucky et spécialiste mondial en toxicologie mercurielle explique bien que des cellules mises dans une boite de Pétri en présence de thiomersal se mettent wszystko à mourir. Le Pr Boyd Haley assure que des quantités dites “infimes” de thiomersal sont déjà de trop et suffisent à perturber des tas de processus enzymatiques essentiels à la bonne santé. Według niego, l’éthymercure contenu dans le thiomersal n’est pas moins toxique ou plus vite éliminé que le mercure ingéré (méthylmercure). Il s’accumule au fil des vaccinations et passe le précieux filtre de la barrière hématoencéphalique, jak łożysko.

Même alerte au Canada, de la part du spécialiste des maladies neurologiques Chris Shaw . «La quantité de mercure dans le vaccin H1N1 non adjuvanté dépasse le taux de sécurité quotidien admis pour les femmes enceintes. Santé Canada a précisé que le taux de sécurité alimentaire pour le mercure chez les femmes enceintes est de 0,2 microgrammes (millionième de gramme) par kilo de poids corporel. Le vaccin H1N1 non adjuvanté contient lui 25 microgrammes de mercure ». Le Panenza de Sanofi Pasteur en multidoses, sans adjuvant, contient, pour chaque dose de 0,5 ml, 45 microgrammes de thiomersal. A ne pas confondre avec le monodose, sans thiomersal, disponible en quantité très limitée. Dodatkowo, Shaw note que les normes de sécurité ont été établies pour le mercure entrant dans la composition des aliments et non pour l’injection dans le corps, plus directe encore.

Que penser par ailleurs du cocktail « squalène mercure » ? Le 18 Październik 2009 sur le plateau de « Controverse », le Dr Van Laethem admettait, en réponse au Dr Eric Beeth (médecin de Famille depuis plus de vingt ans à Bruxelles), qu’il n’existait aucune étude sur le long terme des effets de produits contenant à la fois du squalène et du thiomersal…. Ce type de mélange, surtout administré aux femmes enceintes, revêt donc un caractère expérimental incontestable, qui contrevient à l’interdiction formelle d’expérimenter sans le consentement des sujets concernés.

C’est la raison pour laquelle quatre femmes enceintes qui ont intenté une action contre l’état belge réclament un vaccin sans squalène mais aussi sans mercure ! Rappelons également qu’en février 2008, le Haut Conseil de la Santé Publique français ne recommandait pas la vaccination généralisée contre la grippe saisonnière de la femme enceinte en l’absence de données suffisantes sur l’efficacité et la tolérance de ce vaccin (avis relatif à la vaccination contre la grippe saisonnière de l’enfant et de la femme enceinte du 1er février 2008).

2. « Un vaccin préparé dans les conditions habituelles »


La ministre et les plus éminents « experts » nous disent que le vaccin est fait dans les mêmes conditions de sécurité que les vaccins annuels contre la grippe saisonnière.

Ils omettent de se référer aux seuls documents actuellement disponibles (du moins en Europe) sur l’efficacité et la tolérance de ces nouveaux produits, à savoir les rapports publics d’évaluation tels que rédigés par l’autorité (EMEA) qui a accordé l’autorisation de mise sur le marché – à ce titre peu suspecte d’avoir péché par excès de critique à l’égard des-dits vaccins.

« Profuse et pointilleuse, la réglementation pharmaceutique est très précise dans ses exigences concernant l’analyse et la présentation des études cliniques, nous rappelle Marc Girard*. Lub, les documents d’évaluation diffusés par l’EMEA frappent par le non respect de ces exigences et la confusion qui préside à la présentation des résultats. Il est impossible d’avoir une liste tant soit peu factuelle des événements dits « graves » (« serious ») et des modalités qui ont présidé à leur imputation.

Il est patent qu’en majorité, les essais n’ont pas été conduits contre placebo, ce qui maximise les biais dans l’interprétation. Le protocole est extrêmement peu clair, notamment pour le suivi de tolérance : on ne sait pas précisément la façon dont les effets indésirables ont été recueillis ou validés. On ne distingue jamais clairement si les pourcentages rapportés concernent les événements indésirables observés ou ceux qui ont été considérés comme liés au traitement, alors que la littérature disponible (3) atteste que carte blanche a été laissée aux investigateurs (rémunérés par les fabricants) pour décider si telle ou telle réaction indésirable étaient, ou non, liée au vaccin ».

