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L’arnaque de l’immunité vaccinale : l’infection naturelle est toujours supérieure!

par | Fév 3, 2022 | Coronagate, Dossiers, Santé, Vaccinologie | 3 commentaires

A mesure que la crise du coronavirus s’éternise, tout est bon pour nous pousser à la vaccination. Dernier argument en date, l’immunité du vaccin serait équivalente voire meilleure que celle générée par l’infection naturelle. Cette fake news, relayée par les institutions sanitaires, va à l’encontre des acquis de la science immunologique jusqu’à présent !

Face à l’argutie pro-vaccinale, je vous propose une synthèse scientifique pour rétablir des faits démontrés. Vous y découvrirez aussi d’autres informations que les médias ne vous révéleront pas : l’immunité contre la covid était déjà probablement atteinte chez 50 % de la population avant même l’apparition du Sars-Cov-2 !

Il n’y a donc aucune raison sanitaire valable de céder à l’injonction vaccinale, d’autant plus que les vaccins contre la covid ont déjà montré qu’ils pouvaient dérégler et affaiblir nos capacités immunitaires.

Un dossier paru dans Néo Santé, DECEMBRE 2021 Par Pryska Ducoeurjoly

Depuis l’arrivée du Sars-Cov-2, avez-vous entendu un ministre de la Santé ou un médecin des plateaux télé évoquer les multiples atouts de votre « immunité naturelle » ? De l’OMS aux divers experts sanitaires, on brandit des études qui démontrent la supériorité de l’immunité conférée par les vaccins anti–covid. Cette campagne de communication massive interpelle car cette affirmation contredit les acquis de la science immunologique dans bien des maladies infectieuses.

Deux mois après la parution de cette enquête, le ministre Véran révèle la volonté de l’establishment de réduire à néant l’immunité vaccinale. Sepuis le début du pass sanitaire, tout est fait pour ne pas concurrencer les médiocres performance du vaccin. L’immunité naturelle est nivelée vers le bas…

Le covid ferait-il exception à la règle de la supériorité de l’immunité naturelle ?

Absolument pas si on écoute certains… employés des laboratoires pharmaceutiques ! C’est apparemment un secret de polichinelle1 chez Pfizer, piégé par la caméra cachée de journalistes américains en octobre dernier2 : « Lorsque vous attrapez le virus, vous allez commencer à produire des anticorps contre plusieurs morceaux du virus… Donc, vos anticorps sont probablement meilleurs à ce stade que la vaccination contre la covid »…  Une explication limpide, mais aussi un tabou en ces temps d’absolutisme sanitaire…

« Vous ne sélectionnez que les études qui vont dans votre sens ! Vous prétendez imposer votre point de vue de manière autoritaire à des millions d’Américains ! ». Au Sénat le 30 septembre 2021, le Républicain Rand Paul ne mâchait pas ses mots contre Xavier Becerra3, le Secrétaire à la santé de Joe Biden : « La science est contre vous et elle est claire : l’immunité naturelle est au moins aussi bonne que l’immunité vaccinale, voire supérieure. »

Pour contrer ce nouveau négationnisme visant l’immunité naturelle, le sénateur américain s’appuyait sur plusieurs études4. Notamment les récentes données du ministère de la santé en Israël5 : les cas de ré-infection représentent moins de 1% des nouveaux cas. Ce faible taux témoigne d’une immunité naturelle durable.

Les vaccinés, finalement moins protégés ?

Ce pourcentage de 1% de re-contamination chez les non-vaccinés serait, en réalité, largement surévalué ! Pour comprendre, il faut faire appel aux lumières de la biologiste Hélène Banoun, membre du Conseil Scientifique Indépendant de la Coordination Santé Libre en France6 et que j’ai déjà interviewé pour la revue Néo Santé.7 La chercheure s’est penchée sur une cinquantaine d’études pour comparer les deux immunités, vaccinale ou naturelle, vis à vis de l’épidémie de covid-19. Sa synthèse publiée sur le site de l’AIMSIB8 en octobre dernier rappelle d’abord un point fondamental : « la grande majorité de ces réinfections n’en est pas à proprement parler puisqu’elles sont asymptomatiques9 : ce n’est qu’un portage nasal de virus sans infection systémique. Ceci n’est pas étonnant pour un virus de rhume ; le nez étant un sanctuaire immunitaire où ne circulent pas les anticorps sanguins ». Chez de nombreuses personnes, le virus s’invite sans pouvoir pénétrer la barrière mucosale ni générer le moindre symptôme. Avec le standard des tests PCR, n’est-on pas en train de surestimer les taux d’infections ou de ré-infections en vue de pénaliser l’immunité naturelle ?

D’après des études d’observation relevées par Hélène Banoun :

– Les vaccinés présentent un risque plus élevé d’hospitalisations liées au COVID-19 (6,7 fois plus) que les précédemment infectés. Les personnes ayant déjà été infectées par le SRAS-CoV-2 sont 27 fois moins susceptibles de développer une infection symptomatique une deuxième fois, par rapport à celles qui ont été vaccinées (étude de cohorte rétrospective, août 2021, Gazit et al.10 sur 700.000 Israéliens).

– Une infection antérieure par le SRAS-CoV-2 fourni une réduction de 84 % du risque de ré-infection et une réduction du risque de 93 % pour les personnes présentant des infections symptomatiques, selon l’étude du Lancet11 d’avril 2021, comparant 25 661 personnels de santé primo-infectés et les vaccinés (étude dite SIREN). La suite de cette étude a aussi montré la supériorité de l’immunité naturelle face au variant Delta.

