Vaccination : la cause cachée des épidémies modernes ?

Par Pryska Ducoeurjoly. Dossier paru dans Néo Santé N°100 – MAI 2020
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Face à l’épidémie de coronavirus qui a abouti à des mesures inédites à l’échelle de la planète, de nombreuses hypothèses circulent. Du virus sorti d’un laboratoire au déploiement de la 5G, en passant par le changement climatique ou encore la pollution, l’hypothèse de la vaccination de masse n’a été que peu évoquée. Et pour cause, nos gouvernements nous font miroiter la solution vaccinale pour lutter contre cette nouvelle épidémie. Pas question d’incriminer les vaccins qui sont LA solution !

Le bouhaha médiatique pro-vaccinal passe sous silence un phénomène inquiétant et documenté : la vaccination antigrippale pourrait en réalité favoriser les infections à coronavirus! Dans bien d’autres pathologies, le remède vaccinal s’avèrerait pire que le mal. C’est ce que nous allons explorer dans ce dossier spécial covid-19!

Les promoteurs de la science vaccinale ne cessent de faire pression sur les gouvernements pour encourager le développement de nouveaux vaccins pour lutter contre les épidémies futures, à grand renfort de scénarii catastrophes. Ainsi, Bill Gates avait lancé l’alerte lors d’une conférence sur la sécurité, en février 2017 à Munich.[1]  La deuxième fortune mondiale, très engagé dans le financement des vaccins dans le monde à travers sa fondation, ne cesse d’appeler les dirigeants à investir dans la recherche vaccinale pour se préparer à une pandémie qui pourrait faire 30 millions de mort en un an… Rien que cela !

Ne sommes-nous pas victimes d’une vaste opération psychologique organisée et mondialisée dont le but serait d’assurer sur le long terme des débouchés gigantesques aux géants pharmaceutiques à travers la vaccination massive, voire un contrôle politique des populations ? J’entends déjà les accusations de complotisme… Alors restons-en aux faits !

On évoque aujourd’hui une souche particulièrement virulente de la famille des coronavirus. Il semblerait en effet que les phénomènes de détresse respiratoire soient assez difficiles à gérer pour les porteurs de pathologies chroniques. L’apparition de souches virales ou bactériennes plus virulentes est un phénomène connu, tout d’abord à travers la résistance aux antibiotiques. Moins connues, et pourtant bien réelles, sont les apparitions de souches virales ou bactériennes plus virulentes liées à des campagnes de vaccination de masse.

En réalité, la vaccination pourrait bien être à l’origine de futures épidémies comme celle du coronavirus et de beaucoup d’autres encore ! En modifiant l’équilibre microbien des populations, elle peut fragiliser les écosystèmes immunitaires. Cette réalité, les promoteurs de la vaccination ne sont absolument pas prêts à la reconnaître, car ce serait avouer que la solution qu’ils promeuvent serait en réalité à l’origine du problème…

Le phénomène de l’inefficacité communautaire

Un vaccin peut avoir une efficacité relative chez les individus (quantifiée sous forme d’un pourcentage d’une population protégée) et s’avérer paradoxalement inefficace au niveau de la population générale. Il faut donc, lorsqu’on s’intéresse à l’efficacité de la vaccination, étudier non seulement l’efficacité individuelle mais aussi l’efficacité « communautaire », une notion subtile, peu évidente de prime abord, que je vais tenter de vous expliquer. C’est en tout cas un aspect occulté par les pouvoirs publics, selon le médecin épidémiologiste et physiologiste du CNRS, Michel de Lorgeril,[2] auteur de la collection de livres « Vaccins et Société » (Éditions Chariot d’Or, 2018, 2019).

Alors que l’on insiste sur la solidarité sanitaire avec l’argument « altruiste » des vaccins, la toxicité et l’inefficacité communautaire n’aurait en réalité pas vraiment fait ses preuves à cause du phénomène de déplacement ou de remplacement épidémique.

Le déplacement épidémique. Cette notion désigne une modification des âges de survenue des maladies infectieuses qu’on espère contenir par la vaccination. Pour Michel de Lorgeril, « en vaccinant massivement des générations de bébés contre certaines maladies, on avance et on retarde la survenue de ces maladies vers les autres générations plus jeunes ou plus âgées. Au lieu que ce soit au moment de la socialisation scolaire, ces maladies surviennent alors chez des nourrissons de quelques semaines, autrefois protégés grâce à l’immunité maternelle et qui sont beaucoup plus fragiles que l’enfant scolarisé. Elles peuvent aussi survenir chez des adultes, des seniors, également fragilisés par une dure existence professionnelle ou sociale, avec des complications inattendues et presque inconnues chez l’enfant à l’école primaire ».

Feu Michel Georget, dans son excellent ouvrage L’apport des vaccinations à la santé publique[3] décrit un phénomène similaire. Dans le cas de la rougeole par exemple, « la couverture vaccinale s’étendant maintenant à près de 90 %, le virus sauvage circule beaucoup moins et les rappels naturels ne se font plus. Résultat : l’immunité vaccinale s’étant évanouie après quinze ou vingt ans, la rougeole se déclare maintenant chez les adultes, chez les femmes en âge de procréer qui ne transmettent plus de protection à leurs nourrissons, lesquels se trouvent exposés à la rougeole à l’âge de quelques mois. Or, la létalité de la maladie est quatre fois plus importante chez les nourrissons de moins d’un an, et 8 fois plus élevée chez les plus de 25 ans ».

