Voici un dossier que j’ai réalisé pour Néo Santé, sur la méthode de contraception naturelle. Comme vous allez le découvrir, il existe bel et bien une alternative à la pilule!
Abondamment médiatisé, le scandale des pilules de 3e et 4e génération remet en cause la sécurité du premier moyen de contraception chez les femmes. Après des années de déni sur ses effets secondaires, la dangerosité de la pilule ne fait désormais plus de doute.
Malheureusement, les alternatives proposées laissent encore une très large place aux hormones synthétiques, incorporées dans les « nouveaux » outils proposés (patch contraceptif, implants sous-cutanés, anneau vaginal…). Tandis que les autres techniques (stérilet, diaphragme, préservatifs, spermicides…) ne sont pas non plus dénuées de risques (infections, allergies, stérilité…) et/ou d’inconvénients (inconfort, présence d’un corps étranger, efficacité aléatoire…)
qui en expliquent l’insuccès. Quid alors des méthodes véritablement naturelles ?
« C’est risqué », entend-on. « À réserver aux couples qui peuvent accepter une grossesse non désirée », préviennent les recommandations officielles. Point donc de contraception sans recours à des poisons chimiques ou des artifices mécaniques ? Non, heureusement. Il existe d’autres moyens pour maîtriser sa fertilité, tout simplement par une connaissance approfondie du corps féminin. La méthode « sympto-thermique » – ou méthode des indices combinés- est la plus efficace des méthodes naturelles de contraception.
La contraception écologique est un secret très bien gardé ! je vous propose de le découvrir dans ce dossier, gracieusement mis en ligne avec l’aimable autorisation de Néo Santé!
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>> Mon avis personnel à l’issue de ce dossier : il est clair que la pilule a de beaux jours encore devant elle. Mais la méthode symptothermique, grâce à son efficacité, est une alternative crédible pour toutes les femmes « écologiques » ! Je vous conseille particulièrement l’application mobile et ordi SYMPTO. La fondation Symptotherm fait un travail remarquable.
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Bonjour Priska c’est Marie-Laure (les bols Tibétains) impatiente de lire ton article. Je t’espère en grande forme et j’espère à bientôt. Amitiés.
c’est la meilleure façon de tomber enceinte…donc réservée aux femmes acceptant ce risque…
Ce fait justement n’est pas prouvé ! au contraire, puisque elle est jugée fiable. c’est plutot une idée reçue qu vous colportez. Sauf si vous en êtes restée à la méthode du thermomètre… qui effectivement est insuffisante!
Bonjour Pryska,
Harri Wettstein de la Fondation Sympto m’a parlé de vous, voilà comment j’atterris sur votre Blog.
Je peux témoigner pour vos lectrices que la Sympto est pour moi la meilleure « méthode » au monde. « Méthode », parce qu’il ne s’agit pas simplement de contraception, mais plutôt d’une connaissance de son corps, dans son ensemble. Cette méthode aide les femmes à vivre leur féminité avant tout. Je suis toujours sidérée d’entendre/de lire à quel point on cache aux femme le simple fait que nous ne sommes pas fertiles tous les « jours du mois », combien on leur ment en leur promettant une grossesse rapidement si elles lâchent leur sacro-sainte-pilule, et aussi qu’on leur parle de « régulariser leurs cycles », alors que la pilule les supprime, tout simplement.
Je pourrais aussi expliquer par A + B comment tomber enceinte de façon quasi certaine tout en prenant la pilule… j’ai plusieurs exemples autour de moi (et elles n’ont pas fait exprès). Mais je préfère expliquer qu’avec la Sympto, on cesse d’être sous tutelle de ce produit et qu’on découvre comment on fonctionne, véritablement.
Il faut dire aussi que parce que la pilule m’est interdite dorénavant, en raison de problèmes hormonaux (que les médecins ont longtemps tenté de masquer les symptômes avec… la pilule). Quand ceux-ci ont été sérieusement pris en charge par le bon médecin (qui ne s’est pas contenté de me donner une pilule pour ne plus m’entendre me plaindre), j’ai pu ainsi re-vivre…. et ainsi m’ouvrir à des choses, non nouvelles, mais alternatives. J’ai découvert la Sympto. Ce n’est pas nouveau, mais grâce aux moyens informatiques actuels, on parvient à en faire une « méthode » simple, moyennant un apprentissage (on a rien sans rien, bon sang !)