L’OMS revoit sa définition de l’immunité…

 « Jusqu’en juin 2020, l’immunité naturelle, liée au système immunitaire inné et adaptatif/acquis de l’homme, était reconnue par l’OMS comme un élément clé de l’immunité collective contre les nouveaux agents pathogènes », note Hélène Banoun. Mais depuis le 13 novembre 2020, l’OMS affirme désormais que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective. »

Cette nouvelle position de l’OMS fait malheureusement son chemin jusqu’aux laboratoires effectuant des tests sérologiques (mesure des anticorps dans le sang). Dernièrement, un médecin récalcitrant à la vaccination obligatoire nous a fourni ses résultats de sérologie positive, agrémentée d’un commentaire étrange du labo : « En dehors d’un contexte vaccinal, ces anticorps ne sont que le témoin d’un contact avec le Sars-Cov-2 et ne permettent pas d’affirmer une immunité protectrice ». Autrement dit : les marqueurs biologiques (ici les anticorps anti–Spike) n’auraient plus la même valeur selon que vous avez été vacciné ou, au contraire, infecté de manière naturelle…

Les anticorps arrangent ou… dérangent

Les autorités sanitaires ne sont pas à un paradoxe près. Elles bénissent les anticorps dès lors qu’ils sont invoqués comme marqueurs de l’efficacité vaccinale, notamment dans les études cliniques. À l’inverse, elles minimisent leur valeur dans un contexte d’immunisation naturelle. Cette incohérence est lisible dans la politique sanitaire :

d’un côté, le passe-sanitaire recale les anticorps comme marqueur de l’immunité.  « Selon le ministère de la Santé, l’état des connaissances scientifiques ne permet pas de déterminer durant combien de temps la présence d’anticorps protège d’une nouvelle contamination »12, explique Nice Matin. C’est pourquoi, selon la Haute autorité de santé (HAS), même si vous avez été infecté naturellement, il vous faudra tout de même une dose vaccinale (sur deux) pour compléter votre protection. De manière subtile, on insinue que votre immunité naturelle marche « à moitié ». Par ailleurs, un certificat de rétablissement (validé par test PCR) ne peut être valable au-delà de six mois. Pour ne pas faire concurrence aux doses vaccinales périodiques ?

De l’autre côté, les anticorps sont reconnus comme marqueur de l’efficacité pour tous les vaccins dans les études cliniques. Et bien sûr dans celles qui évaluent le vaccin contre le Sars-Cov 2 (même si la durée de protection reste, ici aussi, totalement inconnue…13). Les résultats des taux d’anticorps servent de validation scientifique pour la généralisation d’une 3e dose Pfizer par l’Agence Européenne du Médicament : les données montrent « une augmentation des taux d’anticorps lorsqu’une dose de rappel est administrée environ 6 mois après la deuxième dose chez les personnes âgées de 18 à 55 ans14 ». Peu importe si cette 3e dose aggrave le risque d’effets indésirables, les anticorps ont parlé !

Mise à jour 23/08/22 : De forts taux d’anticorps sont corrélés à des effets secondaires accrus après une vaccination : Wataru Takahashi et al., « Association of Systemic Adverse Reactions and Serum SARS-CoV-2 Spike Protein Antibody Levels after Administration of BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine« , Internal Medicine.

Le rôle des anticorps surestimé

En réalité, les immunologistes savent que les taux d’anticorps ne sont qu’un des moyens de mesurer le degré d’immunité. Pour de nombreuses infections, ils ont déjà montré leurs limites.

« Dans les années 60, dans ‘The integrity of the human body’, le virologue australien Sir Macfarlane Burnet a soulevé la question de ces enfants incapables de produire des anticorps et qui, pourtant, résistent très bien à la rougeole et récupèrent comme les autres enfants », rappelle la revue de santé naturelle Régénère, dans son numéro consacré à la vaccination.15 « De même, il notait qu’une enquête britannique du milieu du XXe siècle sur la relation entre l’incidence de la diphtérie et la présence d’anticorps avait conclu qu’il n’y avait aucune corrélation observable entre le nombre d’anticorps et l’incidence de la maladie ». L’absence d’anticorps spécifiques dans le sang ne signifie pas nécessairement l’absence de mémoire immunitaire. « L’erreur serait donc de réduire la question de l’immunité aux niveaux d’anticorps et de ne juger qu’à travers ce prisme », résume le magazine. Lorsque les études cliniques sur les vaccins prennent uniquement les anticorps comme preuves de l’efficacité, elles peuvent donc s’avérer trompeuses.

Cette erreur est-elle cultivée pour appuyer la recherche vaccinale « basée sur les preuves », en occultant d’autres marqueurs immunitaires, moins en faveur de la vaccination ? Que penser de cette récente étude16 toulousaine qui a largement été relayée dans les médias pour renforcer la confiance dans les vaccins contre le Sars-Cov2 ? D’une part, les auteurs ont uniquement évalué les taux d’anticorps, dont on a vu la limite. D’autre part, pour qualifier une ré-infection, ils ont utilisé une technique PCR (source de faux positifs)17) sans évaluer parallèlement les symptômes cliniques de la cohorte.

« Une PCR positive avec un cycle d’amplification (Ct) à 35 (faible charge virale ou faux positif) sans symptôme ne peut être définie comme une réinfection », réaffirme Hélène Banoun. Tout au plus ce type d’étude démontre la présence d’anticorps mais en aucune manière une immunisation certaine.

Les tests sérologiques pénalisent l’immunité collective

Autre problème avec les sérologies évaluant les taux d’anticorps, elles ont tendance à sous-évaluer l’immunité dans une population. Dans une autre enquête publiée fin octobre 2021 sur le site de l’AIMSIB, « Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire », Hélène Banoun nous explique les limites de ces tests. D’une part, « les performances varient considérablement, certains tests étant loin de répondre aux critères de sensibilité et d’efficacité proposés par la FDA ». D’autre part, ils ont été conçus à partir des antigènes de la souche de référence isolée à Wuhan en 2019. « Depuis, le virus a énormément muté et certains antigènes des variants circulants actuellement pourraient induire la synthèse d’anticorps non reconnus par les tests sérologiques. Cette éventualité est soulignée par la FDA mais ne semble pas encore évaluée à ce jour ».