Le plus surprenant, c’est que cela avait été prédit en 1950 déjà, bien avant l’arrivée du vaccin contre la rougeole, par des experts de l’OMS (moins influencés par Big Pharma à l’époque?) : « Si un vaccin doit être découvert, son emploi devrait être limité, à moins qu’il ne soit prouvé qu’il confère l’immunité pour toute la vie au prix de risques très restreints. Une méthode assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l’apparition de la maladie jusqu’à l’âge adulte où elle a un caractère plus sérieux (alors que c’est dans la seconde enfance qu’elle présente le moins de dangers)[4] ».

Dans l’épidémie de coronavirus, les médias nous ont suffisamment rappelé que les jeunes enfants étaient « étonnamment » épargnés, alors que les plus âgés subissaient la vague de plein fouet. Certains vous diront que c’est grâce à leurs multiples vaccinations infantiles et que cela montre que la vaccination est efficace. Un raccourci sans preuve scientifique et qui exclut la toxicité « communautaire » des vaccinations infantiles : la surmortalité des personnes âgées pourrait être liée à un phénomène de déplacement épidémique liés aux vaccinations chez l’enfant contre de nombreuses souches de maladies qui peuvent se manifester par des pneumonies. C’est le cas du pneumocoque contre lequel 92% des moins de 2 ans sont vaccinés[5] ou encore de l’haemophilus influenzae b contre lequel 95% des moins de 2 ans sont vaccinés (ces deux derniers vaccins étant d’ailleurs devenus obligatoire depuis 2018).

Le Pr Didier Raoult confirme cette possibilité de déplacement épidémique et d’immunité croisée pour les coronavirus !

Il n’est pas infondé scientifiquement d’émettre l’hypothèse que cette vaccination de masse des enfants puisse fragiliser les plus âgés. Il faut savoir que tous les décès (en Europe et dans le monde) n’ont PAS été testés au Covid-19. On ne peut donc pas non plus exclure la causalité d’autres souches bactériennes comme pneumocoque et haemophilus influenzae b, capables d’aggraver le bilan dans le nombre de décès comptabilisés chez les plus de 70 ans en favorisant les affections pulmonaires, facteur de risque numéro 1.

Le remplacement épidémique. Ce phénomène concerne cette fois l’apparition de nouvelles souches plus virulentes que celles visées par le vaccin. Le remplacement épidémique survient quand, à la suite d’une vaccination contre un agent pathogène spécifique, cet agent semble disparaître mais est remplacé par d’autres agents pathogènes, généralement proches de celui visé par le vaccin. Ces remplaçants (résistants aux vaccins) se substituent au premier et la maladie clinique ressurgit, nécessitant de nouvelles versions du vaccin initial. Malheureusement, les exemples ne manquent pas ! Voici une liste, non exhaustive.

La grippe saisonnière. Le premier exemple est bien celui de la grippe saisonnière contre des virus mutants après lesquels l’OMS court chaque année pour fournir des orientations aux laboratoires pour leur futur vaccin. Or cette vaccination plutôt massive pourrait rendre les bébés davantage vulnérables à l’émergence de souches plus sévères. Dans un article[6] paru en 2009 dans The Lancet Infectious Diseases – revue de premier plan –, une équipe hollandaise qualifie la vaccination « d’épée à double tranchant et soutient que la contamination naturelle par la grippe confère une immunité « large » à l’égard des formes ultérieures du virus ou à des formes pandémiques sévères comme le H5N1. Selon les chercheurs, la contamination naturelle confère une immunité certes partielle mais qui possède l’énorme avantage d’atténuer la sévérité des symptômes et surtout le taux de mortalité en cas de souches mutantes (hétérosubtypes) virulentes. « La prévention de l’infection par les virus de la grippe saisonnière par la vaccination pourrait empêcher l’induction d’une immunité hétérosubtypique aux souches pandémiques, ce qui pourrait être un inconvénient pour les personnes immunologiquement immatures, par exemple les nourrissons ». L’enjeu crucial est de savoir si les nourrissons ne seront pas ceux qui seront hospitalisés en urgence lors d’une prochaine épidémie…

Le coronavirus. 50 % des plus de 65 ans sont vaccinés contre la grippe saisonnière mais savez-vous que ce chiffre peut grimper à 91% chez les pensionnaires des maisons de retraite[7] (Ehpad) ? Dans quelle mesure ce taux de vaccination “excellent” n’est-il pas la porte ouverte au déplacement épidémique favorisant l’apparition de nouveaux virus plus virulents dans l’ensemble de la population ? Et pas seulement du virus grippal ! « Le coronavirus est complètement différent du virus de la grippe », nous disent les experts. Certes, mais l’association de médecins indépendants AIMSIB  a dévoilé en mars une information capitale[8] : selon des données émanant de l’armée américaine et portant sur le personnel militaire, publiées dans la revue Vaccine[9] en 2020, la vaccination  anti-grippale favorise les infections à coronavirus !

Dans cette étude, on a observé une augmentation de 36% du risque d’infection par cette famille de virus chez les vaccinés contre la grippe. L’AIMSIB demande de cesser le programme de vaccination de la grippe chez les seniors, s’appuyant également sur une nouvelle étude publiée cette année,[10] qui rappelle que la vaccination anti-grippale ne diminue ni la mortalité ni le risque d’hospitalisation. Je soulève ici un autre point : dans quelle mesure une vaccination de masse contre le coronavirus ne favorisera-t-elle pas d’autres coronavirus encore plus virulents ? C’est une question scientifique pertinente.