En tout cas, bravo et merci pour votre article !
Bien cordialement
Isabelle
Quand j’entends et lis:
« c’est la meilleure façon de tomber enceinte…donc réservée aux femmes acceptant ce risque… »
Je me demande si ces femmes ont bien mérité une émancipation. (Bon, elles carburent à la pilule qui pollue le corps et les eaux, c’est un nouvel esclavage pas du tout écolo dont elles ne se rendent pas compte, tout bon pour avoir un cancer en prime.) En tous cas, celles qui répètent une telle ânerie, ne sont pas émancipées du tout. L’émancipation implique aussi un recul critique, qu’on vérifie nos sources et études cliniques, qu’on arrête de répéter les idées reçues par les magazine féminins, etc.
Je suis écoeuré de voir que les femmes se bloquent elles-mêmes par ce genre d’idioties.
L’EMANCIPATION FéMININE COMMENCE PAR LA CONNAISSANCE DE SOI ET LA CONNAISSANCE DE SON COPRS, BON SENS!
Bonjour,
Je n’ai absolument rien contre l’utilisation des « méthodes naturelles », si le choix est fait en ayant vraiment conscience de leurs avantages mais aussi de leurs risques, comme pour toute autre méthode.
Et au vu des risques, je déplore qu’on les présente comme des méthodes de contraception. Ce sont des méthodes de prévention, mais elles ne sont pas assez fiables pour être qualifiées de « contraception ».
Je m’explique.
On dit, à tort, que la méthode symptothermique a une efficacité similaires aux méthodes classiques. or l’indice de Pearl révèle que ce n’est pas le cas: http://fr.wikipedia.org/wiki/Efficacit%C3%A9_des_m%C3%A9thodes_contraceptives
– En théorie, c’est à dire dans les conditions optimales (régularité absolue du cycle, pas de changement de température du corps due à une maladie, pas d’infections locales affectant les sécrétions…), la méthodes symptothermique est efficace. Taux d’échec théorique: 2%.
– Dans la réalité, c’est à dire en tenant compte des aléas de la vie quotidienne, on observe un taux d’échec de 25%. Or c’est ce taux qu’il faut prendre en compte!
Il est légitime de proposer ces méthodes mais il ne faut pas masquer le risque qu’elles représentent pour que les femmes et couples choisissent en connaissance de cause.
Car même en connaissant très bien son corps comme l’avance l’article, une femme n’est jamais à l’abri d’une erreur d’interprétation. Avec comme vous pouvez l’imaginer des grossesses non désirées comme conséquence.
Je déplore que la contraception mécanique parfaitement écolo et fiable n’existe pas encore (le meilleure élève étant quand même le DIU au cuivre). Mais je ne pense pas que la méthode symtothermique soit l’idéal au vu de l’exigence d’efficacité attendue par les femmes.
@Echorde,
25%, 1 sur 4, c’est le taux théorique de « chance » de tomber enceinte si l’on a des rapports « au petit bonheur-la chance »… rien à voir avec une véritable méthode, qui demande non seulement un apprentissage, mais un véritable investissement de la part du couple.
C’est justement ce que fais la symptothermie : prendre en compte tous les paramètres, et notamment ceux que vous citez. Prenez le temps de lire une fois le manuel complet, disponible gratuitement en téléchargement sur le site http://sympto.org, et vous verrez que la sympto n’a juste rien à voir avec une courbe statistique, un comptage de jours, et autre art divinatoire ! 😉
Si la pilule a une efficacité théorique très élevée, sur le plan pratique, on ne peut pas dire que ce soit aussi sûr que ça en ait l’air. Un exemple tout bête : vous avez un rapport avec votre conjoint et 2 jours plus tard, pour une raison ou une autre, vous n’avez pas pris votre comprimé (oublié, ou alors vomi à cause d’une gastro… ne pas oublier que certains autres médicaments et même la consommation de pamplemousse peut, selon de nombreuses études cliniques, avoir une conséquence sur l’absorption de nombreuses sortes de molécules)…. que se passe-t-il ? un risque d’inefficacité.