En réalité, 50% de la population pourraient déjà posséder une solide immunité naturelle,18 acquise notamment grâce à l’immunité croisée avec les coronavirus humains courants (rhumes). C’est ce que l’on découvre dès lors que d’autres marqueurs entrent dans l’analyse, notamment ceux de l’immunité cellulaire. Pour bien comprendre, un détour sur le fonctionnement de notre système immunitaire s’impose.

Immunité naturelle : kézako?

Un ensemble d’acteurs très performant. Notre système met en œuvre des phénomènes complexes qui utilisent deux principaux systèmes :

  • d’un côté, l’immunité innée, non spécifique, au niveau de nos barrières naturelles19 (notamment le microbiote intestinal, premier rempart immunitaire, ainsi que les muqueuses respiratoire ou cutanée) ;
  • de l’autre côté, l’immunité acquise, plus spécifique et dotée de fonctions mémorielles. Cette immunité acquise va neutraliser tout ce qui est passé vers le milieu intérieur grâce aux lymphocytes B et T, puis in fine aux anticorps. En termes simplifiés, les cellules B produisent des anticorps et les cellules T fournissent des fonctions d’assistance aux autres cellules immunitaires et éliminent directement les cellules infectées par le virus.

La globalité de notre système immunitaire dispose donc de plusieurs remparts externe et interne, de plusieurs systèmes de reconnaissance dont certains conservent une mémoire et peuvent réactiver facilement des anticorps.

Schéma simplifié de l’homéostasie et de la réponse immunitaire au niveau de la barrière intestinale; Salsero35, CC BY-SA 3.0

Comment la mesurer ? Il est difficile d’évaluer l’immunité innée notamment parce qu’elle est complexe à isoler, mais les analyses biologiques peuvent mesurer l’immunité acquise, à travers :

– l’immunité cellulaire des lymphocytes T, qui possèdent une mémoire immunitaire.

– l’immunité humorale des anticorps (sérologie).

Différencier l’immunité naturelle et vaccinale, c’est possible !

Selon une étude française du Centre hospitalier universitaire de Strasbourg,20 la sérologie pour détecter l’infection par le SARS-CoV-2 n’est pas fiable : on observe une absence d’anticorps mais une solide immunité cellulaire chez des personnes pauci ou asymptomatiques.

Certaines personnes qui ont combattu Covid-19, avec ou sans symptômes, peuvent ne pas avoir d’anticorps mesurables. Par conséquent, un test d’anticorps négatif ne doit pas être considéré comme la preuve d’un manque d’immunité. Au contraire, cela pourrait témoigner de l’efficacité remarquable des premiers remparts de notre immunité, les anticorps arrivant en dernier.

C’est aussi exactement ce qu’a montré une autre étude publiée en 2020 (Cox et al), les personnes séronégatives peuvent disposer d’une très bonne immunité cellulaire21, avec les lymphocytes B et T.

Ces données, la Haute Autorité de Santé les a déjà en sa possession au moment du lancement de la campagne vaccinale :

– « La réponse immunitaire cellulaire semble importante pour contrôler l’infection par le SARS-CoV-2. La réponse cellulaire, surtout CD4+, croise avec les réponses aux coronavirus banals », écrit-elle en décembre 2020.22

– « Les tests d’évaluation quantitative de la réponse humorale utilisent comme antigène (Ag) la protéine S ou son domaine RBD, parfois la protéine N du nucléocapside (enveloppe du génome du virus, ndlr). La plupart des vaccins utilisant la protéine S, seul cet antigène est utilisé pour l’étude de l’immunité post-vaccinale ».23

La HAS sait que les anticorps anti-N, sont un marqueur sérologique spécifique de l’immunité naturelle contre le Sars-Cov 2. Elle sait aussi que « la persistance d’anticorps ou de cellules effectrices cytotoxiques n’est pas le seul indicateur de l’existence d’une immunité qui peut être protectrice ».24  

On sait donc bien différencier l’immunisation naturelle de l’immunisation vaccinale et les évaluer séparément. La HAS nous dit cependant que cette différenciation est rendue « difficile par le fait que le moment du prélèvement et la gravité de la maladie ont une influence et ne peuvent être standardisés. »

Cela vaut surtout pour les anticorps, mais beaucoup moins pour l’immunité cellulaire qui peut être décelée chez les séronégatifs plus longtemps : « Les diagnostics basés sur les lymphocytes T peuvent présenter des avantages par rapport aux tests sérologiques, étant donné les incertitudes liées à l’apparition et à la persistance des réponses en anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 chez les individus infectés25 », rappelle une étude récente.

Le bon test du commerce, pas remboursé…

Pour une personne qui souhaiterait savoir si elle dispose d’une immunité cellulaire naturelle contre le Sars-Cov2, « un réactif commercial est disponible en France : Elispot Cerba : malheureusement ce test coûte cher (environ 200€) et n’est pas remboursé par les assurances maladie », explique Hélène Banoun. Le test ELISpot (interferon-gamma (IFN-γ) enzyme linked immunospot) mesure la réponse cellulaire spécifique vis-à-vis de plus de 250 peptides des protéines Spike (S) et de Nucléocapside (N) du SARS-CoV-2 en quantifiant le nombre de lymphocytes T produisant de l’interféron γ. Les lymphocytes du malade ou du patient vacciné sont isolés puis mis en contact avec les antigènes du virus, après 20 heures d’incubation, on mesure la production d’interféron γ. « Un test positif permet de différencier l’immunité liée à l’infection par le virus (positivité anti-S et anti-N) d’une immunité seulement liée à la vaccination (positivité anti-S) ».

Le vaccin KO en matière d’immunité cellulaire

Dans son article « Covid-19, immunité naturelle versus immunité vaccinale »,26 Hélène Banoun donne le résultat du match à partir des études qui incluent un ensemble plus vaste de marqueurs biologiques : 

– Les taux de cellules T CD4+ S-réactives, de cellules T helper et effectrices mémoires sont plus élevés chez les convalescents que chez les vaccinés.