Le pneumocoque. « L’exemple typique, mais pas unique, de remplacement épidémique est celui du vaccin anti–pneumocoque,  explique le docteur Michel De Lorgeril. Ce vaccin “conjugué”, connu sous le nom de Prevenar, est un vaccin moderne où l’antigène polysaccharidique est associé à une protéine recombinante modifiée par génie génétique pour stimuler le système immunitaire. En général, les vaccins conjugués contiennent aussi de l’aluminium afin de stimuler encore plus le système immunitaire du bébé de deux mois. La raison de la mise sur le marché du Prevenar 13 est l’insuffisance du Prevenar 7L’échec du Prevenar 7 a été constaté dès 2007 mais validé officieusement en 2010 au moment où les autorités ont à leur disposition le Prevenar 13 produit en urgence par l’industriel. De nouveaux sérotypes pathogènes avaient émergé, notamment le sérotype 19A absent du premier vaccin. Ce sérotype représentait à lui seul en 2010 près de 20 % des méningites bactériennes à pneumocoques chez l’enfant. L’émergence de sérotypes de remplacement (1, 3, 5, 6A, 7F et surtout 19A) a donc justifié, dès 2010 en Amérique du Nord, le remplacement du Prevenar 7 par le Prevenar 13 contenant 6 valences supplémentaires ». Malheureusement, c’est un nouvel échec. De nouveaux et de nombreux phénomènes de remplacement se sont produits depuis, ruinant l’espoir de ce nouveau vaccin. « Parmi les nouveaux sérotypes responsables de plus en plus de méningites, le sérotype 24 F semble plus dangereux »… Malgré cela, le Haut Conseil de la Santé Publique a émis le 14 mars des recommandations relatives à la prévention et à la prise en charge du covid-19 chez les personnes à risque de développer une forme grave d’infection au Sars-CoV-2 (alias covid-19). « La vérification de leur statut vaccinal vis-à-vis du pneumocoque est hautement recommandée, avec administration immédiate d’une première dose de vaccin si nécessaire »… On est en droit de douter de la pertinence de cet avis.

Le papillomavirus. Les docteurs Gérard et Nicole Delépine, dans leur livre[11] Hystérie vaccinale, vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe, constatent le même problème avec le vaccin du Gardasil… « L’efficacité anti-infectieuse du vaccin limitée à 4 ou 9 souches de HPV sur plus de 150 connues, crée une véritable « niche écologique », favorable à la prolifération des autres souches éventuellement plus dangereuses. Ce « remplacement de type » a été confirmé par l’étude de Fangjian Guo[12]  observant que l’éradication de certains types de HPV entraînait l’émergence des types non inclus dans le vaccin, certaines pouvant se révéler plus dangereuses que celles qu’elles remplacent ». Comme pour le Prevenar, les études cliniques pour “prouver” l’efficacité (et l’innocuité) sont très douteuses, et la nouvelle version vaccinale est réalisée avec la précédente version qui sert de placebo. « Vu que le Gardasil n’a fait aucune preuve de son efficacité et qu’en plus on constate aujourd’hui un nombre supérieur de cancers, nous ne voyons pas comment le Gardasil 9 sera plus sûr ou plus efficace par rapport au Gardasil 4. Il n’apporte d’ailleurs aucune amélioration du service médical rendu selon l’avis même de la Haute Autorité de Santé… Selon nous, il va surtout augmenter l’incidence des cancers du col de l’utérus et gommer la baisse obtenue grâce à la généralisation du frottis ».

La rougeole. La couverture vaccinale contre ce virus est large (plus de 90% en France),[13] mais… « Non seulement une couverture vaccinale optimale n’élimine pas la rougeole (exemple de la Roumanie, des États-Unis et du Canada), mais elle peut créer des problèmes inattendus comme les phénomènes de remplacement et de déplacement. Faire croire que la France est menacée par la rougeole à cause d’un défaut de couverture vaccinale n’a pas de base scientifique », constate Michel De Lorgeril. « Les encéphalites de la rougeole ont été remplacées par d’autres encéphalites, certaines virales (la fameuse encéphalite herpétique) et d’autres auto-immunes qui étaient rares, voire inexistantes autrefois ». Vous avez bien lu : des pathologies auto-immunes inexistantes autrefois ! Alors que les vaccins sont censés soutenir notre immunité, ils pourraient au contraire la dérégler à tel point que notre propre système immunitaire nous prend pour cible…

Dans un article publié le 18 octobre 2018, des scientifiques marseillais mettaient eux aussi les pieds dans le plat à propos du vaccin contre la rougeole : “Rougeole, une nouvelle approche de la vaccination nécessaire ?[14]. Ces chercheurs, qui incluent le désormais célèbre Didier Raoult, expliquent que nous avons besoin d’un nouveau vaccin parce que depuis quelques années des rougeoles sont diagnostiquées chez les vaccinés!

Le méningocoque. Autre exemple de cette fuite en avant vers la création de nouveaux vaccins, la méningite.  « La prévalence des sérogroupes Y et W a augmenté, avec des tableaux cliniques moins classiques qu’auparavant : pneumonies, pharyngites, arthrites, expliquent des chercheurs suisses dans la Revue médicale suisse[15]. Une souche hypervirulente de Neisseria meningitidis du sérogroupe W s’est propagée en Europe, notamment au Royaume-Uni et en Suisse, avec un potentiel épidémique non négligeable. Dans ce contexte, les recommandations vaccinales pour les groupes à risque ont et vont encore évoluer vers l’utilisation de nouveaux vaccins conjugués. La pneumonie est une manifestation fréquente (> 20 %) des infections à méningocoques des groupes Y et W. (…) On peut même se demander si cette souche n’a pas été « sélectionnée » par la large vaccination contre le sérogroupe C dans toute l’Europe ces dernières années”.  Et de conclure: « L’adage affirmant qu’il n’y a pas d’infection à méningocoque après 50 ans n’est plus valable ». Autrement, un exemple de remplacement ET de déplacement épidémique.

