Les premières semaines et mois de vaccination contre le coronavirus ont rapidement montré que ce vaccin n’est pas aussi sûr que les laboratoires le disent.
Un premier état des lieux inquiétant, par l’AIMSIB
A deux mois après le début de la campagne, les premiers dégâts des vaccins Pfizer dans les Ehpad, et Astra Zeneca chez les soignants. Cet article évoquent aussi la grande faiblesse des études cliniques, probablement frauduleuse.
Les Ehpad ont rapidement été touchés
Voir ce blog qui compile à ce sujet des coupures de presse sur les clusters qui apparaissent avec la vaccination et les nombreux décès.
Une pharmacovigilance qui n’est pas à la hauteur
https://odysee.com/@UContemplatif:8/01FBSJDE3EAA9Z7W7VF506QNAZ:f
Laurent Mucchielli: « De quoi l’obligation vaccinale est le nom ? »
Hélène Banoun : « Comment expliquer biologiquement l’excès de Covid post vaccinaux ? »
Le tout premier rapport de pharmacovigilance sur les six premiers jours de la vaccination avec Astra Zeneca montre que les effets secondaires sont survenus à 85% dans les 24 heures de l’injection. Mais ils sont graves dans 45% des cas, ce qui est considérable. En fouillant un peu plus profondément dans les données , on s’aperçoit que parmi les personnes touchées par ces effets secondaires graves, 43 % n’avaient pas encore récupéré au moment de la notification. Cela confirme les nombreuses remontée des hôpitaux sur le nombre très important d’arrêts maladie post-vaccinaux. Parallèlement, l’ANSM (Agence nationale de santé et du médicament) ne relevait que 1,49 % d’effets secondaires graves sur le total des soignants vaccinés , mais ce pourcentage ne vaut rien car l’agence elle-même précise dans son rapport : « Cette enquête nationale contribue à détecter des signaux de sécurité. Elle n’a pas vocation à rendre compte de l’exhaustivité du nombre de cas d’effets indésirables réellement survenus en France chez les personnes vaccinées » .
« Les signalements sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid-19 se multiplient et le Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Tours doit faire face à une flambée de son activité. Face à la situation, il a été demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de pouvoir prioriser les signalements les plus graves. » A ce stade, ce n’est même plus de la pharmacovigilance spontanée ou passive (à la différence de la pharmaco active), c’est de la pharmacovigilance dissimulative ! Juste inadmissible alors qu’on nous dit que l’on est en mode « renforcé » car les études cliniques ne seront achevée qu’en 2023 :
Lien vers les rapports de pharmacovigilance FRANCE : https://www.ansm.sante.fr/Dossiers/COVID-19-Vaccins/
Lien vers la pharmacovigilance européenne :
http://www.adrreports.eu/fr/index.html
L’agence européenne centralise les effets secondaires jugés suffisamment graves pour être remontés et ils ne sont pas anecdotiques. début mars 2021, il y a près de 2000 décès et 100 000 évènements pour toute l’Europe.
Le plus dangereux mais également le plus utilisé serait Pfizer avec 78000 évènements et 2000 décès. Astra Zeneca fait une arrivée tonitruante en février, principalement chez les soignants, avec 13000 évènements et plus de 200 décès.
Des sites répertorient les effets dévastateurs de ces vaccins
Témoignages sur les réseaux sociaux
https://t.me/EFFETSECONDAIREvaxcovid
Décès, infirmités, paralysies, convulsions. Tout le monde ne récupère pas de ce vaccin. Sélection de twits (ouvrir pour accéder aux fils de discussion, riches eux aussi en témoignages).
Sur ce lien, une galerie de captures écran interminables… réalisée par un citoyen à l’affût des témoignages des personnes qui ont des blessés dans leur entourage, dramatique :
https://photos.app.goo.gl/jy41qgDUWJpmEyWZ9
https://twitter.com/PeterbobBaze/status/1381641619972231174
Terrible vidéo des troubles neurologiques d’une infirmière
L’infirmière Kristi Simmonds a reçu le vaccin COVID-19 le 19 janvier. Elle n’a pas encore récupéré (fin février).
Les soignants ne sont pas épargnés
« Pfizer, pour les personnes âgées, a tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué »
Deux chercheurs démontent les chiffres de l’efficacité du vaccin en Israël et révèlent que le risque de mourir du vaccin est supérieur au risque de mourir du covid-19 !
« Le nombre de décès par COVID-19 parmi les vaccinés depuis le début de l’action de vaccination semble expliquer l’augmentation des taux de mortalité par COVID-19 observée depuis décembre 2020″.
« Nous déclarons que les vaccinations ont causé plus de décès que le coronavirus n’en aurait pendant la même période. »
Parmi les vaccinés et âgés de plus de 65 ans, 0,2% des vaccinés sont décédés au cours de la période de 3 semaines entre les doses, soit environ 200 sur 100 000 vaccinés. Ceci est à comparer aux 4,91 morts parmi 100 000 morts du COVID-19 sans vaccination,
Articles complémentaires
Mots-clefs : covid-19, décès, effets secondaires, témoignages, vaccin
La récente communication de Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, lors de la réunion publique du CSI du 29 juillet 2021 : https://crowdbunker.com/v/nLpgovf7
Devrait faire l’effet d’une bombe auprès des personnes qui ne sont pas encore au courant ou qui ne sont pas convaincues.
La communication qui suit celle de Mucchielli, et concerne la contamination importante des injectés covid est très éclairante aussi.
La même vidéo découpée en séquences : https://crowdbunker.com/@reinfoexpress64