– Selon une méta-analyse de 18 études des épitopes (fractions d’antigènes) du SARS-CoV-2 reconnus par les cellules T des convalescents de la Covid-19, la grande diversité des épitopes qui ne se cantonne pas à la protéine Spike ne semble pas affectée par les variants, du moins avant l’arrivée du variant delta.  « Des études sur des individus récupérés de COVID-19 ont détecté des cellules T spécifiques au SRAS-CoV-2 neuf mois après l’infection, montrant des signes prometteurs du potentiel des cellules T à fournir une immunité durable », écrivent les auteurs.27 

– Une récente publication israélienne du 21 septembre 2021 montre la persistance de l’immunité humorale (anticorps) chez les convalescents pendant 14 mois, ce qui n’est pas le cas chez les vaccinés : « Alors que l’infection naturelle implique une activation systémique complète, y compris le bras immunitaire inné, la vaccination par l’ARNm peut contourner une activation systémique complète. Ce contournement, dans le cas du vaccin à ARNm, pourrait affecter la capacité du système immunitaire à maintenir des niveaux suffisants de plasmocytes à longue durée de vie qui soutiennent la continuité du réservoir d’anticorps au fil du temps ».28

En conclusion, aucune étude ne permet de conclure à la supériorité de la protection vaccinale sur l’immunité naturelle avec une certitude statistique.

L’immunité naturelle face aux coronovirus

Nos défenses immunitaires, dans un souci permanent d’adaptation à son environnement, co–évoluent en phase avec l’écosystème microbien dans lequel nous baignons. Si plusieurs rappels vaccinaux sont nécessaires pour l’immunité vaccinale, il suffit généralement d’un seul épisode infectieux pour être immunisé durablement et solidement pour l’immunité naturelle. On ne fait qu’une rougeole dans sa vie et très rarement deux fois la grippe d’une année sur l’autre. Qu’en est-il des coronavirus ?

Une protection croisée. Dans l’épidémie du coronavirus chinois, les médias nous ont rappelé que les jeunes enfants étaient « étonnamment » épargnés, alors que les plus âgés subissaient la vague de plein fouet. Le Pr Didier Raoult de l’IHU de Marseille a été le premier à remarquer ce phénomène. Quelques mois plus tard, il en expliquait les raisons dans une vidéo29 (juin 2020) :

« Ce sont les enfants qui font les coronavirus épidémiques. Il est vraisemblable que tous les enfants qui vivent en collectivité font au moins une fois par an une infection à coronavirus. On considérait que ces infections à coronavirus, jusqu’à présent, n’avaient pas grand-chose à voir avec le coronavirus chinois, mais ce n’est pas vrai. »

Raoult cite les travaux de scientifiques qui ont découvert la présence de cellules mémoire capables de lutter contre le Sars-Cov2 chez des personnes qui n’avaient pourtant pas rencontré le virus (les échantillons de sérums étant antérieurs à la crise). Ces personnes disposaient donc d’un arsenal immunitaire approprié avant même l’apparition de l’épidémie !

Didier Raoult estime ainsi qu’entre 40 et 70 % de la population était déjà immunisés contre le virus chinois30… Si, pour les médias, le Sars-Cov 2 est un tout nouveau virus, pour notre système immunitaire, ce membre de la famille des coronavirus n’est pas vraiment un inconnu !

Une protection à long terme quasi-certaine. Dans l’épidémie du SARS-CoV-1 de 2003, l’immunité cellulaire persiste 11 ans selon une étude32 publiée en 2016. Également, selon une étude33 de 2020, les patients ayant survécu au SARS de 2003 la cellulaire mémoire a été revue à 17 ans. Il pourrait en être de même pour le Sars-Cov 2 !

N’oublions pas que l’immunité mucosale (nos muqueuses, qui participent à l’immunité innée) peut aussi constituer un rempart efficace pour bon nombre d’asymptomatiques PCR-positifs. Elle est stimulée par l’infection naturelle mais pas par la vaccination, administrée par voie intramusculaire.

Une vidéo qui résume bien l’arnaque de la supériorité vaccinale sur l’immunité naturelle :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/immunite-meyer-fuhrer-sonigo-mensah

Les dangers de l’immunité “entrainée” des vaccins anti-covid à ARNm

Attention si vous avez déjà contracté la covid, avec ou sans symptômes, pour vous la vaccination comporte davantage de risques. Hélène Banoun répertorie six études documentant ce constat : dès la première dose de vaccin, on observe chez les convalescents plus d’effets indésirables systémiques que chez ceux qui n’ont pas rencontré le virus. D’après les autres études34 examinées par la chercheure, les risques qui entourent cette vaccination sont multiples, tout particulièrement si vous avez déjà été en contact avec le virus :

le reformatage de l’immunité. Avec la vaccination Pfizer, des chercheurs35 rapportent « un effet de remodelage de la réponse immune innée » : « Le vaccin BNT162b2 a modulé la production de cytokines inflammatoires par les cellules immunitaires innées lors de la stimulation par des stimuli à la fois spécifiques (SARS-CoV-2) et non spécifiques (viraux, fongiques et bactériens) ». Ce vaccin peut notamment provoquer des réponses inflammatoires accrue au candida albicans ou des interactions avec le virus de la… grippe. Cela relance la question du vaccin anti-grippal, recommandé en parallèle par les autorités sanitaires. Cette immunité entraînée a parfois des conséquences aléatoires, que l’on découvre au fil de l’expérimentation de masse. L’entraînement de la réponse innée n’est pas sans conséquence dans le déclenchement de maladies où nos défenses sont altérées : cancers, maladies auto-inflammatoires et auto-immunes. De nombreux médecins évoquent actuellement des récidives cancéreuses à la suite de la vaccination anti-covid.