On sait aujourd’hui que l’Italie a été l’objet cet hiver 2020 d’une intense campagne de vaccination contre le méningocoque C, juste avant la vague du covid-19. Il n’est pas infondé d’émettre l’hypothèse que cette vaccination de masse, qui s’adressait au moins de 65 ans, ait pu favoriser l’apparition des sérogroupes Y et W, plus sévère et parfois entraînant des pneumonies. Et si des adultes avaient cette fois été impactés par des méningites au tableau clinique de pneumonie? Une hypothèse qui sera bien difficile d’étudier. Dans une grande majorité des cas, la manière dont on a compilé le nombre de décès ne permet pas d’établir la causalité et l’implication du coronavirus, d’autant plus que la fiabilité des tests n’est pas non plus établie scientifiquement. Donc, même chez ceux qui ont été testés, la limite est floue entre ceux qui sont morts du coronavirus et ceux qui sont morts avec un coronavirus ou un autre virus comme un méningocoque ou un pneumocoque.

Quand les vaccinations accélèrent le phénomène de comorbidité

Selon les informations de l’Institut national italien de la Santé (ISS),[16] l’âge moyen des morts en Italie testés positivement au covid-19 se situait autour de 81 ans. 15% des personnes décédées avaient plus de 90 ans. 90% des personnes décédées plus de 70 ans. 80% des personnes décédées avaient au moins deux problèmes de santé chroniques. 50% des personnes décédées avaient au moins trois problèmes de santé chroniques (problèmes cardiovasculaires, diabète, affections respiratoires et cancer). Moins de 1% des personnes décédées étaient des personnes en bonne santé. Les quelques victimes en-dessous de 40 ans souffraient déjà de pathologies très sévères.[17] Les données en France sont plus lacunaires mais l’âge médian reste tout de même de 83 ans.

Quand on regarde la réalité en face, le nombre de décès par covid-19 reflète surtout l’état sanitaire de plus en plus dégradé de la population ! Si beaucoup de personnes se retrouvent aujourd’hui à risque de développer des complications pulmonaires, c’est parce que nous sommes chaque année toujours plus nombreux à présenter des maladies de civilisation comme l’obésité, l’hypertension, le diabète, les affections respiratoires, qui sont justement les principaux facteurs de risque de mortalité repérée dans l’épidémie de covid-19.[18]

Parallèlement, on assiste aussi à l’explosion de l’autisme et des pathologies immunitaires (allergies et maladies auto-immunes). Par ailleurs, le nombre de personnes en « Affection longue durée » ne fait que croître ! Il suffit de consulter les données officielles : 11 millions de personnes classées en ALD en 2017, soit 2 millions de plus en 10 ans, une personne sur six. Et ce sans évolution notable du nombre d’habitants. Quant aux maladies orphelines, c’est-à-dire rares, elles ne sont plus rares du tout puisque 3 millions de Français sont concernés et 30 millions d’Européens ![19]

On nous dit que les vaccins ont éradiqué les maladies ? Mais que peut faire la vaccinologie moderne contre ces facteurs aggravants en cas d’épidémie ? À force de traquer toutes sortes de virus, soi-disant coupables, le dogme vaccinal ne fait qu’aggraver le problème tout en éludant la véritable cause de létalité. Voici pourquoi.

L’autruche vaccinale

Les politiques vaccinales ont servi d’alibi pendant des décennies pour surtout ne rien faire en matière de prévention santé, par exemple en cherchant à traiter les causes environnementales (malbouffe, pollution des sols et de l’air). A-t-on fermé les grandes surfaces parce que la malbouffe tue ?  Parallèlement, on déshabille le système de santé publique et les soignants à grands coups de haches budgétaires. Largement décriées depuis des années par le personnel soignant en grèves, nos orientations sanitaires ont abouti à l’engorgement chronique du système de soins, bien avant l’épisode du covid-19 !

La difficulté de la prise en charge à laquelle nous assistons à la télévision dans les services spécialement dédiés au coronavirus témoigne de la dégénérescence médicale occidentale : de plus en plus de maladies chroniques d’un côté et de moins en moins de moyens humains de l’autre. Résultat, un cocktail explosif : en 2020, le système sanitaire craque et sa faillite explose à la face du grand public.

On fait le choix de financer des vaccinations qui coûtent cher au porte-monnaie plutôt que de soutenir un système de santé durable basé sur d’autres moyens de prévention que les vaccins. Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), la consommation de vaccins coûtait environ 500 millions d’euros en 2016[20] (avant les 11 vaccins obligatoires), soit l’équivalent du déficit de l’hôpital public cette même année (470 millions). Depuis, le déficit de l’hôpital public s’est fortement dégradé puisqu’il atteint 1,5 milliards, principalement à cause des plans annuels d’économie, près de 3 milliards d’euros en trois ans, dénonce la Fédération hospitalière de France (FHF).[21]

Dans le quotidien du médecin du 20 mars 2018,[22] un an avant la crise du covid-19, l’Association des médecins urgentistes de France déclarait : « L’hôpital rend malades ses personnels (…). La situation est terriblement inquiétante aux urgences, et plus largement, à l’hôpital » .

Les virus nous protègent-ils ?