Symptômes généraux. Au contraire de ce qui se dit un peu partout sur les ondes, les réactions au vaccin ne sont pas de petites réactions locales (rougeur ou douleur au point d’injection). Le rapport d’évaluation distingue clairement « symptômes locaux » et « symptômes généraux ». Lub, chez les sujets vaccinés, ces symptômes généraux ont été rapportés chez 76,9% des jeunes (18-60 lat) et chez 55,8% des plus âgés (> 60 lat) (4). Ces symptômes généraux sont décrits comme des diarrhées, des nausées et… des syndromes pseudo-grippaux (fièvres, douleurs musculaires, zmęczenie) (5).

« On apprend donc que ce vaccin – en principe préventif – est susceptible de provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe chez près de 4 sujets vaccinés sur 5. Mais la grippe porcine n’a jamais été supposée toucher 4 sujets sur 5 et encore moins être cliniquement symptomatique sur un tel pourcentage ! »

« On apprend donc que ce vaccin – en principe préventif – est susceptible de provoquer des symptômes similaires à ceux de la grippe chez près de 4 sujets vaccinés sur 5 »

rzeczywiście, des informations remontent de services hospitaliers où une proportion non négligeable des professionnels vaccinés développeraient des symptômes post-vaccinaux, assez significatifs pour imposer un arrêt de travail de plus de trois jours chez certains.

« Sur un autre essai, on relèvera la satisfaction non dissimulée des experts de l’EMEA qui constate qu’au cours du développement de Focetria (6), aucune réaction au vaccin ne s’est soldée par une fièvre supérieure à 40°C (Focetria CHMP, p. 44, avant-avant dernier paragraphe, dernière ligne ; p. 45, dernière ligne). Avec la grippe, normalement, quand on a plus que 40°C, on est proche de la réanimation… »

Réactions graves. Au cours du développement clinique de l’un des vaccins, pas moins de sept décès ont été rapportés dans trois essais cliniques regroupant un effectif total de 2000 sujets exposés(7).

Au cours du développement clinique de l’un des vaccins, pas moins de sept décès ont été rapportés dans trois essais cliniques regroupant un effectif total de 2000 sujets exposés

« Bien entendu, on nous affirme que ces décès n’ont rien à voir avec le vaccin. Jeszcze, il n’est pas dans la pratique usuelle du développement clinique d’écarter sans une once de justification la responsabilité du médicament à l’étude dans des événements aussi graves. Deux des décès sont survenus dans des essais ayant recrutés des sujets jeunes en bonne santé. Podczas, le troisième essai (H5N1-010) était mené chez des sujets âgés (61 ans et plus) mais il n’est pas usuel, à ce stade du développement, d’inclure des sujets malades. cokolwiek, 5 décès sur 413 sujets âgés – même fragilisés par la maladie – c’est plus que ce qu’on attend d’habitude en matière de mortalité grippale… »

Hépatite auto-immune. « On apprend également en passant que deux cas d’hépatite auto-immune ont été rapportés dans l’étude H5N1-009 (Pandemrix CHMP, p. 57, lignes 25) précisément consacrée aux effets du vaccin chez des enfants âgés de 3 do 9 lat (ibid. 19, ligne 11) ! Deux cas d’une pathologie aussi grave (débouchant, en gros, sur une cirrhose du foie) sur 400 patients environ, ça fait un cas d’hépatite auto-immune chez 200 enfants traités : on est loin de la fréquence de un sur un million alléguée (faussement, d’ailleurs) par les autorités pour les Guillain-Barré vaccinaux. C’est aussi l’occasion de rappeler qu’une mort inattendue (« unexpected death » : Pandemrix CHMP, p. 16, paragraphe 6, lignes 1) a été rapportée chez une rate enceinte : la chose «a été considérée comme non lié au vaccin » ».

Chris Shaw, spécialiste en neurosciences à l’Université de British Columbia (Canada), arrive aussi à un constat similaire. Se basant sur les chiffres publiés dans la notice d’autorisation du vaccin H1N1, il conclut à un taux de 395 cas de réactions graves sur 100.000 vaccinations. Ce qui, dit-il, représente plus de 50 fois le taux d’hospitalisations dus au H1N1 lui-même (7,3 dla 100 000).

Ce qui inquiète aussi Chris Shaw, ce sont les effets à « long terme » possibles. La plupart des études sur les vaccinations font état de suivi de quelques jours, voire au plus de quelques mois. " Avec certains vaccins, précise-t-il, les réactions les plus graves apparaissent des années après la vaccination ». Tak więc, il a fallu de 5 do 10 ans pour découvrir l’ampleur du syndrome de la guerre du Golfe (8).