– Une sur-sollication contre-productive. Actuellement, les anticorps vaccinaux visent uniquement la spike du Sars-Cov2 de Wuhan (2019). Cette vaccination (et ses rappels) fait donc fabriquer des anticorps potentiellement “inadaptés” aux mutations des protéines spike sur les souches ultérieures. Cette spécificité peut s’avérer contre-productive : chez des convalescents, la vaccination a provoqué une perte de la capacité de reconnaissance du variant anglais dès 15 jours après la première dose de Pfizer. « Ces données remettent en question l’intérêt d’une immunisation répétée avec la même séquence de protéine S », commente Hélène Banoun.

l’affaiblissement immunitaire. « Une seconde dose de vaccin Pfizer entraîne une réduction de l’immunité cellulaire chez les personnes ayant déjà récupéré de la COVID-19, ajoute Hélène Banoun. La vaccination des sujets déjà infectés réduit aussi leur capacité à produire des anticorps à large spectre contre des variants futurs ». Les convalescents non-vaccinés conservent cette capacité et leur système de reconnaissance s’”entraîne” naturellement : on a pu constater que l’affinité des anticorps naturels augmente dans la durée, contrairement aux anticorps vaccinaux.

La désorientation des cellules immunitaires. Selon une étude sur des cas de covid long,36 « les vaccins ARNm orientent de façon aberrante les réponses des cellules T chez les patients souffrant de séquelles neurologiques à la suite de l’infection Covid ».

– Le contournement des marqueurs du “soi”. L’enveloppe nanolipidique dans laquelle se trouve l’ARN vaccinal pour fabriquer la protéine spike, a été conçue pour contourner le système de reconnaissance du non-soi. Elle permet à l’ARN de pénétrer incognito au cœur de la cellule pour y être répliqué comme s’il s’agissait d’un ARN messager du « soi »… Cela pourrait expliquer les thromboses constatées à la suite de cette injection, comme l’a expliqué notamment le microbiologiste allemand Sucharit Bhakdi dans une vidéo37 dédiée au fonctionnement immunitaire : « Les gènes qui sont injectés dans votre corps vont entrer dans la circulation sanguine et il est absolument certain maintenant que ces gènes vont entrer dans les cellules qui tapissent la paroi des vaisseaux. (…) Les Spikes seront alors produites par la cellule et dépasseront ensuite de la surface, dans la circulation sanguine. Ces cellules vont être reconnues par les lymphocytes qui vont donc attaquer les parois de vos vaisseaux. C’est la première voie vers la formation de caillots qui, comme nous le savons, se produit partout dans le monde ». Pour Sucharit Bhakdi, la seconde injection est encore plus délétère et peut considérablement aggraver ce phénomène désastreux.

Aux limites de l’immunité vaccinale

Depuis des décennies, l’innovation vaccinale cherche à égaler (voire surpasser) les performances de l’immunité naturelle mais elle s’est heurtée à de nombreux problèmes qui persistent encore aujourd’hui.

La facilitation des infections. Paradoxalement, de nombreux vaccins (comme la grippe et la dengue) peuvent contribuer à facilité l’infection, à cause des « anticorps facilitateurs ». Les précédents essais vaccinaux chez l’homme et l’animal contre les divers coronavirus communs ont d’ailleurs échoué à cause de ce phénomène. Voir ma précédente enquête à ce sujet.

Une durée de protection faible. La durée de protection des vaccins, mesurées par le taux d’anticorps,38 se situe généralement en dessous de 10 ans. Par exemple, pour le pneumocoque 4-5 ans, le papillomavirus humain 5-8 ans, la coqueluche 4-6 ans, la diphtérie 10 ans, la polio 18 mois…39 L’injection vaccinale par voie intramusculaire court-circuite un pan complet de notre système immunitaire. Elle ne bénéficie pas du contact naturel des muqueuses aériennes et digestives, qui vont éliminer la majorité des virus ou s’en servir pour affiner le système immunitaire.

La nécessité des rappels. Aucune souche vaccinale, pur produit de culture in vitro, ne peut rivaliser avec la réaction face à un virus naturel, qui suit une évolution biologique reconnaissable et cohérente pour notre organisme. Il faut souvent plusieurs doses pour un schéma vaccinal complet, mais cela n’est jamais sans risque. Avec la vaccination, certains marqueurs biologiques n’apparaissent pas aussi vite que lorsque nous tombons malade naturellement, c’est pourquoi la réaction doit être boostée avec des adjuvants comme l’aluminium. Les nourrissons subissent 5 rappels avant 18 mois pour 11 maladies, soit un cumul de près de 4 mg d’aluminium par voie intramusculaire… 

Des mutations virales imprévisibles. La vaccination possède un spectre viral limité en ne visant que certains sous-types. Les virus ont tendance à muter, parfois de manière si rapide que la technologie peine à suivre. C’est le cas de la grippe. Chaque année, l’OMS sélectionne plusieurs souches pour le vaccin annuel en espérant que les futurs mutants qui vont circuler n’en seront pas trop éloignés. Finalement, une étude40 observationnelle publiée en 2020 rappelle que la vaccination anti-grippale ne diminue ni la mortalité ni le risque d’hospitalisation…

Des risques pour l’immunité croisée collective. Dans un article41 paru en 2009 dans The Lancet Infectious Diseases, une équipe hollandaise qualifiait la vaccination contre la grippe « d’épée à double tranchant » : « La prévention de l’infection par les virus de la grippe saisonnière par la vaccination pourrait empêcher l’induction d’une immunité hétérosubtypique (contre les variants, ndlr) aux souches pandémiques, ce qui pourrait être un inconvénient pour les personnes immunologiquement immatures, par exemple les nourrissons ». La vaccination ciblée d’un groupe de personnes peut pénaliser une autre partie de la population en diminuant l’immunité collective croisée.

Des interférences virales. Les premières victimes du coronavirus sont les personnes âgées. La faiblesse de leur système immunitaire et leurs co-morbidités ont été invoqués comme les principales causes d’un covid sévère. La vaccination anti-grippale massive de ce public n’a-t-elle pas pu constituer un autre facteur causal42 ? Ces personnes sont en effet les plus vaccinées contre la grippe, à plus de 90% dans les maisons de retraite…43 Corrélation n’est pas causalité mais l’association de médecins indépendants AIMSIB a dévoilé en mars 2020 une information cruciale au chapitre des interférences virales : selon des données de l’armée américaine portant sur le personnel militaire (Vaccine, 2020), la vaccination anti-grippale favoriserait les infections à coronavirus courants. Dans cette étude, on a observé une augmentation de 36% du risque d’infection par cette famille de virus chez les vaccinés contre la grippe.

