Le corps d’une femme est une terre, un fragile écosystème, naturellement fécond. Une dose quotidienne d’hormones de synthèse représente une pollution aussi réelle que les pesticides. Toutes ces substances sont « persistantes » et s’accumulent en grand nombre dans le corps humain, dans les eaux usées, contribuant notamment à la pollution des sols ou à la féminisation des poissons…