Des femmes qui sont tombées enceintes sous pilule, j’en connais et ne suis pas la seule. Ensuite, de nombreuses femmes, en particulier celles qui ont connu des problèmes de santé au niveau hormonal, et des maladies graves telles un cancer, et pour qui la pilule est désormais « un poison », sont amenées à se poser la question : quelle alternative ai-je ?
Voilà pourquoi je défends la symptothermie, que j’ai découverte il y a un peu plus de 2 ans, avec succès.
Bien à vous
Isa
Non j’hallucine quand je lis les inepties de Echocore; heureusement Isa a rectifié le tir, mais je dois revenir sur ces âneries.
Echocore dit:
« – En théorie, c’est à dire dans les conditions optimales (régularité absolue du cycle, pas de changement de température du corps due à une maladie, pas d’infections locales affectant les sécrétions…), la méthodes symptothermique est efficace. Taux d’échec théorique: 2%.
– Dans la réalité, c’est à dire en tenant compte des aléas de la vie quotidienne, on observe un taux d’échec de 25%. Or c’est ce taux qu’il faut prendre en compte! »
Mais pourquoi bon sang ne lit-elle pas les études cliniques qui sont sur notre site, à télécharger en un seul clic? Comme Isa dit, un taux d’échec de 25 % correspond à ne pas faire de contraception du tout. Dire que c’est le taux de la Symptothermie, c’est d’une bêtise monstrueuse.
Dire « la femme n’est jamais à l’abri d’une erreur d’interprétation » c’est totalement méconnaître le logiciel sympto qui interprète toujours juste, mieux et plus rapidement que l’experte. Il faut qu’Echocore essaie d’abord avant de juger et de raconter n’importe quoi. Bien sûr, il faut qu’elle entre de bonnes observations, qu’elle connaisse son cycle – c’est un plus pour la relation. Il faut aussi que le dialogue s’améliore au niveau du couple ce qui est encore un plus que la symptothermie apporte.
Bref entendre causer les femmes qui n’y connaissent rien, qui savent tout sans avoir même essayé la symptothermie sur elles-mêmes, ce sont les pires détracteurs de la symptothermie, cela me fait vomir. je dis bien la symptothermie de sympto, mais pas une méthode genre CLER qui est restée aux années 1980.
Encore une preuve flagrante de son manque de réflexion:
Echocore nous parle d’une contraception mécanique parfaitement écolo et fiable encore à découvrir. Mais il ne faut pas être naïve à ce point pour ne pas comprendre qu’une contraception totalement fiable, totalement facile à gérer et totalement inoffensif, c’est tout simplement une illusion. UNE ILLUSION! Cela n’existera jamais.
Le DIU au cuivre c’est très nocif pour l’utérus à long terme, c’est le bombardement perpétuel de ions de cuivre sur l’endomètre, sans parler des avortements qu’il provoque car un embryon ne peut plus s’implanter, il est grillé par le cuivre, cela compte aussi!
Pour une femme intelligente et écolo, la symptothermie est donc facilement le meilleur choix. C’est clair, il faut s’investir un peu, connaître son corps, creuser sa relation, mais ce sont donc que des avantage pour trouver un meilleur équilibre…
Bon alors, quelles sont les arguments d’Echocore? Mais de grâce, il ne faut pas revenir sur ce plateau sans avoir essayé sympto, ce serait une auto-disqualification.
Cela fait 5 ans que je suis le Berger de sympto et je sais d’expérience que les femmes qui savent tout mieux sur sympto sans l’avoir essayé, c’est le pire autosabotage.
Cordialement
harri
J’ai moi même utilisé la méthode sympto-thermique pendant plusieurs années, et cet article présente à merveille tous les avantages et la fiabilité de la méthode, et des méthodes naturelles en général.
Je mettrais un bémol pour mon cas personnel : j’ai toujours eu des difficultés à me connaitre et à connaitre mon fonctionnement propre, et l’auto observation n’étais pas vraiment nette… et je trouvais tout de même un peu contraignant sur certains points.
J’ai tenté ensuite la méthode Ladycomp http://www.lady-comp.fr/ dont plusieurs personnes autour de moi m’avaient parlé. C’est fiable à 99,3%, ça reste naturel et c’est pour moi beaucoup plus simple d’utilisation.