3. « L’Etat prend ses responsabilités »


« Comme nous sommes dans le cadre d’une campagne de vaccination de masse, organisée par l’Etat, nous avons décidé de prendre la responsabilité des éventuels effets secondaires, notamment graves, pour protéger la population et faire en sorte qu’il y ait un maximum de garantie (…) », assure la ministre.

Tout d’abord, il est fort probable que les clauses de non responsabilité pénale pour les fabricants ont été prises à la suite de la pression des laboratoires. En effet, en Roumanie aussi, comme en Pologne, GlaxoSmithKline exigeait une clause exonérant sa responsabilité sur les effets secondaires. Mais ces gouvernements ont décliné. Les pays européens n’avaient donc aucune obligation de contrat.

z łazienką, pourra-t-on vraiment se retourner contre l’Etat ? Même si Roselyne Bachelot nous le dit, rien ne le garantit. Ce serait une première. « La jurisprudence montre clairement, notamment dans l’affaire du vaccin contre l’hépatite B, activement promu par les pouvoirs publics, que c’est contre les laboratoires que les gens doivent se retourner lorsqu’il ne s’agit pas d’une obligation vaccinale. Une vaccination, même fortement recommandée par les pouvoirs publics, est considérée comme un acte volontaire », précise Jean-Marie Mora, président de la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations.

Force est de constater qu’il est vain juridiquement de se retourner contre l’Etat quelque soit la campagne de vaccination recommandée chaque année à grand renfort de publicité (grypa sezonowa, hépatite B, cancer du col de l’utérus). Et comme aucun amendement ou texte de loi n’est venu compléter le Code de la Santé publique pour la présente campagne contre le H1N1, on ne voit pas ce qui pourrait changer. Un juge ne s’appuie que sur des textes, pas sur un engagement oral pris par un ministre pour promouvoir une campagne vaccinale.

Inaczej, le fonds d’indemnisation des victimes des vaccinations ne peut être saisi que dans le cas d’une vaccination obligatoire. Obecnie, en France, il est donc juridiquement impossible d’être reconnu comme victime d’un vaccin par la faute de l’Etat (z wyjątkiem personelu medycznego ze szczepionką przeciwko wirusowemu zapaleniu wątroby typu B Obowiązkowe). Pour le cas particulier du DTP, ce n’est pas plus simple car ce vaccin n’est plus vendu qu’avec d’autres souches qui, oni, ne sont pas obligatoires.

« Ce qui me gêne dans cette affaire, c’est que vous êtes juge et partie», a souligné Michèle Rivasi, lors du débat télévisé, en s’adressant à la ministre. « Vous voulez dire que l’Etat diminuerait le signalement des effets secondaires pour échapper à sa responsabilité?! », a rétorqué, outrée, la Ministre. Quoiqu’elle en dise, ce ne serait pas la première fois que l’Etat ne verrait pas la poutre qu’il a dans l’oeil : sang contaminé, Tchernobyl, amiante, itd.. Il est donc difficile de croire Mme Bachelot sur parole.

4. « Ce n’est pas une grippe bénigne »


« Le problème de cette grippe, jest to, że jest to złowrogie loterii ". Roselyne Bachelot wie zamrozić naszą krew. "To nie jest łagodne grypy (...). Trzeba ludzi, którzy nie mają żadnego czynników ryzyka i dotkniętym, umierać, łącznie z miąższu płuc jest całkowicie zniszczona bezpowrotnie. Pokażę radiotelefony tych dzieci, których płuca są zatopione. Ryzykujesz przez nieszczepiącego ty zanieczyszczać ". i wyjaśnienie : "Musieliśmy 400 000 Konsultacje grypy w ubiegłym tygodniu ". Ale co to naprawdę jest grypa ? Grypa czy grypa sezonowa ?

Zaniepokojony od kilku miesięcy w mediach, les gens consultent bien plus fréquemment, ce qui alimente un cercle vicieux d’une croissance continuelle du nombre de cas mais complètement artificielle sur un plan épidémiologique. On n’a pas attendu 2009 pour constater ce que tout le monde sait, à savoir que la grippe peut tuer, des enfants en particulier ; d’où une première question aux autorités : par rapport aux années précédentes, qu’est-ce qu’il y a de plus alarmant dans les décès pédiatriques recensés cette année ?

