« Ce scandale en cache un autre »
SUD OUEST du DIMANCHE 20 JUILLET 2008
Députée de la Drôme de 1997 zu 2002, membre apparenté PS, aujourd’hui membre des Verts, Michèle Rivasi est adjointe au maire de Valence et vice-présidente du Conseil général de la Drôme, département où se sont produites les deux fuites d’uranium, sur le site du Tricastin (commune de Pierrelatte) die 7 juillet et à Romans-sur-Isère le 18. Auteur d’un rapport parlementaire en 2000, portant sur la gestion des déchets nucléaires, ancienne directrice de Greenpeace France de 2003 zu 2004, elle a aussi fondé la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (Criirad), in 1986, après la catastrophe de Tchernobyl. Cette structure forte de 4 000 Anhänger, très active à propos de l’incident du Tricastin, s’appuie sur un laboratoire d’analyse, équipé pour l’identification des pollutions radioactives, reconnu par le ministère de la Santé.
TRICASTIN Michele Rivasi répond à Pryska Ducoeurjoly (pour le journal Sud Ouest)