Plusieurs études précédentes avaient déjà documenté cette interférence virale notamment chez les enfants, plus susceptibles de déclencher d’autres types d’infections respiratoires (y compris à coronavirus), dès lors qu’ils sont vaccinés contre la grippe. On peut légitimement se demander si la protection grippale attribuée au vaccin ne pénalise pas l’immunité de groupe acquise naturellement grâce aux relations virus-virus qui se jouent lors de nos infections naturelles. La complexité des interférences virale est documenté par une étude anglaise de 201944 : « Nos résultats impliquent que l’incidence des infections grippales est liée à l’incidence des infections virales non grippales ».

Un vaccin contre la grippe saisonnière généralisé pourrait donc contribuer à la circulation d’autres virus non grippaux, comme les coronavirus.  Mais pour les autorités sanitaires, pendant la pandémie du coronavirus chinois en 2020, il n’y avait aucun problème à recevoir sa dose de vaccin anti-grippal. Cet automne 2021, elles préconisent même de recevoir les deux injections (grippe + covid) simultanément pour être “doublement protégé”.45 Seule condition : choisir un bras différent pour chaque seringue…

Des résurgences épidémiques. Dans un article « Rougeole, une nouvelle approche de la vaccination nécessaire ? », Didier Raoult et son équipe46 expliquaient en octobre 2018 que nous allions avoir besoin d’un nouveau vaccin parce que, depuis quelques années, des rougeoles sont diagnostiquées chez les vaccinés… C’est probablement lié aux capacités d’adaptation des virus face l’immunisation artificielle massive.

« Non seulement une couverture vaccinale optimale de 90% n’élimine pas la rougeole (exemple de la Roumanie, des États-Unis et du Canada), mais elle peut créer des problèmes inattendus comme les phénomènes de remplacement épidémiques », constate de son côté Michel De Lorgeril47 dans sa collection Vaccins et Société48 (Éditions Chariot d’Or), une série de livres que j’ai documenté dans de précédents dossiers. Les souches remplaçantes (résistantes aux vaccins) se substituent aux souches vaccinales visées et la maladie clinique ressurgit, parfois de manière plus sévère, nécessitant de nouvelles versions du vaccin initial. Malheureusement, les exemples ne manquent pas : méningocoque, pneumocoque, grippe…

Alors que les vaccins sont censés soutenir notre immunité, ils pourraient au contraire la dérégler à tel point que notre propre système immunitaire nous prend pour cible… « Les encéphalites de la rougeole ont été remplacées par d’autres encéphalites, certaines virales (la fameuse encéphalite herpétique) et d’autres auto-immunes qui étaient rares, voire inexistantes autrefois ».

On retrouve encore ce problème de “pression sélective” avec le papillomavirus pour lequel le vaccin ne vise que certaines souches. C’est ainsi que l’on a dû passer du Gardasil 4 au Gardasil 9 pour tenter d’élargir le spectre d’action. « L’efficacité anti-infectieuse du vaccin limitée à 4 ou 9 souches de HPV sur plus de 150 connues, crée une véritable « niche écologique », favorable à la prolifération des autres souches éventuellement plus dangereuses, explique l’oncologue Nicole Delepine.49 Ce « remplacement de type » a été confirmé par l’étude de Fangjian Guo50 observant que l’éradication de certains types de HPV entraînait l’émergence des types non inclus dans le vaccin, certaines pouvant se révéler plus dangereuses que celles qu’elles remplacent ».

Des déplacements épidémiques. Il semble que la période à laquelle on contracte une maladie infantile ne soit pas non plus sans incidence. Par exemple, des chercheurs ont constaté que le risque de développer une sclérose en plaques peut être associé à l’acquisition de certaines maladies infectieuses infantiles à un âge tardif par rapport aux témoins normaux.51 Cela questionne encore une fois la pertinence de la vaccination des nourrissons contre ces maladies infantiles : l’immunité vaccinale étant peu fiable, ces enfants peuvent développer ces maladies un stade ultérieur, voir à l’âge adulte, avec des conséquences beaucoup moins bénignes. Il s’agit ici du phénomène de « déplacement épidémique » que décrit Michel de Lorgeril dans sa collection Vaccins et Société.

Les infections naturelles, alliées de notre immunité

« A l’époque prévaccinale, 95 % des adultes ont souffert de la varicelle naturelle (généralement pendant l’enfance), ces cas étaient généralement bénins et ont entraîné une immunité à long terme. (…) La vaccination universelle n’a pas fourni de protection à long terme contre la varicelle et le zona », peut-on lire dans une étude52 de 2012 consacrée à la vaccination concernant la varicelle et le zona.

Non seulement les infections naturelles nous procurent une immunité à long terme mais elles jouent un rôle crucial dans des mécanismes immunitaires bien plus larges. Elles peuvent nous aider à contrôler les allergies, les cancers ou encore les maladies cardiovasculaires. Le numéro 10 de la revue Régénère cite des études qui met à mal le dogme vaccinal :

– En 2006, une étude intitulée « Fréquence des maladies allergiques suite à la rougeole »,53 montre que « les cas de maladies allergiques sont moins fréquents chez les enfants ayant eu la rougeole. »

– Une autre étude54 datant de 2015 montre que les affections de la rougeole et des oreillons sont associées à une diminution du risque de mortalité par maladies cardio-vasculaires. De quoi questionner la vaccination obligatoire des nourrissons avec le ROR quand on sait que les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité (avec les cancers), alors que la rougeole ou les oreillons sont des infections bénignes dans la majorité des cas…

La fièvre, c’est bon pour l’immunité !