La virophobie (ou peur des virus) doit maintenant compter avec une autre science émergente : la virothérapie[23] ! On sait par exemple que le virus de l’herpès agit contre certaines formes de mélanome.[24] Les virus du rhume sont testés dans le traitement des gliomes,[25] et celui de la rougeole peut faire des miracles contre le myélome multiple,[26] un cancer de la moelle osseuse jugé incurable. Le bacille de Koch (alias BCG, celui de la tuberculose) est aussi déjà couramment employé en injection locale dans les tumeurs superficielles de la vessie. Il pourrait également être recyclé dans le traitement de la maladie d’Alzheimer.

Une équipe de l’Université hébraïque de Jérusalem[27] vient en effet d’émettre l’hypothèse que le BCG (bacille de Calmette et Guérin) serait profitable aux neurones et permettrait de contrarier la formation de plaques amyloïdes dans le cerveau. Cela m’invite à poser une autre question, que je laisse en suspens : les vaccinations de masse contre le BCG, en perturbant peut-être le mode d’action du bacille n’ont-elles pas a contrario favorisé l’épidémie d’Alzheimer chez un public largement vacciné à l’époque avec le BCG ? Fin de la parenthèse.

Je vous recommande le livre du Dr Alain Dublanchet: Des virus pour combattre les infections (240 p., 2008, éd. Favre) qui fait le point sur la très intéressante et très prometteuse phagothérapie. Les bactériophages n’attaquent toutefois pas les autres virus.

En réduisant la circulation des microbes (virus et bactérie) et en raréfiant leur présence, la vaccination n’occasionne-t-elle pas, finalement, d’immenses dégâts collatéraux ? Alors que le virus des oreillons protège du cancer des ovaires, la prévalence de cette pathologie cancéreuse est en augmentation. Alors que le virus de la rougeole semble préserver des cancers sanguins, la leucémie n’a jamais fait autant de victimes. « Au lieu de rêver à un chimérique vaccin contre le cancer ou Alzheimer, la médecine devrait méditer sur ces réveils infectieux naturels et sur les fâcheuses conséquences de l’immunisation artificielle. Laissons prudemment à Mère Nature le soin de nous prémunir par microbes interposés. Ces guérisseurs en série n’ont pas pour vocation d’être enfermés dans des seringues ! », commente Yves Rasir, rédacteur en chef de Néo Santé.

Impasse sur les méfaits vaccinaux

Un autre coût caché de la vaccination est celui des effets secondaires qui, bien que largement sous-notifiés, n’entraînent pas moins une onéreuse prise en charge. « En 2008, l’incidence des infections invasives à méningocoques C, corrigée pour la sous-notification (c’est à dire en incluant le fait que seul 1% à 10% des cas sont rapportés, ndlr), a été estimée à environ 0,26/100 000. La pharmacovigilance internationale du vaccin relève, pour 2009, 2,1 accidents graves pour 100 000 vaccinés. Un enfant a donc huit fois plus de risques d’avoir un accident grave à la suite de la vaccination que de contracter une méningite C. Si, comme pour les cas notifiés d’infection, nous corrigeons la sous-notification, le risque est entre 80 et 800 fois plus grand. De deux périls, ne faut-il pas choisir le moindre ? », demande Michel Georget dns son livre consacré au rapport bénéfices/risques, L’apport de la vaccination à la santé publique. C’est d’autant plus vrai que les vaccinations contre les méningocoques ne sont pas efficaces contre tous les méningocoques et favorisent, on l’a vu, des souches plus virulentes !

Faute d’un véritable travail de la pharmacovigilance, nous sommes bien incapables d’effectuer un suivi épidémiologique après les autorisations de mise sur le marché, ce qui permettrait d’évaluer les dégâts de la vaccination sur l’état général de la population et donc de fournir une analyse sur le bénéfice/coût des politiques vaccinales.

Défenses immunitaires hors-jeu

Je ne prendrai qu’un exemple emblématique pour détailler comment la vaccination, en combinant de l’ADN viral et des adjuvants, peut mettre hors-jeu les défenses sanitaires d’une population. Sensée prévenir le cancer du col de l’utérus, la vaccination anti-HPV (Human Papillomavirus) est l’objet d’une vive controverse depuis sa mise sur le marché il y a 10 ans.[28] Les autorités sanitaires, accusées de négligence, campent sur leurs positions rassurantes. Dans les études sur le Gardasil, fournies par le laboratoire, il y a déclenchement de maladies auto-immunes chez 2,4 % des vaccinées (sans surprise, on retrouve ces maladies auto-immunes chez 2,5 % de la cohorte qui a reçu le pseudo-placebo, c’est-à-dire uniquement l’adjuvant). C’est trois cents fois plus que les taux connus dans la population générale ! Mais cela n’empêche pas les labos d’avoir l’autorisation de mise sur le marché.

Sur internet, des témoignages de jeunes femmes, abîmées à vie, ou de familles de victime, affluent. Outre les décès, parmi les effets secondaires graves, beaucoup de maladies classées auto-immunes : arthralgie/arthrite/arthropathie, thyroïdite auto-immune, maladie cœliaque et inflammatoire de l’intestin, diabète insulinodépendant, érythème noueux, sclérose en plaques, inflammation rénale, Purpura thrombopénique immunologique, psoriasis, phénomène de Raynaud, polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé… Sont aussi rapportés des cas de troubles de l’équilibre, de l’ouïe, de la vue, des pancréatites, des encéphalites, ou encore de thromboses veineuses, parfois fatales. Enfin, des dégâts sur la fonction reproductrice de la femme et des ménopauses prématurées, alors que le vaccin est justement censé protéger le système reproducteur féminin… Un effet paradoxal délétère !