L’Institut de veille sanitaire ne cache pas son incapacité à faire des dénombrements précis, à l’échelle du territoire ; d’où une seconde question : na podstawie jakiegokolwiek obiektywnego porównania stan pozwolił, aby głosić, że nie byłoby bardziej poważne przypadki w tym roku, wiedząc, że grypa sezonowa zabija między 3000 i 5000 osób rocznie ? Obwiniać rodziców przez ich dzieci to sprawdzony sposób promocji farmaceutyczny, jednak nie jest to naukowo.

Na podstawie jakiegokolwiek obiektywnego porównania stan głosić, że upoważnia są bardziej poważne przypadki w tym roku, wiedząc, że grypa sezonowa zabija między 3000 i 5000 osób rocznie?

Australijski bilans sezonu 2009 potwierdza, jednoznacznie, że, zakończona w tym kraju na półkuli południowej, grypy było mniej poważne w tym roku niż w poprzednich latach - w szczególności w zakresie śmiertelności.

Bezpośrednim skutkiem paniki, liczba pacjentów miało Tamiflu zastąpić konwencjonalne leczenie grypy. Lub, Ten lek może tylko zaostrzyć zjadliwość wirusa H1N1 i rozwijać odporność. W zgonów młodych ludzi Archi nagłośnione ostatnich miesięcy, przepisując lek Tamiflu wydaje się być systematyczna, ale media nie podano tego faktu. "W dobrej praktyki nadzoru nad bezpieczeństwem farmakoterapii, wspomniany śmierć - przypisane grypy - powinny być zgłaszane do Afssaps jako potencjalne powikłania Tamiflu ", Uwaga Marc Girard. Spośród wielu skutków ubocznych tego leku, patrz także nasza poprzednia edycja.

5. "Jestem otoczony przez niezależnych ekspertów"


pytanie reportera "Czy członkowie Twojej firmy prawdziwie niezależna? », minister jest nieugięty : "Oczywiście! ». "Jestem otoczony aby mój decyzji przez niezależnych ekspertów, których spotkałem regularnie. wirusolodzy, epidemiolodzy, specjalistów chorób neurologicznych, wśród anestezjologów. To oni opisują zagrożenie pandemią i że pokaże mi konieczność szczepienia ". Członkowie jego gabinetu, odpowiedzialny za prowadzenie działu, Eksperci nie są. To nie jest miejsce, gdzie leży problem, ale reszta jego administracji.

dowód, na H1N1, Roselyne Bachelot następnie do pisma, bez retuszu, zalecenie Komitetu Technicznego szczepień o kolejności pierwszeństwa dla H1N1 (pod auspicjami Wysokiej Rady Zdrowia Publicznego). Kobiety w ciąży i dzieci pierwsze !

Do zadań Komitetu Technicznego szczepień (CTV) są następujące : opracować strategię szczepionki na podstawie danych epidemiologicznych i badania na temat ryzyka i korzyści i opłacalności proponowanych środków, Oferujemy adaptacji do zaleceń i wymagań dotyczących szczepień, i zaktualizować harmonogram szczepień.

To dobrze CTV, W swojej opinii z dnia 9 Września 2009, decyzje, które muszą Roselyne Bachelot (9). Lub, sur vingt membres, tylko sześć nie pracowali, blisko i daleko, z laboratoriów produkujących szczepionki H1N1. Trudno uwierzyć, że tylko sześć wyjątki opracowały to zalecenie szczepień przeciwko grypie A.

La meilleure solution ne serait-elle pas de garantir que tous les experts qui travaillent pour le ministère ne bénéficient pas de rémunérations de la part des laboratoires pour la conduite d’essais cliniques, en dehors de leur charge publique ? Tant que ce n’est pas le cas, les propos de la ministre sur sa prétendue indépendance de décision ressemblent davantage à un mensonge par omission.

6. « La meilleure protection, c’est la vaccination »


Cette phrase passe régulièrement sous les yeux des Français : messages publicitaires à la télévision, campagne d’affichage, parution dans les journaux, mais est-elle exacte ? Le moins qu’on puisse dire, jest to, że debata jest daleka od zakończenia w środowisku naukowym. W artykule opublikowanym w The Lancet Infectious Diseases - prowadzenie dziennika -, holenderski zespół (które przywołuje obraz "miecz obosieczny") Twierdzi, że naturalne zakażenie grypą nadaje odporność "szerokie" w odniesieniu do kolejnych form wirusa i że szczepienie może zapobiec instalacji takiego immunitetu, "Na przykład u dzieci"(10). Powstaje pytanie, czy dzieci szczepione w tym roku nie będzie tych, którzy będą pilnie hospitalizowany w przyszłych epidemii ...