Toutes ces maladies de l’enfance (rougeole, oreillons, rubéole, coqueluche, scarlatine, varicelle) peuvent jouer un rôle préventif contre le cancer, rapportent plusieurs études.55  La fréquence d’épisodes fiévreux, aussi bien dans l’enfance et l’âge adulte, stimule l’immunité et protége contre l’apparition tardive de cancer. Dans un article de 2001, « Fièvre, incidence du cancer et rémissions spontanées », l’immuno-oncologue Ralf Kleef56 liste de nombreuses études ayant déjà montré l’importance des épisodes fiévreux dans la protection contre le cancer. Il rappelle aussi que des rémissions spontanées sont souvent précédées d’infections fébriles. Depuis, ce médecin anthroposophe utilise l’hyperthermie du corps entier dans des protocoles de traitement palliatif et curatif de cancers métastatiques.

Parenthèse : ce constat ne manquera pas de questionner aussi l’usage du paracétamol, largement promu par les pouvoirs publics pour contrôler la covid-19… Si cet antalgique fait baisser la fièvre, il va contrecarrer la réponse immunitaire, avec des conséquences potentiellement délétères comme l’apparition ou l’aggravation des cancers (voir ce dossier à ce sujet).

Enfin, dans la série des bienfaits des infections virales, des chercheurs57 japonais ont rapporté « la disparition des crises d’épilepsie réfractaires à la suite d’infections virales aiguës ». Preuve s’il en est que notre système immunitaire est en lien direct avec notre système nerveux. À l’inverse, la vaccination peut entraîner des troubles neurologiques auto-immuns graves (sclérose en plaques, Guillain-Barré…).

Au lieu de jouer aux apprentis sorciers avec un vaccin chimérique contre le coronavirus chinois, la recherche médicale et nos institutions sanitaires devraient davantage méditer sur les bienfaits des infections fiévreuses et sur les risques de l’immunisation artificielle. C’est pourquoi, plutôt que de céder à l’injonction vaccinale, nous vous invitons à cultiver votre microbiote intestinal et vos défenses naturelles pour bénéficier d’une solide immunité acquise par microbes interposés.


1 Un secret de Polichinelle est connu de tous mais cette connaissance n’est pas partagée.

2 Pfizer Scientist: « Your Antibodies are Probably Better than the Vaccination », projectveritas.com

3 « Sen. Rand Paul Calls Out HHS Sec. Becerra for Denying Natural Immunity. » Joseph Mercola, pour The defender, le 22 octobre 2021. www.childrenshealthdefense.org

4 On peut les retrouver ici : « Covid-19 natural immunity compared to vaccine-induced immunity: The definitive summary », 23 octobre 2021, site de SharylAttkisson.com

5 « Natural infection vs vaccination: Which gives more protection? » Le 13 juillet 2021. www.israelnationalnews.com

6 Le CSI de la coordination Santé Libre produit de nombreuses vidéos pour diffuser ses travaux. https://www.csl.ovh/le-csi/les-reunions-du-csi/

7 Avril 2021, Neo Santé n°110 : « Le vaccin peut faciliter ou aggraver l’infection », ITW d’Emma Khan, par Pryska Ducoeurjoly. Lire aussi : https://www.aimsib.org/en/2020/09/27/vaccin-anti-grippal-et-facilitation-de-linfection-par-les-anticorps/

8 Covid-19, immunité naturelle versus immunité vaccinale, le 3 Oct 2021, par Hélène Banoun, aimsib.org (Association internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante).

9 Le CDC américain (Centers for disease control) définit une réinfection comme un test positif (généralement PCR, par prélèvement oropharyngé) sans tenir compte des symptômes.

10 « Comparing SARS-CoV-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections » Sivan Gazit et al. medRxiv 25 aout 2021.

11 « SARS-CoV-2 infection rates of antibody-positive compared with antibody-negative health-care workers in England: a large, multicentre, prospective cohort study (SIREN) »

Victoria Jane Hall, April 09, 2021.

12 « Pourquoi les tests sérologiques positifs ne sont pas valables pour le pass sanitaire? » Nice Matin, le 24/08/2021

13 « Covid-19 : que sait-on de la durée de l’immunité procurée par les vaccins ? » LCI.fr, 7 octobre 2021

14 « Une 3e dose Pfizer pour tous les adultes : l’Agence européenne des médicaments valide ». 04 octobre 2021. Numerama.com

15 Numéro 10, oct. 2021. Vaccination, comment s’y retrouver. Revue coordonnée par Thierry Casasnovas.

16 « One year later: SARS-CoV-2 immune response and vaccination of healthcare workers post-infection ». Chloé Dimeglio, J Infect. 2021 Sep

17 « Tests du covid-19, attention aux faux positifs! » Le 05/05/20, par PryskaDucoeurjoly.com

18 Une étude de juin 2020 a démontré que plusieurs cellules T CD4 réagissant aux épitopes du SRAS-CoV-2 résultaient d’une réaction croisée avec des séquences homologues correspondantes de HCoV circulant couramment, notamment OC43 et 229E, qui peuvent provoquer des rhumes. « Targets of T cell responses to SARS-CoV-2 coronavirus in humans with COVID-19 disease and unexposed individuals ». Grifoni A et al. Cell. Juin 2020.

19 L’immunité innée se manifeste par la sécrétion de molécules antivirales et pro-inflammatoires comme les cytokines, et par l’action de cellules immunitaires : neutrophiles, macrophages, cellules tueuses, etc…

20 « Intrafamilial exposure to Sars-cov-2 induces cellular immune response without seroconversion », janvier 2021. Emerg Infect Dis.

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/27/1/20-3611_article

21 « Not just antibodies : B Cells and T Cells mediate immunity to covid-19 », Nature Reviews Immunology, Aout 2020.

22 « Covid 19 et immunité : la Haute Autorité de santé fait le point des connaissances ». Le 10 déc. 2020, www.mesvaccins.net

23 ibid

24 « Covid 19 : de plus en plus d’arguments en faveur d’une immunité de longue durée, mais très variable selon les individus » www.mesvaccins.net, le 16 jan. 2021

25 « Landscape of epitopes targeted by T cells in 852 individuals recovered from COVID-19: Meta-analysis, immunoprevalence, and web platform ». Ahmed Abdul Quadeer. Cell Reports Medicine, June 2021.