En 2017, deux études mexicaines[29] ont confirmé la dissimulation des effets secondaires dans les études pré- et post-commercialisation des laboratoires Merck et GlaxoSmithKline. La supercherie scientifique est malheureusement désormais avérée. Mais les rapports d’évaluation officiels de nos autorités sanitaires nationale, européenne et mondiale, n’hésitent pas à minimiser les effets secondaires. En décembre 2016, le Nordic Cochrane Centre, prestigieuse organisation scientifique (encore indépendante à l’époque), a dû porter plainte contre l’agence européenne du médicament (EMA), l’accusant d’« incurie » dans le traitement d’une alerte de médecins danois qui rapportaient plusieurs dizaines de cas de jeunes filles présentant des troubles graves : « syndrome de fatigue chronique », « syndrome douloureux régional complexe », « syndrome de tachycardie orthostatique posturale »…

Des vaccins qui favorisent le cancer au lieu de l’éviter !

Le cancer du col de l’utérus. Le dernier livre de Nicole et Gérard Delépine, Hystérie vaccinale, vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe, présente une réalité contradictoire :  après 10 ans d’obligation vaccinale, non seulement l’efficacité promise par les laboratoires n’est pas au-rendez-vous mais le taux de cancers du col de l’utérus invasif (donc les plus mortels) serait aussi multiplié par deux chez les jeunes filles vaccinées dans ces pays. « Le cancer du col post-vaccinal apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et affecte exclusivement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés. La précocité de l’augmentation de l’incidence, dès la troisième ou quatrième année après la vaccination plaide pour une action accélératrice directe du vaccin qui se comporterait comme un facilitateur du cancer du col, dont l’évolution naturelle nécessite plutôt 10 à 20 ans », écrivent les Delépine.

Le cancer du foie. « La vaccination anti-hépatite promue pour son action anti-cancer, a été suivie en France, comme aux USA, d’une augmentation considérable de l’incidence du cancer du foie », explique Gérard Delépine. « Son incidence a doublé en 20 ans en France (de 6,8 pour 100 000 en 1995 à 13,6 en 2017), et quadruplé aux USA. Pourtant, la consommation d’alcool, principale cause de ce cancer, a considérablement régressé dans la même période ». Encore un vaccin avec un « effet paradoxal »…

D’autres épidémies liées à la vaccination

L’autisme. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis pointent une hausse de 30% au cours des dernières années du spectre autistique (autism spectrum disorder, ASD) chez les petits Américains. 1/68 enfant, c’est 30 fois plus qu’en 1960 ! En France, on en dénombrait alors 1 pour 2000, selon les chiffres de la Haute Autorité de Santé. Depuis, le taux a été multiplié par 13 (1/150) selon les données officielles : le nombre de personnes atteintes de troubles du spectre autistique (TSA) est ainsi estimé à 700.000 personnes, soit environ 100.000 jeunes de moins de 20 ans et près de 600.000 adultes soit bientôt l’équivalent de la ville de Marseille…

Certains ont beau dire que l’augmentation du nombre de cas est à mettre en lien avec un dépistage précoce généralisé des troubles autistiques, on a du mal à les croire à un tel niveau édémique… Qui n’a pas désormais dans son entourage un enfant qui présente des troubles du comportement ? De nombreux chercheurs indépendants suspectent la vaccination d’être un facteur déclenchant sur un terrain peut-être prédisposé, que ce soit à cause d’un antigène ou d’un adjuvant, voire la combinaison des deux. Ils sont largement fustigés par les décodeurs de fake news, dont le but semble être de nous vacciner en masse contre l’esprit critique…

La sclérose en plaque. La SEP est une maladie inflammatoire du Système Nerveux Central (SNC). C’est une pathologie auto-immune où le système immunitaire de l’individu considère la gaine de myéline du système nerveux comme un corps étranger.  La campagne contre l’hépatite B au milieu des années 90 a abouti à la vaccination de 25 millions de personnes, encouragées par des arguments scientifiques erronés ou fondés sur la peur. Le vaccin contre l’hépatite B a été l’objet d’un scandale médiatique désormais étouffé : après plus de dix-sept ans d’instruction, la justice a abandonné l’action judiciaire dans le dossier du vaccin contre l’hépatite B en 2016. Elle a estimé qu’il n’y avait pas de « causalité certaine » entre les injections et l’apparition de certaines maladies neurologiques.  Plusieurs études scientifiques assurent en effet que le lien n’est pas établi ; leurs conclusions sont suivies par la majorité du corps médical qui préconise plus particulièrement aujourd’hui la vaccination du nourrisson. Reste une donnée troublante à laquelle ne répondent jamais les autorités de santé : la sclérose en plaques touchait 25 000 personnes en 1991. On a dépassé les 80 000 cas en 2010, puis les 110 000 cas en 2020, soit 5 000 nouveaux diagnostiqués chaque année en France.[30] Quid du fameux principe de précaution ?