Cochrane Collaboration jest również bardzo zastrzeżone na rzecz szczepionki przeciw grypie. Ta międzynarodowa organizacja non-profit, stworzony 1993 i nazwany na cześć szkockiego epidemiolog Archie Cochrane [1909-1988] ma na celu "przygotowanie, utrzymać, i rozpowszechnianie systematycznych przeglądów skuteczności terapeutycznej i strategie terapeutyczne ".

Pobudzony Th. Jefferson, włosko-brytyjski epidemiolog, la Cochrane collaboration a récemment publié une série assez systématique d’évaluations concernant les vaccins antigrippaux, sur la base d’études menées durant 40 lat (la revue incluant les investigations entreprises de 1966 do 2006). Par leur exhaustivité, la transparence de leur méthodologie, la convergence de leurs résultats, ces revues tranchent avec l’inconsistance des avis des administrations sanitaires ou des « experts » quant au bénéfice – voire à l’ardente nécessité – d’une vaccination antigrippale.

Chez le sujet âgé (65 ans et plus) : « sur la base des données fiables, l’utilité des vaccins hors institution est modeste », les auteurs soulignant par ailleurs que les études disponibles sont, pour l’essentiel, de mauvaise qualité et exposées à de nombreux biais.

Chez l’adulte jeune : « il n’y a pas assez de preuves permettant de déterminer si la vaccination antigrippale est efficace pour prévenir la grippe chez l’adulte en bonne santé ». Les auteurs relèvent que les études disponibles ne permettent pas non plus d’évaluer la tolérance du vaccin !

Chez l’enfant : les auteurs remarquent que les données disponibles – pour insuffisantes qu’elles soient déjà au regard de l’efficacité – sont absolument inutilisables pour vérifier la tolérance. ironicznie, zastanawiam ("zaskakująco") że podczas niektórych schematach szczepienia (USA, Canada) należą szczepienia przeciwko grypie ex wśród dzieci poniżej 2 lat, tylko jedno badanie jest dostępne w tej grupie wiekowej ... Władze zdrowotne, którzy regularnie udzielania zezwoleń na obrót dla tych szczepionek przeciw grypie, Nigdy nie wymagane minimalne dowody, że producenci.

Nexus zwróciła się do Ministerstwa Zdrowia i Najwyższej Rady Zdrowia Publicznego na podstawie naukowej oparto argument "najlepsza ochrona, to jest szczepienie ". Ponownie, moja prośba przepuszczał.

UWAGI

http://www.rolandsimion.org/IMG/pdf/test.pdf

  1. Aby mieć pewność,, wystarczy pobrać, udostępnieniu, Pełny dokument dr Jean Pilette, zatytułowany "Elementy szczepionek" na stronie http://www.alis-france.com/download/constituants_vaccins.pdf (Patrz bibliografia i badań nr 194 209, strona 102).
  2. Patrz bibliografia i badań Nr 130 147 w dokumencie Jean Pilette. Zobacz także podsumowanie poczynionych przez wikipedii : http://fr.wikipedia.org/wiki/Thiomersal
  3. Greenberg, M. MI., M. H. tak, że, et al. (2009). “Reakcja po jednej dawki jednowartościowy grypy A (H1N1) 2009 Szczepionka — Raport wstępny.” N Engl J Med.
  1. Pandemrix CHMP, 9th i 10 wiersze tabeli podane w p. 46. Link http://www.emea.europa.eu/humandocs/PDFs/EPAR/pandemrix/Pandemrix-H-832-PU-17-AR.pdf
  2. ibid, p. 46, lignes 2 i 3
  3. http://www.emea.europa.eu/humandocs/PDFs/EPAR/focetria/Focetria-H-710-PU-05-AR.pdf
  4. Pandemrix CHMP, p. 57, lignes 2, 4 i 14
  5. «Co znajduje się w szczepionce przeciw grypie H1N1? », Alex Roslin : http://www.straight.com/article-270843/vancouver/whats-your-vaccine
  6. http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspa20090907_H1N1.pdf
  7. Bodewes et coll. Coroczne szczepienia grypy : obosieczny miecz ? Lancet.com/infection (2009) ; doi.10.1016 / S1473-3099(09)70263-4

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