26 https://www.aimsib.org/2021/10/03/covid-19-immunite-naturelle-versus-immunite-vaccinale, le 3 Oct 2021

27 « Landscape of epitopes targeted by Tcells in 852 individuals recovered from COVID-19: Meta-analysis, immunoprevalence, and web platform », Ahmed Abdul Quadeer et al. Cell Reports Medicine, 2021.

28 « The longitudinal kinetics of antibodies in COVID-19 recovered patients over 14 months ». T. Eyran et al. Sept 21. www.medrxiv.org

29 Voir minute 8. « #LancetGate. Les Pieds nickelés font de la science. » IHU, 2 juin 2020.

30 « Un vaccin anti-covid pourrait pénaliser les enfants et l’immunité de groupe », Le 18/06/20, sur PryskaDucoeurjoly.com

31 « Identification of resident memory CD8+ T cells with functional specificity for SARS-CoV-2 in unexposed oropharyngeal lymphoid tissue », Niessl et al. Science Immunology, 14 Sep 2021.

32 « Memory T cell responses targeting the SARS coronavirus persist up to 11 years post-infection ». Ng et al. Vaccine. 2016

33 Voir l’article « Covid-19, immunité naturelle versus immunité vaccinale ». Hélène Banoun, Oct 2021 sur aimsib.org

34 Vous pouvez consulter ces sources dans l’article publié sur le site de l’AIMSIB : Covid-19, immunité naturelle versus immunité vaccinale, 3 Oct 2021, aimsib.org

35 « Le vaccin à ARNm BNT162b2 contre le SRAS-CoV-2 reprogramme les réponses immunitaires adaptatives et innées ». Konstantin Föhse, mai 2021. www.medrxiv.org

36 « Neuro-COVID long-haulers exhibit broad dysfunction in T cell memory generation and responses to vaccination ». Lavanya Visvabharathy. Medrxiv.org. 2021.

37 « Une preuve qui met fin au narratif. Professeur Sucharit Bhakdi », le 18 Jul 2021, chaîne de traduction Odysee de Miss Red Pill. https://infovf.com/video/une-preuve-qui-met-fin-narratif-professeur-sucharit-bhakdi–9888.html

38 Voir les rapports pour chaque vaccin sur www.mesvaccins.net

39 « Efficacy and effectiveness, Duration of immunity provided by vaccines ». The Immunisation Advisory Centre (Nouvelle-Zélande). https://www.immune.org.nz/vaccines/efficiency-effectiveness

40 « The Effect of Influenza Vaccination for the Elderly on Hospitalization and Mortality: An Observational Study With a Regression Discontinuity Design ». Anderson ML et al. Ann Intern Med. 2020.

41 « Yearly influenza vaccinations : a double-edged sword ? » Bodewes et coll.  Lancet Infect Dis. 2009.

42 Cette question a fait l’objet d’un dossier spécial dans Néo Santé Septembre 2020 : “Le vaccin antigrippal suspect numéro un, mais pas inquiété”, par Pryska Ducoeurjoly.

43 Influenza vaccination coverage of healthcare workers and residents and their determinants in nursing homes for elderly people in France: a cross-sectional survey

Sophie Vaux, BMC Public Health. 2010

44 Nickbakhsh Sema et al. Virus-virus interactions impact the population dynamics of influenza and the common cold. Proc Natl Acad Sci USA. 2019.

45 “Covid-19 et grippe : la HAS précise les conditions d’une co-administration des vaccins”, communiqué de presse du 27 sept. 2021

46 “Measles : is a new vaccin approach needed?” Melenotte, Zandotti, Gautret, Parola, Raoult. The Lancet 2018.

47 Néo Santé N°100 – MAI 2020

48 Vaccination : la cause cachée des épidémies modernes ? Néo Santé N°100 – mai 2020.

« La science est absente de la médecine des vaccins ! », ITW par Pryska Ducoeurjoly, Néo Santé n°89, 2019

49 « Vaccination : la cause cachée des épidémies modernes ? » Pryska Ducoeurjoly. Dossier paru dans Néo Santé N°100 – Mai 2020

50 « Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20-26 years) ». Fangjian Guo, Jacqueline M. Hirth, Abbey B. Berenson.  American Association for Cancer Research 2015 meeting Philadelphie

51 « Sclérose en plaques et maladies infectieuses infantiles ». S Bachmann. Étude comparative, Neuroepidemiology. 1998

52 « Review of the United States universal varicella vaccination program: Herpes zoster incidence rates, cost-effectiveness, and vaccine efficacy based primarily on the Antelope Valley Varicella Active Surveillance Project data ». Vaccine. Mars 2013.

53 « Frequency of allergic diseases following measles ». E Kucukosmanoglu et al. Allergol Immunopathol (Madr). Jul-Aug 2006

54 « Association of measles and mumps with cardiovascular disease: The Japan Collaborative Cohort (JACC) study ». Yasuhiko Kubota et al. Atherosclerosis. 2015

55 « Febrile infectious childhood diseases in the history of cancer patients and matched controls », H U Albonico Med Hypotheses. 1998.

« Childhood infectious disease and premature death from cancer: a prospective cohort study » Peter W G Tennan. Eur J Epidemiol. 2013.

56 « Fever, cancer incidence and spontaneous remission ».

R Kleef. Neuroimmunomodulation. 2001

57 « Spontaneous improvment of intractable epileptic seizures following acute viral infection », Hitoshi Yamamoto Brain Dev. 2004

3 Commentaires

  1. Carmen D

    Excellent article. Merci Pryska.

  2. Christophe

    Du vrai travail de journaliste, merci beaucoup

  3. PHILIPPE BIAUX

    Bravo !
    Détaillé, argumenté, enrichissant, cet article démonte la propagande des firmes industrielles et des gouvernements aux ordres, et nous donne une vision élargie des incidences négatives que peuvent entrainer la peur et l’effroi sur des populations crédules, soumises, et finalement toujours victimes.

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