La myofasciite à macrophage. La myofasciite à macrophages (MFM) a été décrite pour la première fois en août 1998 dans le journal The Lancet par les Pr Ghéradi, Coquet et Chérin.[31] Elle est caractérisée par des lésions histo-pathologiques (touchant les tissus) musculaires.  Des travaux scientifiques réalisés entre 1998 et 2001 ont permis de déterminer que la cause exacte de la maladie était l’absorption d’hydroxyde d’aluminium présent dans les vaccins. Cette maladie invalidante entraîne des douleurs musculaires et articulaires chroniques, de la fatigue chronique, une tendance à la dépression et aux troubles de l’attention. Près de 80% des personnes atteintes de myofasciite à macrophages doivent cesser toute activité professionnelle, selon une enquête réalisée auprès des adhérents de l’association Entraide aux malades de myofasciite à macrophages (E3M).  Il n’existe pas de données sur le nombre de personnes atteintes de myofasciite à macrophages, par défaillance du système de pharmacovigilance. A aucun moment l’Agence du médicament (ANSM, ex-Afssaps) n’a d’ailleurs informé le corps médical des risques de survenue de myofasciite à macrophages après l’injection de vaccins contenant de l’aluminium.  On voit donc mal pourquoi des médecins déclareraient ce type d’effets secondaires à la pharmacovigilance. Cependant, des milliers, voire des dizaines de milliers de personnes pourraient être atteintes de myofasciite à macrophages, selon l’association E3M qui rapporte par ailleurs un autre constat inquiétant : « Nous commençons à voir des cas de pathologies familiales (père-fils, mère-fils…) ». Est-ce à dire que certains dysfonctionnements acquis, par l’intermédiaire des vaccins, peuvent devenir héréditaires et affecter définitivement le génome de l’espèce humaine ? Inquiétant.

Le syndrome des adjuvants. On doit aux travaux du Pr Shoenfeld (Israël) la caractérisation d’une autre maladie émergente, le “syndrome Auto-Immunitaire / Auto-inflammatoire Induit par les Adjuvants » (ASIA).[32] En 2010, il a publié une étude dans le Journal of Autoimmunity. En résumé : un sujet génétiquement prédisposé peut développer une maladie auto-immune ou auto-inflammatoire (AI/AIFD) à la suite de l’exposition à un facteur environnemental particulier comme les adjuvants (la silicone, l’aluminium, le pristane, ou encore les composants infectieux). Ces adjuvants peuvent par eux-mêmes provoquer une réaction auto-immune dans différents modèles animaux et pourraient provoquer une AI/AIFD chez l’homme.[33]  L’exposition à ces substances a été établie dans les quatre affections médicales examinées dans cet article (la siliconose, le syndrome de la Guerre du Golfe (GWS), le syndrome de la myofasciite à macrophages, et les réactions post-vaccinales). Shoenfeld suggère que le dénominateur commun à ces syndromes est l’activité de l’adjuvant qui sert de déclencheur.

Bonne science ou mauvaise science?

Alors que les détracteurs des vaccins sont accusés de faire de la « mauvaise science », en anglais bad science, la science vaccinale n’est pas vraiment un exemple de good science, notamment parce qu’elle se passe d’un véritable placebo pour ses études cliniques, faisant fi d’un des critères fondamentaux de la bonne science contemporaine, sans qu’on lui demande de comptes. La vaccinologie peut s’avèrer aussi dirty (« sale », « impure », « infectée ») : la contamination des produits vaccinaux par des bactéries, des virus, des résidus de culture de cellules, est un problème réel, connu mais peu médiatisé.  « Les principaux risques potentiels associés à l’utilisation de substances biologiques produites en lignées cellulaires continues (notamment pour les vaccins anti-polio, anti-rotavirus, anti-hépatite B, ndlr), se rangent dans trois catégories : ADN contaminant hétérogène, virus et protéines transformantes (c’est à dire capables de cancériser des cellules, ndlr) », rappelle  l’OMS dans un rapport[34] datant de 1987, sur l’ampleur des risques liés à l’utilisation des cultures cellulaires dans la préparation des vaccins. Le problème reste toujours d’actualité, d’autant plus que les laboratoires pharmaceutiques ne rendent pas de compte aux autorités sanitaires et posent le sceau du secret industriel sur leurs études cliniques.

Tout cela pose en tout cas d’énormes questions sur les futurs vaccins, préparés en un temps record, contre le « terrible » coronavirus ou autres virus émergents! Seront-ils vraiment sûrs ? Doit-on leur accorder un chèque en blanc, signé par la peur du virus ? Rien n’est moins sûr. Ne faut-il pas plutôt accepter l’échec des campagnes de masse de vaccination, reconnaître la finitude de notre humanité et se donner les moyens, à titre individuel, de cultiver sa propre immunité ? Chacun peut le être acteur à son niveau, sans externaliser aveuglément la gestion de sa santé aux autorités sanitaires, massivement contaminées par les conflits d’intérêts.

Une hygiène de vie de qualité tient sur trois axes : une bonne alimentation, de l’exercice physique régulier et une bonne santé émotionnelle. Sur ce dernier point, notre principal ennemi reste la peur, qui fait chuter notre immunité, une peur largement entretenue par les médias qui nous maintiennent dans l’unique espoir de la solution vaccinale.

Depuis des décennies, nous sommes entretenus dans la conviction que la vaccination va vaincre à moindre coût les maladies. C’est apparemment une idée reçue, fortement enracinée, qui n’a jamais fait ses preuves. Les ouvrages de Michel De Lorgeril et d’autres scientifiques indépendants qui se sont sérieusement penchés sur la question le démontrent amplement.

La seule façon de lutter contre la peste, c’est l’honnêteté, écrivait Albert Camus en 1947. Il faudra bien un jour avoir l’honnêteté intellectuelle de reconnaître l’échec et les dangers de la vaccination de masse.


[1] “Coronavirus : Bill Gates avait-il tout prévu ?” Cnews, le 18/03/2020.