J’en suis vraiment contente et je trouve dommage que l’article néosanté n’en parle pas pour bien compléter le sujet.
Attention, les méthodes naturelles comme la symptothermie ou Billings ne sont pas des méthodes de contraception : elles n’empêchent pas l’ovulation, ni la nidation en cas de fécondation et ne provoquent pas d’avortement (contrairement à la pilule).
De ce point de vue, la fécondation et la grossesse ne sont pas considérés comme des maladies à éviter par la prise d’un médicament. Bien au contraire, il y a une responsabilité à avoir et à assumer en prenant les moyens naturels à notre disposition : connaitre le fonctionnement du corps de la femme et son cycle menstruel.
De fait, 70% des femmes qui subissent un avortement utilisent la pilule ou un contraceptif. L’avortement est la conséquence logique de la contraception : si celle-ci ne fonctionne pas, alors il reste l’avortement pour empêcher la grossesse. Il parait que des jeunes de lycée ne font plus le lien entre acte sexuel et fécondation/grossesse.
Pour l’indice de Pearl, il est nettement meilleur pour la méthode billings pratiquée en Inde par les plus pauvres que pour la même méthode billings pratiquée en Europe où les pratiquants des méthodes naturelles n’ont pas les mêmes soucis à voir leur famille s’agrandir (notamment en France avec tous les aides de la CAF), ou que pour la pilule, qui est principalement utilisée dans les pays développés qui peuvent se la payer et donc ont moins de contraintes à voir un enfant de plus arriver.
Je suis heureux de voir un article qui parle enfin de la méthode sympto-thermique de façon objective. Trop peu d’information abonde sur ce sujet.
Pour introduire mon « témoignage » que je précise que mon épouse et moi sommes un jeune couple de 23 ans marié depuis un an. Jusqu’au mois d’avril, nous utilisions la méthode Billings. Nous étions justes avant notre mariage, très peu informé sur les méthodes naturelles et nous avions choisi la méthode Billings à défaut. Le problème dans cette méthode (qui n’existe apparemment pas dans la méthode sympto-thermique) c’est que l’on ne peut seulement se fier à nos interprétations qui précède l’ovulation de quelques jours. Je précise que bien que l’on soit étudiant, nous nous n’opposions pas à la venue d’un enfant. A la suite d’une seule rencontre avec un couple moniteur, nous nous sommes lancés et n’avions pas connu de surprise durant les 7 premiers mois…
C’est donc à la suite d’une erreur d’interprétation que nous avons la joie d’attendre un enfant pour le mois de Janvier. Je dis bien la joie car nous n’étions pas dans une logique uniquement basée sur la contraception. Nous voulions un enfant qui certes aurait été plus « facile » à accueillir après nos études.
Avec plus d’information, nous aurions su, qu’avec certes une certaine rigueur et la méthode sympto-thermique nous nous ne serions pas unis 3 jours avant la probable ovulation. A la lecture du dossier du site http://sympto.ch/home-main_fr.html, j’ai pu constater que les rapports sont à éviter au-delà des 6 premiers jours après les règles (tant que les cycles ne sont pas assez connus) et bien sûr jusqu’à 3 jours après le jour sommet. Je pense que notre cas n’est pas différent des autres couples qui disent que cette méthode n’a pas marché pour eux…
En conclusion : Malgré cet écart, je reste convaincu que les méthodes naturelles (mais pas toutes) sont fiables à condition d’avoir une certaine rigueur et d’utiliser la bonne ! Prenons du recul sur le les exemples de bébés Billings (entre autre). Oui il convient de bien se former à la méthode sympto-thermique (par exemple), oui il faut être rigoureux. Mais n’est-ce pas la même chose pour la pilule ?
La différence ici, c’est que cela nous implique nous aussi HOMMES que ne sommes à bien comprendre le cycle féminin. Comme la dit Maire, l’autre GRANDE différence c’est qu’un couple utilisant les méthodes naturelles envisages beaucoup plus rarement le recours à l’IVG en cas d’échec. Alors qu’une logique médicamenteuse dit insidieusement : « Tu as raté ta pilule ? Don’t worry, tu peux prendre la pilule du lendemain qui est une pilule comme les autres…voir le recours à une IVG) » Combien de femmes doivent faire ce choix seules parce que leurs compagnons considèrent que ce n’est pas leur problème ?
Bonjour cela fait 3ans que j’utilise la symptothermie comme moyen de contraception. cette méthode a également permis a une amie qui n’arrivait pas à tomber enceinte de trouver la bonne période lui donnant toutes les chances… deux mois plus tard son voeu se réalisait.
Quant à nous (mon mari et moi) nous avons retrouver une vie intime épanouie qui a été pendant des années mise à l’épreuve par les effets secondaires que peuvent entraîner la prise de pilule (libido en berne problèmes gynécologiques divers, troubles de l’humeur et j’en passe).
c’est assez fastidieux les 2 premiers mois puis on commence à se réapproprier son corps et on réapprend à l’écouter. pour ma part j’ai eu besoin de 6 mois de suivi puis je me suis débrouillée seule.lorsque nous sommes dans la période à risque nous utilisons le préservatif cela dure que quelques jours et le reste du temps on est pas obligé de faire attention. aujourd’hui je m’en tiens à une prise de température uniquement lors de la période à risque c’est donc beaucoup moins fastidieux que de penser à prendre la pilule tous les jours.
je suis vraiment convaincue par cette méthode que l’on veuille un moyen de contraception ou que l’on souhaite tomber enceinte.
la Fondation mérite vraiment d’être connue et la méthode de la symptothermie vraiment répandue. les conseils et le suivi sont vraiment de très bonne qualité.
alors pour toutes les femmes qui souhaitent une alternative à la prise de pilule c’est LA méthode idéale.
Cette méthode est une méthode de régulation des naissances, et non une contraception.
J’ai suivi une formation de ce type, qui m’en a appris beaucoup sur mon corps et son fonctionnement. Il ne faut pas perdre de vue la période de latence, qui chez certaines femmes se réduit à peau de chagrin, voire est inexistante.
La personne qui a conduit cette « formation » nous a expliqué que si l’ovule ne vit que 24h, en période pré-ovulatoire les spermatozoïdes sont capturés par la glaire cervicale et conservé dans des cavités du col de l’utérus. Ils peuvent ainsi survivre plusieurs jours. Au moment de l’ovulation, ils sont libérés et peuvent conduire à une grossesse même si le couple se protège a ce moment là.
Pour les femmes qui ont un cycle court, la période pré-ovulatoire peut débuter avant la fin complète des règles. Il est alors nécessaire de se protéger tout au long du cycle.
Pour les femmes qui sont très fécondes dont je suis, et avec un cycle de 23 jours, cette méthode me permets de savoir où j’en suis de mon cycle mais il me faut me protéger tout le temps.
Ayant vécu un cycle anovulatoire il y a qq années — ce qu’on appelait la grossesse nerveuse il n’y a pas si longtemps, au secours — ne sachant pas au départ ce qui se passait, j’ai contacté la sage femme qui m’a suivi pour ma grossesse gémellaire dizygote et elle avait évoqué le cycle anovulatoire OU une deuxième ovulation, aberration physiologique mais possible quand même.
Suivre cette formation a révolutionné ma perception de mon corps, de son fonctionnement, mais je ne peux considérer cette méthode comme une contraception, seulement comme une méthode de régulation des naissances. C’est d’ailleurs ainsi que la personne nous l’avait présentée.
Enfin ceci est une méthode applicable aux couples, et non aux jeunes gens qui pour certains ne gardent pas le même partenaire pendant des annees. Je suis la maman de deux filles, je trouve important qu’elles suivent une formation de ce type pour mieux se connaître et connaitre leur corps. Je suis persuadée que cette connaissance de soi éviterait des grossesses non désirées, si les jeunes filles savaient par exemple que l’ovulation nous fait entrer dans ce que j’appelle la « roucoulade », quand notre partenaire nous apparaît d’un coup tellement plus attirant que pendant le reste du cycle. C’est aussi un signe a connaitre concernant la période dovulation.
Mais à les filles — et a mon fils bien entendu — je parlerai du préservatif, le seul moyen efficace s’il est utilisé correctement, pour éviter les maladies, et du même coup une grossesse non désirée.