[2] Cardiologue et chercheur au CNRS, Michel de Lorgeril s’est distingué pour ses travaux sur le régime méditerranéen (Etude de Lyon)  et la prévention des maladies cardiovasculaires. En 2017, il s’est aussi fait connaître en tant que lanceur d’alerte sur les médicaments anticholestérol, les statines (Néo Santé n°51 décembre 2015 et n°15 septembre 2012).  Il a cofondé l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (l’Aimsib). aimsib.org/

[3] Voir le dossier spécial à ce sujet Néo Santé n°37, Septembre 2014

[4] Vaccination contre les maladies contagieuses courantes de l’enfance, rapport technique de l’OMS, n°6, 1950.

[5] Source : https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Aspects-scientifiques/Epidemiologie/Donnees-de-couverture-vaccinale

[6] Yearly influenza vaccinations : a double-edged sword ? (Vaccinations antigrippales annuelles: une épée à double tranchant?) Bodewes et coll.  Lancet Infect Dis. 2009.

[7] Influenza vaccination coverage of healthcare workers and residents and their determinants in nursing homes in France, a nationwide survey. Vaux S, Noël D, Fonteneau L, Guthmann JP, Lévy-Bruhl D. BMC Public Health 2010,10:159

[8] Pandémie COVID-19, les recommandations essentielles de l’AIMSIB, 15 Mar 2020 https://www.aimsib.org

[9] Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 20172018 influenza season. Wolff GG. Vaccine 2020

[10] The Effect of Influenza Vaccination for the Elderly on Hospitalization and Mortality: An Observational Study With a Regression Discontinuity Design. Anderson ML et al.  Ann Intern Med. 2020.

[11] Chez Fauves, 2018.

[12] Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20-26 years). Fangjian Guo, Jacqueline M. Hirth, Abbey B. Berenson.  American Association for Cancer Research 2015 meeting Philadelphie

[13] Données de couverture vaccinale rougeole, rubéole, oreillons par groupe d’âge, Santé Publique France.

[14] “Measles : is a new vaccin approach needed?” Melenotte, Zandotti, Gautret, Parola, Raoult. The Lancet 2018.

[15] Infections à méningocoques en Suisse : changements épidémiologiques, cliniques et de prophylaxie. Stéphane Emonet, Rita Born, Jacques Schrenzel. Rev Med Suisse 2018;

[16] Report sulle caratteristiche dei pazienti deceduti positivi a COVID-19 in Italia au 13 mars 2020. www.epicentro.iss.it

[17] Voir la traduction du rapport italien du 17 mars sur ce site https://log.antipresse.net/coronavirus-italie-profil-victimes/

[18] Covid-19 : diabète, maladies cardiovasculaires et pulmonaires, premiers facteurs de risque en France, le 10 avril 2020. France Info.

[19] www.santemagazine.fr/sante/maladies/maladies-orphelines

[20] Les dépenses de santé en 2017, résultat des comptes de la santé. Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES)

[21] Communiqué de presse – La ligne rouge est dépassée : les hôpitaux devraient connaître un déficit historique de 1,5 milliards d’euros. Réformes structurelles et financière… www.fhf.fr/

[22] Politique de santé : l’hôpital rend malade ses personnels, déplorent les urgentistes de l’Amuf, Le quotidien du médecin? 20 mars 2018.

[23] Des virus thérapeutiques prometteurs contre le cancer, 13 février 2013, Le Figaro santé

[24] Utiliser un virus de l’herpes contre le cancer de la peau ? www.cancer.be

[25] Un virus du rhume est un tueur de tumeur ! Juillet 2019. Futura–sciences

[26] Cancer : une malade en rémission grâce au virus de la rougeole. 20 Mai 2014. Le Figaro santé

[27] Le vaccin anti tuberculose pourrait prévenir Alzheimer, étude israélienne sur timesofisrael.com

[28] Voir Neo Santé n°32 (mars 2014)

[29] Serious adverse events after HPV vaccination: a critical review of randomized trials and post-marketing case series, Manuel Martínez-Lavín, Luis Amezcua-Guerra, Clinical Rheumatology, Juillet 2017. Vaccine-related serious adverse events might have been under-recognized in the pivotal HPV vaccine randomized trial, Manuel Martínez-Lavín, Clinical Rheumatology, Avril 2017.

[30] https://www.arsep.org/

[31] Myofasciite macrophagique: une entité émergente. Gherardi RK, Coquet M, Chérin P, et al. Lancet. 1998

[32] ASIA – Autoimmune/inflammatory syndrome induced by adjuvants

Yehuda Shoenfeld, Nancy Agmon-Levin. Journal of Autoimmunity, 2010.

[33] www.vaccinssansaluminium.org/shoenfeld-syndrome-adjuvants/

[34] Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques, Rapport technique OMS, n°747, 1987.

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Un commentaire sur “Vaccination : la cause cachée des épidémies modernes ?”

  1. Daniel Eloi dit :

    Certains vaccins sont peut-être utiles, peuvent préserver ou sauver des vies par exemple pour les maladies tropicales ; à condition bien sûr qu’ils ne soient pas contaminés par ces adjuvants de type aluminium ou mercure ou pré-infectés comme l’ont dénoncé des pays africains.
    Le coronagate vient de provoquer une défiance supplémentaire envers TOUS les vaccins pour ne pas dire un rejet total. Alors combien de victimes collatérales supplémentaires ?
    Restons positifs et n’ayons pas peur en demandant que ce même coronagate permette à l’humanité de faire une grande lessive dont elle a bien besoin.

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